SILENCE ! J’ÉCRIS…

By | 26 novembre 2024

Le message éternel Jean Canal en Lauragais 1993. Photographie Serge Cantié, Photographe. Copyright

CI-GÎT LUI ! Telle sera l'épitaphe de mon tombeau. « Je vous écris de là-bas pour vous avouer que vous ne me manquez point. Ma mémoire a définitivement effacé vos noms et visages que je ne saurais plus reconnaître, s'ils se présentaient à moi. Une espèce de complète indifférence à votre encontre est venue s'instaurer en moi de façon très naturelle, en me convainquant que vous n'avez jamais réellement représenté une valeur quelconque pour mon être. Je n'irai donc, ni à vos anniversaires, ni à vos mariages, ni a vos baptêmes, ni à vos divorces et encore moins à vos obsèques. Évitez, je vous prie, de me solliciter pour une quelconque invitation qui aurait de l'importance à vos yeux, sous prétexte qu'il vous ferait plaisir de m'avoir à votre table (d'ailleurs, vous ne savez point cuisiner et les vins que vous choisissez sont sélectionnés par rapport à leurs prix et non leur cru ! Et s'il vous arrive de tenter une confection culinaire, vous réduisez la qualité des produits achetés trop bon-marchés pour être honnêtes... -restez donc entre vous : les gens que vous fréquentez, vous ressemblent, formant ainsi une communauté stéréotypée, infréquentable.) Vous savez pertinemment que quand on est mort, ceux sont les vivants qui vous reprochent de ne pas l'être ! Et si jamais vous n'assistiez pas aux miennes, d'obsèques, on vous le reprochera ! Tandis que moi, le jour signifié, je vous inciterai plutôt à vaquer à d'autres occupations plus réjouissantes, vous évitant des faux frais chez le fleuriste du coin et des coûts de carburant en hausse ! Par contre, je saurais trop vous conseiller un copieux repas dans un très bon restaurant, à vos frais s'entend, en choisissant du vin digne de ma mort (j'ai toujours affectionné les Bourgognes), serait une décision plus judicieuse que d'aller afficher un profil de regret du départ inopiné de ma personne, au seuil de ma sépulture, érigée en ma mémoire. Bref ! Le jour dit, faites-vous porter pâle.., gardez le lit et invitez-y une belle de vos connaissances... (ménagez vos efforts, évitez les excès en cet exercice, vous risqueriez le décès...)». Bien à vous, Jean Canal.

Silence !, J'écris Premier Tome

Le lieu où vit Jean Canal est situé en Ariège, dans le village mesquin qui porte le nom de Mirepoix. Il ne fut pas fait bon accueil quand Jean Canal s'installa en 2014. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il rédigeait des pamphlets sur le net et plus particulièrement sur presselibre.fr dont il est toujours le Rédacteur en Chef et unique fondateur. La population est ce qu'elle est : bonne et mauvaise. On ne change pas les gens et comme ils sont majoritairement idiots, il vaut mieux les abandonner à leur sort joyeux... Les Cons sont plus visibles dans un microcosme qu'une agglomération démesurée par son architecture. Con-centrés en un espace restreint par sa surface, ponctuée par les habitations, ceux-ci sont facilement identifiables de sorte à les répertorier par degrés de conneries : certains en ont fait leur profession... "Les Gens d'Ici" est un Roman "concocté" en exploitant les tares de toute une population, ayant participé à la discrimination quotidienne cultivée dans un cadre orchestré par la Gendarmerie du Bourg. Celle-ci plaiderait non coupable, si elle se retrouvait devant un tribunal pour expliquer les raisons pour lesquelles, elle sema la discorde dans un village qui ne souffrit d'aucun grief auparavant. Il a suffit d'une désinformation divulguée dans quelques commerces pour que se répandît comme une trainée de poudre cette opprobre ! La rumeur s'étant emparée de la nouvelle, elle se développa au-delà des limites villageoises. Seul un Roman pourra faire entrer dans la postérité ariégeoise ce Bourg et certains de ses habitants (le Maire sera consigné dans les archives de l'Histoire de l'Ariège, non pas parce qu'il est naturellement bête, mais du fait de son implication gendarmesque), même ceux qui l'ont quitté... Un atout dans la rédaction de cet immense pamphlet, il se présente sous la forme de Roman et donc d'une fiction... En 2014, alors que j'emménageais à Mirepoix, je reçus un appel téléphonique d'un gendarme du Con-Minges, lequel me demanda, avec une ironie masquée : "Vous êtes toujours à la Dépêche ? " Non, répliquais-je, je n'y travaille plus." "Vous écrivez toujours," continua-t-il. "Oui !" dis-je avec assurance ! "Bien" fut son dernier mot, prononcé sur un ton vindicatif... Il raccrocha et ne put entendre ma réponse définitive : "Ordure !" Jean Canal. 19 juillet 2024. Le gendarme fit allusion au précédent roman de même style que j'écrivis sur ce sujet et qui me valut des menaces de mort auxquelles je répondis fermement, sans coup férir cependant ! Les ordures ne sont jamais des êtres courageux... Le Roman est toujours en ligne...

⇒ 7 Novembre 2024.  L'École au sens Républicain du terme qui lui fut attribué avec Jules Ferry, sous la Troisième République, incarne-t-elle cet idéal d'enseigner à tous et à toutes le savoir et la connaissance sous forme ludique, de sorte à donner aux enfants l'impression de jouer tout en apprenant ? Cette idée existe dans les institutions privées qui pratiquent une pédagogie ayant fait ses preuves sous toutes les latitudes politiques de son époque. Montessori en est l'une des plus marquantes par ses réussites toujours controversées par les pouvoirs, naturellement. Et ce n'est point de la méthode que je vais vous conter, mais des souvenirs émouvants de cette École primaire dont je fus l'élève, très distrait... Le rêve fut cet échappatoire qui me permit, tout en restant éveillé, de m'évader des lieux hostiles où je dus demeurer enfermé le temps d'un cour que je considérai, à tort, vain pour ma culture. J'avais tort ! Tout est bon à apprendre ; même la mathématique, hantise des nombres et des chiffres qui s'immisçaient dans mes balades imaginaires. Mon Ecole à moi exigeait le port d'une blouse obligatoire. L'écriture à la plume Sergent Major fut le seul moyen d'écrire dans les cahiers, sans tâche. Les Filles étaient séparées des Garçons de sorte à ne pas se mélanger, ni se voir ; mais seulement les entendre crier à la récréation ! Quelle belle époque ! Nous rentrions en classe après s'être mis en rang, en silence. Voilà !

                         De cette École, Moi, jean Canal, j'ai su toujours préserver le doucereux souvenir de ma "Maîtresse", Mademoiselle Lacôme. Son âge m'est impossible à définir avec le temps et surtout l'époque de son sacerdoce (parce que, être Institutrice fut durant longtemps une vocation qui inspirait le respect, des parents et des élèves). Rien d'elle peut se former dans mon esprit, si ce n'est qu'elle me punissait souvent à cause de mon bavardage intempestif... Et pour punition, l'institutrice me plaçait sous son bureau, entre ses jolies jambes fines, revêtues d'une jupe allant jusqu'au genoux, bien sûr. Je passais-là une demi-heure agréable à découvrir l'anatomie féminine, du moins une partie (peut-être la plus mystérieuse, si j'en crois mon expérience avec les femmes...). De ses pieds déchaussés (j'étais le seul à savoir que ma "Maîtresse" retirait ses "souliers", une fois assise derrière son bureau), je découvrais les jambes tapissées de bas brun arrêtés à une hauteur limitée, au-dessous de sa culotte. Et comme, ma "Maîtresse" croisait souvent ses jambes en changeant de position, j'entrevoyais une couleur blanche d'un dessous féminin qu'il est rare à cet âge de découvrir ailleurs. Je ne comprenais pas, évidemment, ce phénomène dont je n'avais jamais entendu parlé, à mon âge au CM1 (classe de huitième). Néanmoins, je trouvais cela très beau et plein de mystère : que se dissimulait-il derrière ce soyeux tissu d'une blancheur écarlate (rares étaient les culottes de couleurs) ? Ayant pris l'habitude d'occuper régulièrement cette place, je poussais ma curiosité au-delà du sensuel châtiment que ma "Maîtresse" m'infligeait avec douceur et mansuétude. Allais-je livrer mon secret à mes camarades de classe ? "Oui ! eh bien Moi, j'ai vu la culotte de la Maîtresse ! Elle est blanche !" Je n'en dis jamais un mot ! Par crainte d'être définitivement privé de ce spectacle réservé en ma faveur (je crois que j'étais amoureux d'elle, mais innocemment, s'entend). Préservant ce véritable secret que je tins dans le silence, jusqu'à aujourd'hui, chères lectrices (bannissons les pervers narcissiques de cette lecture. Ils ne sont pas les bienvenues). Il y a donc longtemps que les Femmes me passionnent ! Il y a donc longtemps que je les connais et que je les aime. Leur anatomie ne m'est plus inconnue. Leurs caprices idem. Et je connais fort bien comment elles utilisent leurs charmes pour séduire, à juste raison. La nature les fit de la sorte. Et essayer de les changer est une erreur : il faut les accompagner, sans brusquerie. Et si un jour elles veulent partir, il faut savoir leur dire adieu en leur souhaitant une vie meilleur (Marie, M-T (la plus belle), Béatrice, Laurence, Sabine -les attitrées dont une seule est non répertoriée, étant exclue à vie : attendant impatiemment qu'elle meure- se sont allées, en gardant dans leurs cœurs un souvenir heureux de ma rencontre.., consignée dans les oubliettes du temps). Je me laissai donc punir et fit en sorte que ma "Maîtresse" saisît l'opportunité de m'ouvrir ses intimités, chaque fois que mes bavardages, devenant désormais intentionnellement très intempestifs, dépassaient les limites non autorisées... Ce fut la plus magnifique découverte du corp féminin que la vie m'offrit à un âge où la sexualité non seulement ne se manifeste pas, mais revêt une signification proscrite dans l'éducation que je reçus. Jean Canal. "Souvenirs d'enfance".  Imaginons ensemble, de sorte à vous rendre complice de ce forfait, que j'eusse révélé mon secret uniquement à celui qui se disait mon ami ! Eh bien, le pire serait arrivé, en m'accusant de profiter de la situation que ma Maîtresse favorisait en ma faveur innocemment. Elle serait devenue ainsi victime et moi un piètre coupable, accusé de récidive, ayant plusieurs fois abusé de sa naïveté. Mon meilleur ami ayant négocié mon secret pour une centaine de billes (certes billes que je lui aurais regagnées par la suite, étant donné que j'étais à l'école le plus fort à ce jeu). Mise à jour le 16 11 2024. 

Suite des écrits

Il est des livres laissés intentionnellement en instance d'être lus, une seconde fois de façon complètement différente, de sorte à y trouver ce que l'on y cherchait, lors de la première lecture, effectuée en filigrane. Au cours de la première lecture, en effet, je sentais que le style et l'art syntaxique de présenter les idées, conformément à un syllogisme en son cas dépassé, ajoutait à cet exégète une valeur suprême dans une écriture, non seulement limpide, facile à lire et habillée de mots idoines à sa pensée descriptive. C'est le cas des deux ouvrages que je lis en cette période, favorable à leur consécration (le mot convient sans ambages). L'auteur n'est connu que chez les lecteurs versés dans ce genre de littérature spécifique à la thématique traitée dont je ne dirai mot, selon une formule consacrée dans cet usage. Et, au vu de la tendance sociale de ces vingt dernières années (c'est la période de la première lecture), l'engeance actuelle n'accorde aucun intérêt à ces ouvrages desquels elle ne connaît l'existence, hormis dans les cercles de littérateurs confirmés. Dans le domaine en question, personne ne fit mieux depuis ; il est pratiquement impossible de recouvrer une telle plume dans un style aussi singulier : c'est d'ailleurs cette particularité qui fait toujours la différence. Voilà ! Je ne peux vous révéler son nom pour des raisons évidentes d'intimité gardée secrète. De surcroît, je ne tiens pas à dévoiler mes sources intarissables que vous exploiteriez à mauvais escient, si les référents vous eussiez été révélés ! Ce qui ne sera jamais le cas ! Jean Canal. Mise à jour le 12 novembre 2024.

Il faut posséder suffisamment de capacité intellectuelle (à prendre au sens premier de cette définition qui tend à souligner les moyens que développe le cerveau dans le simple but de comprendre, voir et appréhender les phénomènes normaux qui gravitent autour de la vie propre d'un individu) pour analyser les circonstances qui en découlent, notamment dans la vie privée de quelqu'un ! Certaines de ces vertus naturelles vous protègent des mésaventures de la vie, en provoquant des réactions protectrices à l'encontre des personnes porteuses de mauvaises intentions -et elles sont de plus en plus nombreuse, la période s'y prête ! L'oubli de ces gens infréquentables permet de vider l'espace qui encombre votre existence, sans pour cette raison faire abnégation de la leur ! Vivre ne relève point d'un effort quotidien, mais de suivre la seule voie qui vous ouvre des portes vers une émancipation continuelle ! Il faut se protéger contre toute adversité que l'on peut retrouver au sein même de sa propre famille ! Les sentiments doivent se combattre par ce nihilisme que des gens ont faussement incarné, à votre insu afin de vous soustraire à cette vérité de plus tangible ! Les oublier, jusqu'à ne plus se souvenir d'eux, de manière à n'en garder qu'un passage furtif qui, néanmoins ces circonstances, vous a enrichi sur les erreurs à ne pas commettre ! La nature humaine, telle qu'elle fut conçue dans sa chair, aux origines de l'humanité, se révèle. Voilà ! Tout vient d'être écrit. Jean Canal. 4 novembre 2024. Inspiration advenue lors d'une balade en campagne...

Il arrive à un âge, à condition que ce dernier phénomène se fût éclos à l'aune de la précocité, où l'on aspire à plus d'émancipation de sa personne, laquelle consiste, émancipation, à se détacher de tout ce qui représente un entourage négatif pour faire fructifier l'épanouissement acquis durant les années précédentes ; acquisition obtenue, certes, dans des conditions peu favorables, voire hostiles à l'Amour attendu ! Donc, espèces de cons invétérés, vous n'en faites pas partie de ces élus qui doivent incessamment combattre une atmosphère nauséabonde aux libertés que vous remettez en question, tout simplement parce que vous en abusâtes...  A suivre. 23 octobre 2024.

I will end the few years of my life Homeless !

Point Presse is a page on Facebook managed by presselibre.fr of which Jean Canal is the Editorial Director of this strictly independent media. By relaying your reports, we promote your work, trying to make it known in France. Thank you for your trust. This is the first time that emotion has overcome my nature to be able to control my feelings in such a context. I will end the few years of my life Homeless! It is my dearest wish that will allow me to return to the sources of life on the threshold of death ! Jean Canal. 17/09/2024.

Elle me rappelle mon Premier Amour que je n'ai jamais oublié... Et quand je revois ce genre de Fille, la nostalgie revient dans l'âme et me transporte avec Elle, comme cette première nuit que je passai, jadis, nu, dans ses bras. Je lui composais un poème, un sonnet, quinze années plus tard. Alors que entre temps j'avais connu des femmes ; mais de toutes celles avec qui je vécus (pas si nombreuses), Annie me revient toujours, comme en ce moment... Le premier vers qui se trouve dans le recueil :

"Le buveur de Coquelicots" commence ainsi : "Annie, t'en souviens-tu quand nous étions collés comme deux libellules..?"

Désopilé en arrivant à Villeneuve lez Avignon qui subit des aménagements urbains préposés aux piétons et cyclistes de plus en plus nombreux, je crus que en cet endroit historique, "ILS" allaient faire table rase du passé architectural ancien et non classé... Climat oblige, les climatosceptiques se rendront à l'évidence que la marche demeure toujours le seul moyen de se véhiculer sur les courtes distances, sans frais aucuns ! Le danger, en ville et dans tous les lieux urbains, reste la voiture ! Bref ! L'emplacement que je m'étais approprié au fil des années n'existe plus et donc m'obligea de partir. C'est une trombe d'eau que ja fis la route en fin de journée en direction du Sud, en un village qui ma fois n'est plus laid que les autres ! 5/09/2024.

LA NOUVELLE DE CE 1er SEPTEMBRE 24. Laissez-moi vous conter l'histoire du matin qui fut mienne, en ce 1er jour du mois de septembre de l'an 24. Ayant fait halte à Béziers, comme put le remarquer la Police locale, je me levais tôt de ma couche vide dont l'espace occupait la partie réservée à une Belle absente de ma vie. A bicyclette, je me rendis dans le centre historique de la première ville de France. Les habitants dormaient encore et ce furent que quelques habitués de l'aube que je rencontrais sur mon itinéraire. Une jeune fille belle comme les fleurs de printemps que l'on ne cueille jamais de sorte à leur permettre d'essaimer quelques graines autour d'elles. Elle était assise sur un bloc de pierre aménagé pour des circonstances de réhabilitation d'une ville de province désormais gentrifiée. Le lieu, entièrement photographié par moi depuis que je viens ici, avait connu des transformations architecturales de gamme supérieure. La Jeune et belle fille qui me confia un bout de sa vie en pleine reconversion, au mieux réhabilitation sociale, me raconta ses déboires non pas amoureux, mais ceux causés par de mauvaises fréquentations. Elle était et le restera longtemps complètement perdue dans ce lieu de perdition pour les être fragiles, constituant des proies faciles pour la Racaille qui s'accapare leur personnalité entièrement détruite en quelques années, seulement ! Je la quittais, comme je fus venu, dans un soubresaut d'humeur matinale qui m'invitait à acheter un bon pain (ce qui est de plus en plus rare à trouver, en France) et boire une tasse de café dans un établissement digne de recevoir celui que je fus, jadis. La Belle m'indiqua le bon boulanger où effectivement je trouvais satisfaction dans la baguette au levain choisie, en fait par Elle. Puis, je m'installais au Cristal que je photographiais, il y a longtemps... Le serveuse arriva au bout de quelques longues minutes. Voilà ! me dis-je tout est déjà fini avant même que ce fût commencé. Il me faut oublier ces jeunes-femmes (et Jeunes-Filles) rencontrées au détour d'un sentiment perdu qui tend à s'ancrer dans leur mémoire... 

L'autre, moins jolie, m'attira également. Elle était assise sur le parvis de la cathédrale, située en vis-à-vis de la prison de Béziers réaménagée en hôtel de luxe... Elle mendiait son obole afin de compenser le faible revenu que l'état français lui déversait dans son écuelle... Il me restait 1,50 euros en poche. Je venais d'acheter un pain bio au levain qui me coûta au moins le double du café pris au Cristal que j'avais photographié, il y a longtemps. Nous discutâmes, en un échange enrichissant pour tous les deux ; sans doute plus pour moi que pour Elle dont les traits du visage étaient profondément marqués par une vie chaotique due à ses relations infestées de psychopates, malades mentaux et dans son cas, d'après les informations reçues, d'un pervers narcissique, l'ayant martyriser jusqu'au traumatisme perceptible. Les autres genres de cas sociaux classés dans la même rubrique des faits divers, rejoignent ce phénomène qui se développe dans le monde. Elle était désœuvrée, sans vie, proche de mettre fin à cette dernière qui, néanmoins, la retenait par une espèce de frêle espoir suspendu à son intelligence remarquable... Après quelques temps écoulé sans compter, au moment de repartir sur mes vagabondages, Elle m'interpella : "Est-ce que je peux avoir un bout de votre jolie pain, S-V-P." -Bien sûr, répondis-je instantanément." Je rompis la baguette en deux tiers, me réservant le tiers restant pour mes repas du dimanche et du lundi, voire du mardi. Ses yeux, quelque peu fades avant cet acte, s'illuminèrent aussitôt et provoquèrent un sourire que je n'attendais pas/plus. Je lui souhaitais bonne chance et je disparus dans les ruelles de la vieille cité biterroise. Celles que je préférais des deux, ce matin-ci, n'était pas la plus belle physiquement, mais celle dont l'âme grisâtre rayonnait encore de la lumière divine...dont on pouvait apercevoir une blancheur liée à la vie !  Jean Canal. Dimanche 1 er septembre 2024. 10H du matin au bord du Canal du Midi...

J'ai quitté Béziers que je baise avec amour, n'oubliant rien de ce qu'Elle m'a permis de vivre en son sein. Phénomène étrange, je n'ai remarqué aucune présence de la Police, tant décriée à une époque où le Maire manifestait contre une certaine population indésirable. Le vivre-ensemble m'apparut évident ; quand bien même les communautés sous-entendues se tiennent à l'écart entre-elles... La plus vieille ville du Monde est magnifique ! Son embellissement respecte une architecture unique et les nouveaux bâtiments construits s'évertuent de conserver l'ancien. Le Pont qui supporte le Canal du Midi restera un chef-d'œuvre d'exception dans le monde, sans chauvinisme aucun, aux côtés du Pont du Gard ! Prouesse jamais égalée, jusqu'à ce jour, au regard des horreurs factices qui se construisent... Jean Canal. 3 septembre 2024. Photos Jean canal.

Mon séjour à Toulouse me permit de vivre, à nouveau, une aventure amoureuse hors du commun avec une femme dont je ne savais strictement rien et dont la séduction reposait sur une impression de ressenti, ineffablement commué en sentiment amoureux. L'ayant rencontrée de façon anodine à proximité de la propriété où je gîtai, durant deux mois, elle m'apparut aussitôt sans amour. Le désir envers son époux respectable s'était étiolé au fil des ans de vie commune, comme la plupart des couples le subisse au cours de ce temps devenant long au fur et à mesure que s'instaure une indéfectible lassitude du vivre ensemble. Peut-on aimer le même être toute une vie ? Oui dans une certaine mesure qui reposerait plutôt sur de l'affection, Non quand il s'agit de l'amour que l'on transfère vers d'autres. Il suffit de quelques mots à peine audibles, de regards indiscrets soutenus, de lèvres s'ouvrant aux sourires répétés, pour que s'instaure à votre insu une attirance soudaine ; et cela chaque fois que nous nous croisâmes pour que notre imagination commune, nous réunit au cours de longues nuits torrides, en cet été très chaud. Et je peux même confesser que j'ignore toujours son prénom. Elle était et est toujours mariée. Ce n'est pas un handicape, mais une sécurité, une assurance que chacun prend pour se protéger de cette vie de couple qui guette chacun ! Dès notre première rencontre, résumée le plus brièvement, Elle s'autorisa, en cette circonstance imprudente, à émettre une formule de politesse de courtoisie que pratiquent en général les personnes de bonne éducation. Aussitôt ma vivacité d'esprit loin d'être éteinte, compris que la façon dont elle avait prononcé cette formule, m'invita à répondre à sa demande d'Amour ! Je décelai sur ses lèvres le désir de les porter sur les miennes qui s'étaient entrouvertes pour ce baiser tant espéré. J'eus alors une envie folle de lui caresser longuement les seins que j'aurais par la suite recouvert de baisers ivres de plaisir. C'est ma nature primaire de conférer au sein une valeur suprême dans l'amour (zone la plus érogène du corps féminin) ; c'est en cet endroit délaissé la plupart du temps par les hommes et non chez les Lesbiennes qui savent les entreprendre, que mon désir se porte. Là, le temps agit en ma faveur, puisqu'il daigne me concéder cet espace que je dévolus à un exercice exécuté avec mes lèvres sur la partie rougie par les répétitions lentes et douces appliquées en un va-et-vient mesuré ; et cela suffisamment longtemps pour que la belle me prît de passer à l'essentiel...  Jean Canal. Mise à jour le 30 août 2024. A suivre.  

⇒ LES RÉSEAUX SOCIAUX comme palliatif à la solitude ! Elles y sont par millions, issues de tous les pays ! -Qui, Jean Canal ? -Les Femmes de tout âge ! Elles rient, chantent, pleurent, confessent, et révèlent leur manque d'Amour ! Les réseaux TIKTOK FACEBOOK INSTAGRAM & YOUTUBE sont les plates-formes de leur liberté enfin conquise ! Elles parlent de sexe et d'Amour, sans tabou ! Elles valorisent leurs corps, les exposant en des positions sensuelles, érotiques, valorisant les formes... Rien de vulgaire ou d'attentatoire à la fausse morale entretenue... Les demandes dépassent la régularité conventionnelle des rencontres amoureuses...furtives et sans lendemain des sites en ligne ! Elles ont besoin d'1 homme pour compagnon de voyage... (leurs critères est sans requête, contrairement à l'argument "il faut qu'il soit...")Adieu les sites de rencontre payant où les femmes font la soupe à la grimace et affichent des critères trop exigeants ! Vive les Réseaux sociaux ! Jean Canal.
Voici le commentaire que j'ai posté à la chaîne américaine Street Information qui diffuse ce reportage, ce 1er août 2024. If I had been led to choose a muse in my life, I would have opted for this young girl with sublime beauty. I will always be revolted against human misery and this desolation of beings who have been harshly treated by life. Looking into her eyes, I am saddened and even unhappy that societies have come to ignore others. Jean Canal from France.Lien du reportage à voir absolument...                                                                             Delaney. "It's a dark word you know Jamie", said the speaker. Jamie est son prénom. Elle est une Fille entièrement dédiée aux vertus de l'Amour. Ses yeux expressifs jusqu'à la profondeur de son cœur, vous emportent avec Elle, dans ses tourments quotidiens. Le classique en soi, eût été de trouver l'âme sœur de moins en moins disponible si l'on se reporte aux statistiques dont il faut tenir compte au regard de l'évolution sociale de nos sociétés. La vie, elle, n'a guère connu de changement radical dans la conception commune que les couples pratiquent toujours dans une dépendance de l'un pour l'autre. Moins de servitude et plus de libertés ont permis, cependant, aux unes et aux autres de convoiter l'émancipation qui, néanmoins, persiste toujours à atteindre le respect de la Femme. Jamie Delaney : des grands yeux de tristesse, entièrement ouverts sur une vie qui s'est évanouie dans un rêve perdu quelque part dans son passé, ayant échappé à cette enfant de l'Amérique éteinte ; peut-être incarne-t-elle l'échec d'une civilisation qui s'est crue plus importante que les autres, le temps d'un long Rêve Américain inachevé. Sublime Delaney, moi, je suis, ce soir et cette nuit, amoureux de Toi et de Toi seule. Un amour lointain qui se perd dans mes songes, souffle sur mes nuits et finira par l'emporter vers l'oubli. Il n'en faut pas plus que cela pour s'attacher à un être. Un brin de visage d'ange, peint au naturel sans fioriture, avec des cils qui donnent l'impression de vouloir s'envoler vers des terres inconnues. Et des yeux emplis de larmes qui ne peuvent plus sourdre, tellement la détresse les a définitivement taries. Jean Canal. 03 août 2024. 
"It's a dark word you know Jamie"Le monde grouille de gens néfastes, infectant de leur puanteur pestilentielle les rares espaces de paix, appelés à se réduire. La misère rôde en quête de proies blessées, délaissées par la vie, ô Jolie Jamie ! Écoute ce secret qui vient de m'être révélé par les Anges, dont tu est issue, ô Jolie Jamie : «Tu ne dois plus donner ton amour au premier venu qui prêtant t'apporter le bonheur ; car le bonheur est dans tes yeux.» Les fausses promesses courent les ruelles où tu erres, éperdue. Depuis que la pourriture t'empêche de vivre, les Anges eux-mêmes refusent d’apparaître en ces lieux de perdition, où s'est formé un cloaque universel. Là, les apparences agissent en leur faveur, ô Jolie Jamie ! La valeur du bien a disparu, chassé par les relents du cloaque où se croisent et mélangent des êtres émasculés de leur entité. La saleté en est le propre de leur culture quotidienne. La vermine ne daigne plus les ronger tellement leurs corps pourrissent de leur vivant ! L'Humanité tout entière a perdu la notion de la raison. Jean Canal. 3 juillet 2024.
Une fille qui verse des larmes, c'est toujours émouvant. Après 7 minutes et quelques d'interview, les yeux de cette jeune sans abri s'emplissent de larmes qui ne tarderont pas à sourdre ! Et c'est avec les yeux embués qu'elle raconte sa vie jetée hors de l'enceinte civile, à même les trottoirs où la prostitution permet de survivre. Puis s'enchaîne le rire au larme ponctué de crachats qui indiquent une santé précaire vécue dans une situation insoluble. Et elle pleure jusqu'à la fin pour se débarrasser de la douleur de vivre, exprimée dans un corps meurtri. Le corps et l'esprit sont, hélas, indissociables qui de la pensée, qui de l'acte. C'est ce malaise qui crée une singularité chez les êtres, en proie à des faiblesses psychologiques facilement exploitables dans des cas de désolation. Quand tout un système s'effondre autour de soi et que les personnes s'éloignent de votre entourage pour X raison, la solitude devient néfaste et ne génère que de l'angoisse sur son propre sort ! Contrairement à cet enrichissement que l'on retire de cette solitude, lorsque l'on est amené à l'exploiter à des fins bénéfique pour l'existence ; pour obtenir de tels résultats il faut que les capacités intellectuelles soient aptes à maitriser ce genre de phénomène. Chez les personnes psychologiquement fragiles, les chances de se sortir de cette situation sont minces, mais restent possibles. Les traumatismes accompagneront ces filles toute leur vie. C'est triste. Jean Canal. 24 août 2024. 

She coughs up sputum while shedding tears that she cannot contain. Here is the most touching testimony collected. Distress and sadness mixed with the despair of no longer knowing why, They live. Me, I love them. From France. Jean Canal. 23 août 2024.

Désormais, ELLES me suivent sur TIKTOK... Je LES adore ! Inscris-Toi, Mon Amour... Viens ! Je n'attends que Toi...


Le clito ! ça vous parle ?Gardons la pause, puisque nous y sommes bien ! La Femme regorge de secrets cachés à découvrir...avec un certain romantisme que la plupart des mâles ignore ! Tant mieux, il yen a pour les autres... Imaginez-vous en position agenouillé la tête entre les jambes d'une jolie copine, aux intimités mises à nue? Les premiers baisers devront se répandre tout autour des lèvres...intimes, avant de commencer à s'insinuer dans l'antre de ce que nous décrirons avec une fleur de rhétorique, cueillie dans les tropes : une périphrase et non une métaphore, Idiots ! Le siège du plaisir féminin est ici ! C'est le meilleur... Prendre son temps, quand bien même la Belle serait à bout de souffle, prête à s'évanouir... 20 minutes consacrées en cette partie du corps ne seront pas de trop pour que la Belle gravisse les étapes périlleuses, jusqu'aux cimes du Mont Emé Gogo* ! *Il s'agit d'un lieu mythique d'Afrique Orientale, impossible à gravir...   Jean Canal.

Ces derniers jours, j'ai rencontré une Belle à Mirepoix, petite bourgade mesquine située en moyenne Ariège, versant sud-Est via Carcassonne, limitrophe de l'Aude de quinze kilomètres, à peine -l'histoire se déroula le 27 en fin de journée. Quand je la vis, j'eus tout de suite envie de la serrer dans mes bras et lui susurrer : "Où vas-tu donc, sans moi, mon Bel Amour ! Es-tu perdue, seule abandonnée par un vilain mauvais homme ?!" Elle me sembla abandonnée ! Sans amour ! Et sans compagnon de voyage... Non pas que je me sentisse de l'accompagner quelques années, bras-dessus, bras-dessous ; mais lui tenir de longues compagnies au lit, est toujours de mes aptitudes. Je réussis à entamer une brève conversation, durant laquelle je cheminai jusqu'à la séduction, sans trop savoir comment j'allai l'embrasser... tout en espérant mieux, le soir échu !  Je ne peux vous expliquer pourquoi elle me plaisait et ce qui fit qu'elle me plut aussitôt ; ou plutôt, si je le sais, mais cette partie intime de la rencontre ne peut vous être révélée...pour des raisons évidentes d'intimité gardée. Bref ! Le lendemain, dès le matin, je me rendis au lieux où je l'avais vue la veille, sachant qu'elle y serait, selon les explications fournis par elle. Elle n'y étais plus ! J'en fus contrit toute la journée, jusqu'à cette heure de la nuit du 28, à 1H 30mn. Je pense que je ne la reverrai plus ! Un souvenir de cette espèce s'efface langoureusement avec une autre rencontre, aussi éphémère que la précédente, etc. D'ailleurs, il me revient un autre souvenir qui n'en est pas un, mais qui ressort comme une simple anecdote. Jean Canal.                                                                                                  Permettez-moi de vous présenter un poète oublié, méconnu, voire banni et surtout mal jugé. Tristan Corbières, dans son recueil "Les Amours jaunes" foisonne de poèmes aussi cocasses les uns que les autres et rares de compositions conventionnelles aux classiques et consorts qui crurent sans cesse renouveler la Poésie ! C'est son Insomnie qui attira mon attention, jadis, lorsque je le découvris durant les années quatre-vingts. Le Crapaud est celui auquel Tristan Corbières s'identifie, en se reconnaissant comme maudit par la vie, elle-même ingrate envers ceux qui surent l'aimer à sa juste valeur, avec immuable fidélité. Dernièrement, avant de quitter Toulouse, je laissai un petit mot à une jeune femme pour laquelle je voudrais toujours préserver mon amitié : "Que la vie te devienne toujours plus belle chaque jour. Bises" Voici l'extrait du poème "L'Insomnie" de Tristan Corbières, issu des Amours Jaunes.

"Insomnie, es-tu donc pas belle ?... / Eh pourquoi, lubrique pucelle, / Nous étreindre entre tes genoux ? / Pourquoi râler sur notre bouche, / Pourquoi défaire notre couche, / Et... ne pas coucher avec nous ? "                                             

L'Insomnie devint au fil des jours un bienfait de la nuit, pour Moi, Jean Canal, qui met à profit les heures qui s'écoulent dans la nuit, entrecoupée de courtes pauses de sommeil, inachevé. J'aimerais dormir longtemps, sans ne jamais me réveiller, durant 24 heures ! Le sommeil convoque, chez moi, tous mes rêves qui n'attendent qu'à se manifester, afin que je les vive... Quelle chance de ne pas dormir comme tout le monde qui se vautre dans les profondeurs de l'oubli total de la vie. Ceux sont ces Insomnies qui me révèlent certains secrets et la présence des femmes connues qui viennent, à mon insu, s'inviter dans ma couche. Là en un profond secret de mes vies intimes, je m'endors enfin contre leurs seins que bébé je tétais, jadis... La nuit, la majorité des gens dort ! Ceux qui ne dorment pas travaillent où errent dans les villes. La nuit, le temps qui s'écoule paraît plus long et donne l'impression de pouvoir tout accomplir ! Je confirme. Hormis la pensée qui accroît sa richesse par un phénomène strictement naturel et particulièrement, moyennant les facultés cognitives que vous possédez pour appréhender le monde, le comprendre et l'analyser avec suffisamment de recul pour saisir l'Alpha & l'Oméga dont dépend votre personne, votre processus lié à l'intelligence humaine (puisque désormais nous en avons Une artificielle), s'adapte à toutes les situations présentées sous formes diverses, relatives à ce que vous vivez au quotidien. Là, plongés dans un silence immuable, vous assimilez les éventuels problèmes existentiels et y apportez multiples réponses, résumées à votre attitude propre à votre personne ! Tout s'éclaircit lucidement ! Tout devient évident à votre réflexion instinctive ! Le recul sur les événements vécus est suffisant pour tout remettre en question de manière existentielle ! La nature humaine vous semble désormais insignifiante au seuil de votre vie qui ne peut se permettre de s'embarrasser de personnes indignes de Vous ! Vous comprendrez alors que le jour, la vie interroge la plupart des gens, parce que vous êtes tout simplement engagé dans des obligations professionnelles, sociales et sentimentales : pourtant, les sentiments ne s'embarrassent jamais de contrainte ; ils sont naturels ! Terminons sur ce sujet que je n'aborderai pas ! Puis se manifeste la raison de manière étrange en ce sens qu'elle s'arroge le droit de vous juger. Cet acception peu commune dans les discours et encore moins dans les sentiments qui n'en font jamais état, si ce n'est en lui attribuant la cause de leur état d'âme ! Les sentiments ne se peuvent contrôler, contrairement à des idées reçues qui se veulent maitriser l'immuable ; ils ne souffrent d'aucune concession envers des manquement grave dans leur expression. On ne peut pardonner au prisme des sentiments froissés, touchés et blessés, comme une épanchement du cœur qui ne s'en guérit jamais ; et ceux qui s'en guérissent sont privés de ces sentiments qui incarnent l'âme. La cruauté les habite ! Ils la cultive comme méthode intrinsèque à leur individu, puisque là dans ces cas précis, nous sortons du cadre de la personne ! Ils en sont imprégnés de sorte à devenir dépendant dans leur quotidien, exploité toujours dans cet esprit de destruction ! Nous sommes, ici, confronté à la nature humaine la plus avilie de l'espèce dont le qualificatif est innommable tellement leur attitude n'entre dans aucun registre de l'éthique morale ! On pourrait même osé parler de pervers narcissiques (on les nomme aussi les cons invétérés) dont les symptômes reposent sur la tentative permanente d'annihiler systématiquement les personnes de leur entourage qui pourrait porter atteinte à leur charisme négatif ! Ils ne brillent que part l'élimination des autres ! Fin du chapitre.

"Un homme ne peut être lui même que tant qu'il est seul, et s'il n'aime pas la solitude, il n'aimera pas la liberté, car ce n'est que lorsqu'il est seul qu'il est vraiment libre." Schopenhauer

Et MOI, Jean Canal, je lui dirais à cette Jeune Femme avec qui je suis en lien sur le réseau social en question que j'aimerais rester tout seul, complètement seul et que l'on ne me sollicite plus jamais ! Les histoires de cul auxquelles les femmes, mariées ou pas, concourent à longueur de nuits torrides, ne m'intéressent pas ; car l'Amour, le Grand Amour je l'ai déjà en Moi, dans mes entrailles. Et je sais, par expérience que dans le sexe il n'y a pas d'amour, mais que du sexe ! Et que dans l'Amour, il y a du sexe ! Il faut s'aimer sans modération et s'accepter tel qu'on est ! Hélas !, pour celles qui ne comprennent pas cela, elles perdront l'essentiel d'une relation avec l'autre ! Elles ne comprendront jamais la pureté des sentiments qui s'insinuent intrinsèquement dans un couple ! Il sera vain de leur expliquer que, dans mon cas, la solitude a définitivement pris le dessus sur la vie de couple ! D'avoir trop aimer, on finit par n'aimer plus personne ; parce que l'on finit par avoir peur de l'autre ! On s'en méfit et on le tient distant, afin de se protéger et surtout préserver ce trésor que l'on possède en soi et que l'on ne veut plus partager ! ...et la solitude vous devient cette compagne fidèle, aimante, douce et pleine de prévenance à votre égard, avec laquelle vous retrouvez l'amour incommensurable que vous connaissez depuis toujours. Voilà ! C'est aussi simple... Passez donc votre chemin femmes jolies et pleines de promesses que je continuerai toujours à aimer. Vous en reviendrez un jour de cette illusion perdue (Pardon Balzac) Jean Canal. 21/06/24.
A propos de l'idée Sandra Philip que certains hommes se feraient (soyons prudents) à propos de l'idéal féminin : il n'y en a pas et les seules visions que l'homme a de la femme idéale, se renouvellent chaque fois qu'une nouvelle apparaît sous ses yeux ! Et je m'efforce de croire qu'il en est de même chez les femmes qui reviennent toujours déçues de leurs premières rencontres amoureuses. Voici donc et la photo et le billet que je rédigeais à cette Belle qui n'est nullement cet idéal féminin que je n'ai réellement jamais vraiment recherché, à cause de la multitude de beautés que les femmes incarnent, chacune à sa manière par les traits naturels qui les font être différentes les unes des autres. Je joins ici le PDF que j'ai osé envoyé à Sandra Philip qui vit aux Etats-Unis. Elle m'était apparue s ur les réseaux sociaux, non pas dans le cadre des sites pornographiques qui foisonnent autant que les sites de rencontres où les femmes appellent de concert à l'avènement de la sexualité, mais sur facebook où Elle se montre sous toutes les coutures, sans exhiber les dessous de son corps, mais étalant ses charmes mis en valeurs pour que les hommes lui attribuent un J'Aime sur son réseau ! Aucun fantasme ! Aucune envie de se masturber sur une image ou un film issu de youporn, le référent interdit aux moins de 18 ans... Simplement une invitation à rêver à cet idéal féminin qui hélas n'existe pas... L'imagination décompose l'image comme l'œil porté sur les femmes, observe défaut, qualité et excessivité de leurs corps. Sandra Philip ne possède pas ce que j'aime le plus chez les femmes : les seins ! Les siens sont trop volumineux... Il est puérile de rechercher toute sa vie, sinon vous, les Femmes, vous laisserez passer l'occasion pour celui que votre cœur choisit et pour lequel il bat la chamade...  Sandra Philip 21 juin 2024. 21H.
-Bienvenue dans le monde virtuel des Réseaux sociaux. Les Femmes de tout âge occupent la prime place dans ces espaces d'expression directe. Et Elles ne déblatèrent pas que des conneries ; au contraire, certaines d'entre elles dissertent sur le comportement des mâles ! Elles enseignent aux hommes les rudiments des comportements à observer à leur intention. Bref  ! Je me régale à les voir, les écouter et de surcroît communiquer avec Elles. Bref ! Que du bonheur en ligne et plus si affinité... C'est impressionnant cette liberté qu'Elles prennent sur les sites de rencontre où, Elles dévoilent leurs parties intimes, les exposant pour en déguster l'essentiel. Les zones les plus érogènes de leur corps nous sont définies, avec moult détail sur leur emploi : les seins, en fait, la première partie que j'affectionne le plus, à condition qu'ils ne soient pas trop volumineux.., sont le centre de l'excitation (ça tombe bien c'est là que je passe le clair de mon temps, quand je suis invité par une Belle). Ensuite, Elles ouvrent leurs jambes afin de nous montrer leur partie rasée, proprement entretenue et les lèvres désireuses d'être couvertes de baisers (c'est ce que je préfère quand cette partie intime est propre...). Voilà ! Je termine car je vais encore m'exciter et l'onanisme excessif épuise... 27 juin 2024.Les plates-formes du net dispensent des moyens de s'exprimer librement, tout en respectant les règles de la bienséance. Les Femmes y sont les plus nombreuses et y ont découvert le moyen le plus efficace pour exprimer tout leur ressenti ! Sans aucune animosité envers les hommes, contre lesquels elles auraient pourtant tellement de défauts à leur reprocher, notamment sur leurs attitudes, ces femmes font part de leur état d'âme dans une société dépeinte de façon presque désolante. Elles sont emplies d'amertume sur leurs relations amoureuses présentées comme un échec ! La plupart se retrouve seule et éprouve d'abord le besoin et ensuite l'envie de recouvrer un compagnon pour revivre une autre aventure amoureuse, en corrigeant tous les défauts des premières expériences infructueuses vécues en Amour, tant rechercher ! La première impression en les ayant découvertes, fut la tristesse de les voir presque quémander aux hommes de les aimer ! Ce sentiment purement naturel est normalement un acte spontané de l'une envers l'autre, sans aucune concession, évidemment. Si des conditions de vie commune prennent le dessus sur les sentiments, l'histoire d'amour en perspective est compromise. Néanmoins, des couples s'en satisfont et acceptent ce genre d'accord... En outre, les femmes se libèrent des tabous qui les ont entravées dans leur démarche amoureuse et sexuelle. Elles se responsabilisent enfin et assument leur entité à part entière, tout en mesurant également les erreurs de leur appréciation dans des relations sexuelles pauvres en amour... L'Amour reste donc la valeur suprême qui valorise les humains ! A nous tous d'y concourir... Jean Canal. A suivre, je suis réveillé. Il est 1H du matin, le 21 juin 2024.
"Et si je vous parlais des ces âmes errantes appartenant à notre humanité perdue, non pas égarées dans l'espace qui les circonscrit aux limites de notre temps, mais de ces âmes qui planent éperdument au-dessus du monde, dans l'infini perpétuité de la vie éternelle, loin des turpitudes quotidiennes que la vie impose tristement à tous ! ? Elles n'ont jamais véritablement appartenu au monde tel que vous le concevez ; faisant uniquement acte de présence par substitution, elles se fraient un chemin, itinéraire de circonstance, parfois de fortune (au sens latin), emprunté prudemment pour ne pas en subir les formes accidentées qui les endommageraient, si Elles suivaient votre parcours conditionné aux aléas existentiels. Nous ne sommes que quelques uns à en faire partie ; à peine une poignée de mille qui ne trouveront jamais leur place, ici bas ! Déplacés, en dehors du monde, elles n'apaisent jamais leurs tourments, hélas !, et jamais ne rencontrent le bonheur tant recherché des hommes, sans aucun espoir de s'assoupir en un seuil où la plénitude de l'existence se présenterait nument, offerte en guise de compensation dans un seul but de ponctuer cette pénible vie. De se survivre à elles-mêmes, ces âmes finissent par se retirer du monde, affectées par l'ensemble de la communauté humaine, tout en se tenant à distance de ceux qui en cultivent une autre vie, communs mortels, qu'elles regardent vivre, sans intervenir ! Et si Elles donnent les apparences de vivre selon les schémas imposés, c'est que, Elles aussi, se laissent intentionnellement emporter par la vague, par ennui du temps qui ne passe pas suffisamment vite pour l'ultime voyage, patiemment attendu !La fin en soi sera-t-elle le signe ostentatoire de ce bonheur inconnu de la vie ?" 11 juin 2024. 1H 30MN. Jean Canal.
Comme il est très attendu en Ariège, le Roman de "Les Gens d'Ici" se continue, là où il ne semble point être dans son contexte ! Les informations collectées au cours de dix années se doivent de renseigner sur des individus, appartenant à ce que l'on peut nommer, sans vergogne, de Canaille ! Les villages, bourgs et villes en sont farcis avec ces temps tellement difficiles que les autochtones se vendent aux autorités qui organisent la pagaille à des fins purement personnelles. Jean Canal en fait un point d'honneur pour laver une atteinte portée à sa dignité intentionnellement bafouée par les autorités incompétentes des lieux qui sont d'ores et déjà cités dans ce merveilleux récit d'un Toulousain débarquant en pays ariégeois... Patientez jusqu'en 2025. L'ouvrage vous sera commenté de fait par ceux et celles qui réfutent l'esprit collaborationniste hérités des aïeux des années 39/44. En ce jour de commémoration du 6 juin 1944, il était normal que, Jean Canal, aussi commémore à sa façon la journée des traites à la nation. Vous n'êtes pas suffisamment cons pour croire que l'oubli ou au pire le pardon efface dix années vécues au village des ordures ! Salut. Et à bientôt de se revoir... Une pensée strictement personnelle à la Gendarmerie de l'Ariège... Enfin !, il n'y a pas de quoi en faire une crise diplomatique de Région, comme vous la souligné le Petit-Major en question. Un Roman, en littérature, reste une "Fiction..." Salut.

Ne voilà t-il point que vient vers mois une fée tombée des nues printanières, destinée à satisfaire mon appétence pour la vie. Elle était jolie comme une fleur de printemps qui venait juste d'éclore de son bourgeon et dont je fus invité à cueillir le bouton en fleur. Elle exhalait les fragrances primesautières de l'Amour que les filles de son âge glanent au gré des rencontres inopportunes de la rue. Nous étions tout deux à disputer sur les variétés du Cannabis, bien sûr, et de musiques chères à mes souvenirs dont ma mémoire fredonne encore les notes musicales répertoriées dans les annales de la postérité populaire. Il s'en fallut de peu que je la prisse par la main et l'invitasse à partager un instant, le coin de ma couche afin que je lui dispensasse sa première leçon de choses amoureuses, dont le programme aurait commencé par l'art du baiser langoureux... C'est par cette manière que les filles se laissent dégrafer leur soutien gorge... Bref !  Je la laissai repartir sans doute pour rejoindre son amoureux...et moi ma tendre solitude, sans laquelle je ne pourrai point écrire ce que je vis. Me voici donc en médaillon. C'est sous cet aspect de hippie en "Herbe" que Annie me vola ma virginité, toute une nuit...et je n'ai jamais oublié cette aventure romanesque... que le jeune Fille rencontrée aujourd'hui, raviva en ma mémoire émotive. "Viens, je voudrais, de mes lèvres, couvrir tes seins de baisers..." 24 mai 2024. Côte Pavée... Toulouse.

Et si ce fut le choix qui me fut assigné, comme une obligation de se survivre à soi-même, que la vie me légua en héritage de mes aïeux, qu'ils fussent Ariégeois, Lotois ou Tarnais (l'autre origine n'appartient pas à la littérature). Une espèce de fardeau transporté durant des années, sans en alléger le faix qui supporta mes peines. D'autres avant moi, ont trainé leur misère là où ils se déplacèrent, se persuadant à la longue que le destin relâchera son emprise, une fois les contentieux absous ; mais en vain ! Tout fut écrit, déjà, il y'eut longtemps en des lieux prédestinés à accueillir les êtes de mon espèce. Nous sommes en sorte une tribu errante qui ne trouve plus sa place quelque part. Et quand une femme insolite, singulière aux autres apparaît, c'est alors l'affolement qui emporte le peu de raison qui demeure chez l'être épris soudainement d'amour. Je me pris donc à l'aimer, le temps que s'étiole ce désir très éphémère en fait, si l'on tient compte du temps qui sépare les premiers instants de cette fin inéluctable des sentiments éteints, voire étouffés dans leurs premiers instants de bonheur ; les femmes le pressentent, mais si résignent, comme par crainte de tout perdre... Le bonheur se formule lui-même en quelques moments tellement profonds que les souvenirs s'en souviennent éternellement. Les êtres qui le connurent n'en sont toujours pas revenus de l'avoir rencontré, dans leur vie de misère... En fait ce bonheur tant espéré de chacun, que cela soit consciemment ou non, ce bonheur est furtif, presque sinueux dans sa présentation. Il ne se dévoile pas forcément à la prime lueur de l'amour qui s'y dissimule. Jean Canal...en pensant à 1 femme... 21/22 mai 2024.
Rare certes de confondre les deux visions des sociétés. Le virtuel qui s'exprime sur la toile dans tous les réseaux, reflète pourtant de plus en plus la réalité dont on ne peut soupçonner, quelquefois, la splendeur des images : https://www.facebook.com/reel/709811821233006
presselibre.fr Pour vivre en couple, il faut d'abord s'aimer. S'aimer d'amour. D'un Amour incommensurable qui ne peut se rompre sous le fait des rancœurs que les autres suscitent par jalousie. Il faudrait presque vivre cachés pour que le bonheur enfin trouvé ne se perde plus jamais. Alors comme pour l'amour propre que l'on a pour soi, IL a fini par s'aimer Lui-Même dans une infinie tendresse éternelle. Jean Canal 14 mai 24. 21 heures. France.
De nos réseaux sociaux est apparue cette publication émouvante from US. Texas !       seek to be Whole not perfect -Haley Ollinger Enregistrement du son de la vidéo qui apparut à mon sens, seulement selon mon ressenti, spontanément éprouvé, comme une espèce de message 'offert' dans un élan de bonté divine. J'y ai vu toutes les expressions d'un visage empli de beautés singulières, les unes autant marquées que les autres par des signes de vérité ineffable dont personne ne peut réellement en déceler le secret caché. Le visage entier est inspiré par la pensée qui s'échappe de chacun des mouvements expressifs de tous les éléments qui harmonieusement le compose. Jean Canal 12 mai 2024.  Haley Ollinger
Poetry only for You "The more I look at you, and the more I listen to you, you appear to me as a Beautiful Soul ! I'm coming to love you... and have a deep respect for you. Nevertheless, I do not hide from you that your beauty seduces me infinitely and so I fell in love with you ! And let me declare to you my burning flame of loving you for life." It's been a long time since a woman has impressed me so much with the charisma she exudes through her beauty. I still look at you with nostalgia that I have never met a Beautiful like you on my way. From now on, I will not be able to forget you and will take you with me wherever I go in Europe... I love you. Rare were the times when a woman of ideal features presented herself at the same time, in an inopportune manner, and in ephemeral circumstances which life placed in my way, as if she wished to make me understand that the beauty I sought in vain was before me. Your eyes, their expression and less their blue color, captivate my gaze which is directed towards that strand of hair that choks on your face in an offended third. Then a few classic jewels crown your sober clothes that your body embellishes with its classic presence. I love all that is in You! I love everything that comes from You. John.More Jean Canal, himself, that the editorial staff of presselibre.fr opted for the choice of relaying the videos of these women who present themselves looking for companions, friends, husbands and/or lovers. This shows the evil that affects these loveless women! Their form of eroticism, expressed in wonderfully composed stagings, attests to their haunting disappointment, of being abandoned, from one day to the next, for causes inherent to their situation as women. Aging for a Womanmy loveless! I shall remain glad with a heart full of happiness to have listened to you lovingly. You have touched my heart.

L'Amour et AMOUR simple

LITTERATURE POETIQUE Voici des extraits brefs, parfois décousus de sens, que je rédige, lorsque m'apparaissent des êtres sortant du commun des mortels. Ici, les faveurs sont consacrées à Une Américaine, du Texas, omniprésente sur Facebook. Je lui déclare mon amour ; quand bien même n'en aurait-elle cure. L'essentiel repose dans ce que des êtres hors du commun donc, dégagent comme puissance dans un charme inhérent à leur personne, sanctifiée par cette grâce divine : "You embody the source of inspiration for writing, especially in French, simply by listening to yourself, but above all by listening to the timbres of your voice, its intonations and, also, the expressions of your face, which perfectly reflect your intelligent thoughts. I love you. The expression of your whole face, leading with its features, an evanescent reverie towards the love that invites itself into it, reveals a rare purity of soul, almost exfoliated from your body where it seems to alternate with reality and dream: the one that I entertain at every moment of your thoughts. A ma Muse donc qui je ne le sais que trop, disparaitra le moment venu pour laisser la place à Une autre qui se sera égarée ailleurs, quelque part perdue dans un univers de plus en plus exécrable... C'est rédigé en anglais, mauvais certes, mais suffisamment clair pour que la Belle en prenne connaissance. Ce qui est systématiquement fait, quand je lui écris... Ces écrits feront l'objet de révision dans ma langue maternelle, afin d'encenser le texte et de me conformer à la part intrinsèque qui appartient à la réalité, à laquelle je devrai me conformer, les moments venus. Jean Canal 10 mai 2024.
Ainsi, j'en ai déduit que le virtuel est beaucoup moins cruel que la réalité faussée par les mensonges des gens et l'hypocrisie qui reflètent un monde tellement ignoble qu'une population cultive sans avoir conscience des risques encourus sur leur comportement qui attente à la paix civile, voire universelle. Les exemples des récents conflits et des guerres actuelles en sont directement les effets de causes typiquement humaines. L'homme est définitivement mauvais sur tous les points ! Ces femmes qui se produisent sur les réseaux sociaux ne sont pas des catins occasionnelles ! Elles ont besoin d'Amour ! Elles sont des femmes à part entière, mère pour certaines, divorcées, abandonnées par leurs époux et se retrouvant seules face au défit de l'existence... Jean Canal. 6 mai 2024. Le lien : https://www.facebook.com/reel/7783667295034226
Comment trouvez-vous mes compagnes virtuelles des Réseaux sociaux, avec lesquelles j'éprouve une certaine compensation intellectuelle... Les femmes sont-elles capables de telles prouesses pour présenter leurs charmes à n'importe qui, me suis-je demandé, en découvrant tout ce que se fait en matière d'érotisme ; puisque c'est le thème de la diffusion...internationale. Eh bien, une pensée évidemment que vous ne pûtes émettre en ce qui concerne ce sujet, ce sont les femmes en détresse de solitude qui m'ont le plus ému... n'en déplaise aux critiques de votre part fondées évidemment sur le stéréotype de circonstance que leurs présentations légères incitent. Elle sont belles d'abord et malheureuse ensuite ; car on ne se produit pas sur les réseaux sociaux de la sorte quand le bonheur est à vos pieds. Leur beauté n'est pas un gage de bonheur. La beauté ne garantit point que cette dernière vertu assure la continuité du bonheur, hélas !, éphémère... C'est un phénomène naturel qui s'inscrit dans la relation entre-deux ; il faut l'accepter en ne songeant point à son arrivée, d'un moment à l'autre. Les êtres sont-ils réellement fait pour vivre à deux ?! Etant inscrit sur deux sites de rencontres coquines, personnellement, je ne ressens aucune envie de rencontrer quelqu'un, soit-elle une belle créature, pour échanger, encore, sur les raisons des pourquoi la vie est ainsi faite... Je la vis, tout simplement, de manière à en saisir mes opportunités et non celles que vous crées... Tout le secret de l'existence repose sur ce principe caché qui révèle à un moment donné que la vraie vie est toujours ailleurs, là-même ou personne ne l'attend plus ; et le bonheur advint de lui-même ; sans que l'on lait provoqué ou bien invoqué. Jean Canal Auteur. 5 mai 2024.
Récit"C'était une femme complètement abandonnée, non plus par un homme qui n'avait su lui apporter un peu d'amour, mais tout simplement par la vie qui l'avait déclassée dans son organigramme affecté à toutes celles dont le corps avait fini par transformer leur anatomie, en leur défaveur ! C'est quand ces femmes-ci prennent conscience des désavantages que leur anatomie présente tout à leur corps défendant...qu'elles engagent un comportement qui les libèrera des conséquences désagréables que le temps engage sur elles, jusqu'à accroitre des contraintes qui finiront par les indexées dans les registres de ces êtres dont les hommes, ingrats de nature, ne reconnaissent plus ce corps spolié par la vie ! Phénomène naturel dont l'homme doit tenir compte s'il veut préserver la femme de sa déchéance superficielle. Celle d'aujourd'hui, m'avait remarqué, et vint dans ma direction pour que je fusse attiré par elle. Elle me regarda et se pencha vers mon visage pour voir si mon minois lui eût convenu... En tout a priori, je lui plaisais, plus que je pusse me l'imaginer, sur l'instant où son regard croisa le mien. L'instant fut furtif et sa fugacité à quitter ce coin de rendez-vous improvisé, devant des rayons de produits écologiques bios, me surpris à peine, étant donné que je vaquais à une situation consistant à me choisir un fromage dans le rayon d'un super marché bio : chez Marcel ! On peut d'ores et déjà affirmer qu'il n'existe pas d'endroit prédestiné aux rencontres entre des personnes désireuses de s'aimer ; et cela sans avoir pris rendez-vous. D'ailleurs, ni Elle, ni moi ne sûmes réellement si notre intention fut de se lancer dans une histoire d'amour, en ce matin d'avril dont notre temps allait être employé à se ravitailler commercialement en nourriture. Rien ne le laissait présagé, étant donné nos tenues vestimentaires négligées ; du moins, peu propice à ajouter de la coquetterie à nos apparences qui ont été jusqu'à tromper nous-mêmes. Nous ressentions, l'un et l'autre, sans se consulter, une envie de s'enlacer, de se caresser, s'embrasser, là-même en un lieu ne convenant nullement à ce genre d'étreinte. Ce phénomène tout à fait naturel m'était déjà arrivé, en d'autres circonstances, quand le monde extérieur à nos deux corps positionnés en vis-à-vis, s'appellent l'un, l'autre à enfreindre les codes faussés de la bonne conduite : en Amour, seule la conduite des gens qui s'aiment compte pour leur amour... C'est hélas, ce qui n'avait pu fonctionner avec la Belle Brune du Bourg ariégeois, laquelle était incessamment harcelée de critique me concernant, intentionnellement entretenue par des gens exécrables par leur naissance -l'effet du microcosme d'un village est néfaste pour des relations intimes que tout le monde sut avant même le principal intéressé : Moi !- Donc plus signe de vie d'Elle qui, pour corroborer les critiques dont je fus l'objet, me fit une dernière grimace (une forme de moue de la bouche) sur le parvis de la cathédrale où elle avant fixé un rendez-vous professionnel : Elle me répudia sans ne jamais entendre ce que j'avais à lui dire sur un amour éteint sous les cendres... Je m'inclinai donc, sans coup férir, fermant ce beau roman qui se résuma à un magnifique poème, ayant été composé à son intention, que j'avais archivé dans mes documents précieux. Pas un mot d'Elle, pas un message sur mes réseaux sociaux pour me faire part de ses sentiments ou ressentiments à mon égard ! Comme l'écrivit Rutebeuf "L'Amour est morte." Ne regrettez rien, sinon vous allez vous morfondre et vous torturer l'esprit ! Il faut savoir ensevelir ses souvenirs, du moins ceux-ci, quand ils sont encore récents... Oubliez ses malheurs avec le bonheur que d'autres prodiguent... La recette est très efficace ; les femmes la pratiquent ré-gu-liè-re-ment ! Ayant très vite compris le harcèlement des racailles du lieu et d'ailleurs à son encontre, étant moi-même immunisé par ce genre d'individus et leur ignoble procédé, très caractéristique des mentalités viscérales du bled, je me retirai de cet Amour perdu. Elle se consola très vite avec ceux qui l'avaient convoitée pour me nuire ; uniquement pour détruire à mon bonheur qui n'existait pas et s'il fut un jour présent, il se formula par des années échelonnées sur à peine un dizaine d'années entrecoupées par rois femmes dont je préserve précieusement notre souvenir..! En ce qui concerne désormais, ma nouvelle Egérie, à aucun moment, nous ne fîmes attention à la manière dont nous fûmes vêtus ce jour-là. Ce qui prouve, encore une fois, que tout et son contraire peu jouer ou non en la faveur des êtres, lorsque ceux-ci sont appelés à rencontrer une opportunité amoureuse dans leur vie ! Moi !, Elle me plaisait, avec ses presque quarante années difficiles à accepter. Je n'avais pas parcouru discrètement du regard si ses seins furent à mon goût dont je ne peux, ici, dépeindre les formes et volume espérés trouver... Il m'était arrivé avec la Belle Hélène de me retrouver au lit avec Elle, sans avoir au préalable remarqué qu'Elle était plate..! C'était trop tard ! Nous étions chez moi, nus dans mon lit, sous des draps qui bientôt me démontreront que j'avais bien fait de me trouver là, avec Elle (Elle compensait ce manque à gagner par des pratiques inclassables dans un manuel sexuel, inventé pour ce genre d'exercice physique)." A suivre... 19 avril 2024.
Post-Scriptum : ce récit ne fera point l'objet d'une éventuelle publication dans un recueil de nouvelles ; où alors, il sera strictement modifié pour ne pas donner l'occasion perverse aux racailles des villages d'en exploiter un fond, à dessein de semer la rumeur au-delà de sa capacité à diffamer sur "les Choses de la vie." Le texte disparaîtra de la publication publique et demeurera, comme le poème, dans les archives qui reviendront à mes héritiers... Son exploitation relèvera alors des tribunaux qui statueront sur l'éventuel délit de diffamation  qui en ressortirait...

En les ayant relus, les uns après les autres, je découvris que ce que j'avais écrit, il y a maintenant presque vingt ans, et que j'avais négligé, comme je néglige les personnes et les gens, auxquels je ne suis point attaché, et cela quand bien même fussent-ils les miens, en les relisant, je les trouvais beaux ! Beaux de simplicité, de vérité et même de pureté ! J'ai retrouvé une autre nouvelle abrégée adressée à une Jeune-Fille dont je ne me souviens absolument pas l'avoir connue. C'est dommage. Imaginez que vingt ans plus tard, je lui offre cette Nouvelle en lui disant : "Voyez-vous Mademoiselle, j'avais écrits ceci sur vous parce que vous m'inspirâtes, lorsque je vous vis passer au loin, à proximité de mon regard que j'avais jeté sur un coin de paysage. Alors, permettez-moi de vous offrir ce qui est le plus précieux à mon sens : l'écriture. Je n'ai jamais rien attendu de femmes dans ce domaine-ci, car elles n'écrivent pas et redoutent qu'on les lise ! Voilà ! Cher Lecteur. Fais-en bon usage, sans abus, sans mauvaises interprétations comme tu as la sale habitude de le faire... Jean Canal. 16 avril 2024. 

A La Belle de Avignon. Avignon, ville splendide par son architecture et l'esprit qui s'en dégage, en son centre historique. Le passage de François Pétrarque et de la Belle Laure y ont définitivement jeté l'anathème contre tous ceux qui se risqueraient à lui ravir sa beauté éternelle qui demeure encore présente chez d'aucunes qui en usent, avec une juste coquetterie, bien établie en une silhouette parfaite, dont je fus la victime en ayant voulu jeter une œillade soutenue sur son corps déifié en ces circonstances, que les braises de mes yeux enflammèrent, de sorte à fronder son hautaine attitude, entièrement dévolue à mon corps sans défense... Le passant insignifiant que je fus ce matin-là, après l'ouverture des boutiques de prêt-porter-de-luxe, où, sur le pas de la porte la Belle grilla une cigarette (je descendais la rue en face ; ce qui me permit à loisir de contempler cette princesse sortit des contes pour adultes). Elle n'eut, à mon égard, aucun regard, pas même une vue vagabonde qui eût tombé inopinément sur moi ! Je connaissais les femmes pour leur cruauté ; je fus donc un repenti de mes désirs étouffés, reconduits en d'autres desseins moins nobles !  Je ne reprendrai plus jamais cette rue. Je ferai, s'il le faut d'immenses détours afin que son souvenir ne vienne plus jamais me hanter. Et j'oublierai, comme j'en ai le pouvoir, celles qui me sont apparues les plus Belles de ma vie. Jean Canal. Six avril de l'an deux mille vingt quatre. Villeneuve Les Avignon. Photo Jean Canal. Copyright...et tribunal en cas d'usurpation de travail !

En me rendant à un rendez-vous qui m'oblige à me vêtir exceptionnellement de façon très élégante, comme jamais l'on ne me vit au Bourg des Idiots, ou je vécus en Ariège, je voulus voir s'il exista vraiment une femme à la beauté semblable à celle de Laure de Noves, près d'Avignon où je me retrouve pour des circonstances dont je ne peux vous dire les raisons... La belle Laure n'existe plus et c'est tant mieux, car j'eusse souffert qu'un Idiot me l'eût ravie ; à Moi qui l'eusse comblée de ce bonheur à jamais perdu qu'elle rechercha, en vain, toute sa vie ; alors qu'Elle le vit passer, un jour, sous sa fenêtre. Les amours chastes sont les plus belles, en ceci qu'elles réussissent à vaincre l'adversité des autres qui tentent d'en détruire la pureté. 3 avril 2024.

Les prolégomènes de la pensée, s'ils devaient exister se résumeraient à un condensé de verbes au sens où les entendaient les Grecs anciens, à savoir le Logos λόγος, et surtout, au texte anciens issus de la Vulgate romaine In principio verba erat, qui n'est autre que l'ancien Testament dans lequel apparaissent nettement les textes de la Torah juive : transmission de la pensée de Yahweh à Moïse. C'est-à-dire que avant le verbe, il y eut la pensée, phénomène naturel, donc, par lequel naît l'expression pas encore écrite, mais formulée par des onomatopées semblables à celles du nouveau-né qui tend à émettre une vocalise afin d'exprimer cette pensée native d'un mouvement humain, dont l'enfant ignore tout. Dieu en est absent, à ce niveau-ci, ni le spirituel, ni les formes religieuses ne se peuvent être ostensiblement présentent. Le souffle, celui du Soufisme, le Pneuma grec πνεῦμα que parfois les vents transportent au loin vers des âmes aspirant à communiquer, se formalise par des spasmes hautement évocateurs de l'esprit ! Tout repose sur la Pensée profonde de soi envers l'autre, sans aucune interférence adverse qui détruirait la pureté du message : message d'amour, ici, qui est reçu, sans conscience aucune de la part de l'être absent des sentiments qui l'habitent. Voilà ! Vous en saurez suffisamment pour en tirer toutes les conclusions qui conviennent à l'usage que vous en ferez, selon vos capacités à recevoir le bien, le bon et le beau. Voir à ce sujet Plotin, les Ennéades. Jean Canal. 19 mars 2024.

J'avais su préserver le rêve des atteintes constantes portées par des personnes me rappelant que l'on ne faisait pas sa vie sur un nuage. Voilà plus d'un demi siècle que ma vie s'est construite avec les rêves, entre ciel et terre et le plus souvent, il est vrai, perché quelque part ailleurs de là où généralement je me trouve. Le voyage est intérieur : on peut aller très loin en demeurant sur place... Certes des nuages, j'en suis descendu, étant donné que la société ne prend guère en considération ce genre de définition de l'existence. Les rares qui s'y ont adonné, avec succès pour certains, mais toujours œuvrant dans une vie difficile d'accès où les autres ne peuvent pénétrer, sont entrés dans la postérité littéraire ; je n'en demande pas autant ! Seuls Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont et avant eux Gérard de Nerval (doit-on, pour ne froisser personne, songer à Paul Verlaine?) Aujourd'hui, en ce mois de mars 2024, rêver est plus que jamais nécessaire pour s'écarter du délire général des sociétés, voulant gravir les étapes d'une économie mortifère qui nous emportera tous, y compris ceux qui la produisent. Alors, pensez un peu, Jean Canal doit impérativement cesser de se balader dans son monde où il crée un univers réservé à un entourage restreint constitué de gens que l'on ne croisent jamais ! Autant le fusiller sur la Place publique, après un jugement populaire, afin que l'Histoire se souvienne que la Plèbe se sera suicidée selon sa propre volonté. La Justice en ce domaine ne prévalant pas, elle demeure donc passive sur ce qui n'entre pas dans le cadre des Lois humaines !

LA NOUVELLE En ce mardi 12 mars de cette année courante, j'avais presque oublié le prénom de celle rencontrée inopinément un jour de pluies abondantes qui s'abattaient encore en pays occitan, dans le pays narbonnais ; et pourtant, à Elle, j'avais songé à lui demander comment elle se prénommait, certes prudemment, presque formulé du bout des lèvres par craintes d'accuser un refus. Par déférence à ses attraits 'délicieux dont j'étais d'ores et déjà épris, je me précipitais dans mon histoire romanesque que j'étais en train de faire naître, à partir de sentiments conjugués dans d'indicibles pensées, subrepticement surgies de cet instant heureux, annihilant ainsi tous les malheurs, dernièrement survenus. Mon grand malheur, dans un tel contexte, est que je finis par oublier ces visages, si je ne les vois pas trop souvent, lesquels sont remplacés par d'autres, comme durant ces moments de halte en un lieu qui m'est familier, où je me trouve actuellement, espérant que celle qui m'y rencontra, revint me voir... Donc, cette injonction dernière ne se formula pas et me permit d'espérer une prochaine rencontre qui, cette fois-ci, se rapprocherait des sensations que nous partageâmes déjà, l'un pour l'autre, sans en comprendre les raisons qui faisaient que nous fûmes attirés l'un vers l'autre. Chez ces êtres voués à une attirance réciproque, ni l'un, ni l'autre ne sait réellement pour quelle raison ce choix s'effectue, en surprenant leur attention plutôt occupée à de quotidiennes tâches civiles, obligeant à occulter ses sentiments amoureux pour un être. Une espèce de passion soudaine naît d'abord dune apparence ineffable et s'accroît ensuite moyennant des rapports qui s'établissent de façon singulière, sans presque n'avoir provoquer un quelconque intérêt d'où sourd toujours une raison, pas forcément explicable. Connaître son prénom ne fut qu'un prétexte pour aller plus loin dans ce que je pressentais devenir une belle histoire d'amour. Ce serait le couronnement de tout une vie de terminer mon existence à passer du temps à prendre soin d'Une Belle, en entreprenant tout ce dont une femme attend réellement d'un homme ; à savoir la libérer de ses obligations quotidiennes qui l'emprisonnent, elle aussi. La servitude à l'autre s'instaure à l'escient des désirs de l'autre... Et il est vrai qu'une femme en remplace facilement une autre, quand bien même crûmes-nous y être très attachés ; contrairement aux apparences qui en signifient la sentimentalité, les êtres possèdent le pouvoir de séduction qui gomme, celle que l'on croyait être sienne. Celle que j'attends, jusqu'à un certain jour, pas plus, est tout simplement jolie. Elle n'est pas simple. Cependant, je lui plais ; c'est déjà un atout ! Je ferai le reste afin qu'elle se sente en confiance, rassurée et aimée (son mec l'a abandonnée, elle aussi !). Bref !, si je n'en parle pas, c'est quel n'est pas venue... 12 mars 2024.

Abandonnons les cons à leurs vies puériles et investissons-nous dans la lecture. Laissez-moi plutôt vous conter mes aventures romanesques au sein de...la Littérature, au quotidien -la nuit- de mes lectures, soient-elles abrégées ou bien continues, comme avec des auteurs majeurs dans le monde des Lettres (aucun contemporain, par contre ne détournent ma pensée de mes investigations dans des domaines précis qui m'orientent vers une autre vie repensée à l'aune de grands changements dont vous ne semblez toujours pas prendre conscience et c'est tant mieux...). La Comédie humaine de Balzac revient au goût des nouveaux jours ; les miens. L'existentialisme dans "La Peau de chagrin" présentée de façon fictionnelle me laisse pantois et quelque peu dubitatif sur cette interprétation de la vie, son sens et sa fin ultime. Puis, il y a Pauline ! Heureusement que Pauline est là pour vous faire rêver, comme la jeune femme rencontrée quelques minutes en une ville de province, ce samedi 2 mars. Le même effet se produisit avec Eugénie Grandet qui devient séduisante sous tous les points. C'est d'ailleurs cette association d'idée qui me fait revenir sur le romanesque de Balzac, précisément ici. Les personnages de l'auteur existent bel et bien dans notre société ; il suffit de les trouver, sans jamais les chercher, en tombant dessus, au détour d'une rencontre. Ces deux femmes conjuguent une entité singulière, comme chez la plupart des personnages de Balzac (Le lys dans la vallée est significatif de ces traits de caractère.) Alors, à un moment donné, je fus en présence de cette féminité que le quidam ne perçoit pas : une femme quelconque, du moins en apparence, m'expliqua certaines chose simples qui éveillèrent en moi une nouvelle façon d'envisager les rencontres : elle revêtait à la fois la beauté imaginaire des deux héroïnes de Balzac, mais qui plus est, elles incarnaient à elles seules leur caractère. A bientôt. 3 mars 2024. 

C'est à partir d'une photo moins érotique que celles que j'avais intentionnellement publiées, prise par la troisième femme que l'on ne voit pas : Delphine que l'idée me vint, en la regardant presque un demi siècle plus tard, de rédiger sur le contexte de l'époque ; parce que, effectivement, ce fut une période rare en enrichissement humain. Le faux mourant alité sur sa couche, c'est bel et bien Jean Canal, moi-même, donc, qui se fait dorloter par les filles avec lesquelles, il vécut de nombreuses années à Toulouse, centre ville, soit à peine cinquante mètres de la Place du Capitole... C'est dire que le lieu fut propice aux rencontres. Et quand de nouvelles filles arrivaient, rapatriées par les accoutumées et plus anciennes, les nouvelles invitées savaient déjà chez qui elles arrivaient : "Voilà, Jean, c'est Lui !" Et moi, je demandais toujours leurs prénoms, par curiosité. Elles avaient fini par prendre goût aux miens et adopter mes habitudes. Elles invitaient des copines chez moi où musique, lecture et autres agréments se pratiquaient naturellement. Elles avaient pris l'habitude de m'embrasser sur les lèvres, chaque fois qu'elles arrivaient. Je finissais par ne plus être chez moi. Et mon goût pour ces êtres merveilleux me fut immodéré de telle sorte que je m'abandonnais délibérément à leur sensuelle volonté de faire de moi ce qu'elles désiraient. Ne vous y trompez pas, elles possèdent une sensualité envoûtante qui encore aujourd'hui me captive : elles modifièrent le regard que je dépose toujours sur les moindres parties de leur corps, lorsque une apparaît distinctement des autres. J'étais confronté au sain des sains de la féminité ; et ayant presque oublié mon omniprésence, elles disputaient sans égard pour ce que j'entendais sur les quelques mâles qu'elles rencontraient, en dehors de mes pénates, s'entend ! Chez moi se trouvaient du thé vert, des bières et quelque chose à grignoter ; car, la plupart était étudiante, sans trop le sou et étirant les fins de mois, sur les frais occasionnés par des sorties nocturnes torrides... A suivre, selon mes inspirations...  Dernier jour de ce mois de février 2024. Jean Canal.

Vous conter une brève anecdote, composée en forme de récit, bref !, pour ne pas abuser de votre temps qui, je n'en doute pas doit être si précieux que vous oubliez de le vivre. Ce n'est point ce dernier mot qui m'interpelle, parce qu'il est si vide de sens eût dit Diderot, dans sa correspondance avec d'Alembert (les deux principaux compères de l'Encyclopédie), mais celui de la Liberté et de son verbe, conjugué à toutes les formes verbales possibles que la grammaire autorise dans sa forme. "La Liberté" vécue pleinement, dans son état : "Je suis libre !" Libre de vivre selon mes pensées qui, vous vous en êtes aperçues, ne correspondent point aux vôtres, non pas parce les miennes sont meilleures, mieux que les vôtres et que sous quelques prétextes, j'eusse trouvé la pierre philosophale (quoique là où j'en suis de mes lectures, je risque fort de l'approcher et même de la caresser...) ; mais votre façon de vivre ne me convient pas ! Votre façon de penser également ne me correspond pas ! Et quand on n'a pas sa place en un monde souillé, on s'en va, sans se retourner, sans grâce pour ceux et celles qui ne connaîtront autre chose de mieux, malgré leurs vains efforts répétés de se positionner parmi les leurs. Le grief, en fait, et vous ne l'avez pas compris et vous ne le comprendrez jamais puisque il vous est chevillé au corps de façon intrinsèque, repose dans la pensée, cette pensée qui est la vôtre : ce qui est répréhensible et impardonnable, n'est pas ce que vous dîtes, même pas ce que vous faites, mais ce que vous pensez ! Alors, il y a longtemps, lorsque, seul, je descendais la nuit dans les arcanes du Grec ancien, jusque à en composer des thèmes (vous connaissez toutes la Version et le Thème), je ne me rendis point compte que ce monde merveilleux du Savoir et de la Connaissance m'éloignait doucettement des sociétés puériles que vous avez érigées, sans tenir compte des conséquences graves qu'il adviendrait un jour ! Ce jour est là. Et un autre promeneur solitaire que je rencontrais de temps en temps, au cours de promenades, sachant la passion que j'avais pour un domaine intellectuel type et connaissant mon engouement pour les Lettres, me dit, tout en m'ayant observé durant des années, "Tu finiras, seul, dans un tonneau, comme Diogène !" Non pas sur les places publiques avec une écuelle en signe de mendicité, mais dans les lieux désertiques où la nature humaine est revenue aux sources de la Pensée. J'aurais pu lui répliquer, à l'époque, que l'on vient seul au monde et que l'on meurt seul. D'ailleurs, les membres de ma famille, grande et vaste famille qui sont vos semblables -répliques identiques qui s'ignorent- me demandaient "as-tu pensé à ta mort ?," sous entendant, sans aucun doute que cet incident de vie, programmé, adviendrait bien un jour, je répondis à ceux qui voulurent l'entendre : "Quand les premiers signes de ma mort apparaîtront, j'entreprendrai un petit voyage en un endroit précis dans les Pyrénées, où je fis de la randonnée ; là, je me laisserai mourir, en un lieu caché, sans aucune trace d'identité, comme je fus venu... De cette façon personne ne saura jamais que je suis mort !" C'est beau, n'est-ce pas ?! Je vous dis donc adieux. Jean Canal. 12 février 2024. 
Thomas d'Aquin dit le Saint «Fais pas chier Connasse !» Phrase composée à la forme impérative. Une analyse grammaticale révèle, en effet, une insistance par l'injonction qui caractérise un ordre sur l'intention donnée à la susnommée, anonymement précitée afin d'élargir la possibilité du nombre important auquel s'adresse cet ordre ! Mise en exergue moyennant les guillemets ouverts, suivis du point d'exclamation !, le seul nom commun utilisé appartient au registre de la vulgarité pas que populaire, selon le contexte où elle est prononcée. Le verbe « chier » est une pure métaphore : c'est-à-dire qu'il doit être interprété au sens figuré, de sorte à libeller l'image métaphorique qui illustre la situation..! La locution adverbiale de négation, privée ici de la seconde partie de sa composition orthographique officielle, accentue l'insistance sur la formulation de la supplique «Fais pas chier». Qu'est-ce qu'une connasse pour une femme qui subit cette insulte, la plupart du temps injustifiée ? Tout simplement une femme dont la seule présence non seulement ne mérite pas ce titre, mais qui pis est dégage une gène par son entité à celui qui la prononce (l'insulte)! Nous en resterons-là. 8 novembre 2023. Jean Canal Curriculum Vitae

Il s'agit de lectures appartenant aux Pères de l'Église. Saint Augustin. Saint Thomas d'Aquin et le grand Avérroés. Aristote, auxquels ses trois figures du monde des érudits se référent, lui, fut éminemment connu pour son Lycée dont la conception reposa sur cet esprit épistémologique cultivé à l'escient de l'appréhension du Savoir et de la Connaissance. Les matières, à ce jour, en sont demeurées intactes, telles que le philosophe voulut les laisser disponibles aux générations successives à la sienne. Son traiter de l'âme apprend beaucoup sur l'ignorance de cette époque lointaine. Non pas que nous en sachions plus aujourd'hui, mais le sujet désuet a chu dans les organes religieux qui en ont détourné la propension originelle de sorte à en contenir son essence,  pérennisée dans l'éternité de l'existence, au-delà des limites terrestres. A partir du moment qu'aucune étude fiable n'en démontre le contraire, toutes sortes d'hypothèses sont permises. Et les charlatans de la pensée s'en donnent encore à cœur joie. Thomas d'Aquin paraît le plus à même de s'être rapproché de la vérité suprême de la "nativité" du monde. Il a recherché la voix la plus sûre afin d'y parvenir suivant les modèles de pensée de ces prédécesseurs qu'il cite en exemple. Avérroés en disputa les thématiques en mettant à profit sa perspicacité fondatrice d'idées. Son intelligence debouta tous ses ennemis religieux pris aux piéges de leurs contradictions. Le seul sujet qui ne fut abordé et dont les Sufistes feront leur sacerdoce jusques aujourd'hui reste La Spiritualité oubliée de nos contemporains.  Janvier 2024. Pax Tecum Sit.

La Lettre expédiée. Le soir où je dus, dans la nuit, quitter ce petit village de Provence, Elle était là, bien mise, comme pour me saluer, moi. Un adieu, en quelque sorte qui voulait me révéler son choix de rester avec son compagnon, avec lequel Elle s'ennuyait de la routine qu'il lui imposait. Moi, je voulais la rendre folle de l'envie de vivre chaque heure qui s'écoule, sans en oublier les minutes restantes prises sur un temps qu'il fallait asservir à notre vie ! "Tu pars, alors ?" "Il le faut ! je ne pourrai jamais vivre ici. Et comme tu me l'as dit aussi, tu ne me suivras pas dans les Pyrénées." "Alors, je pars. Je pars sur la route." Elle me regarda longuement sans rien dire. Point de regret a priori ne s'exprimait en Elle. Néanmoins, en me faisant volte face, puis emboîtant le pas vers la rue adjacente où Elle habitait, je sentis que son souvenir reviendrait me rendre visite, quand je m'y attendrai le moins. C'est le cas, cette nuit. 31 octobre 2024. Minuit et quelques... Jean Canal. Elle me manque... "Bonjour  ma Jolie Brune, Je ne l'avais qu'entre aperçue, lorsque chaque jour Elle allait promener Jupiter, cette bête qui devint notre chien, parce que c'est lui qui nous avait choisis. Evidemment, Elle était et Elle restait plus jeune que moi qui ne faisais pas mon âge selon les appréciations des unes et des autres. Je la rêvais déjà dans ma couche, nue, entièrement nue, lui baisant le corps du visage au bas ventre... C'eût été avec soin que je l'eusse entreprise, en procédant minutieusement de sorte à provoquer en Elle le désir féminin intense qui enflamme, ces Femmes ! Peut-on se projeter dans une scène d'Amour voluptueuse, sans concourir à la tâche suprême que revêt la sexualité banalisée par des actes communs qui suffisent amplement à apaiser une envie passagère ?! L'Amour se dispute souvent les âges qui séparent trop les êtres dans le temps. Cette fois-ci, j'étais fin prêt à risquer cet âge qui avait fini par me rattraper... sans aucune chance de lui tenir tête, si ce n'est par la force que décuple l'Amour ! Il faut être amoureux. Je l'étais un peu de sorte à ne pas me risquer dans des aventures qui m'eussent fait, à mon tour, perdre la tête !  Elle était jeune et pourtant je voyais bien que je lui plaisais... Peut-on lutter contre ce phénomène, lequel semble inhérent à l'être, lui même attiré par des facteurs de beauté, déclinés souvent hors les normes stéréotypées que véhicule la société, exigeant des femmes un canon évidé de son naturel ! L'esthétisme est devenu plastique, artificiel et très éphémère. Celle qui ne se conforme point à ce genre de canon, reste unique dans la forme intrinsèque qu'elle incarne. Elle bénéficie de tous les atouts que la nature dépose en leur chair ! Désormais, je méprisais ma solitude jusqu'à lui reprocher de m'avoir écarté de la féminité en détournant mon regard des parties les plus jolies de la femme."  Jean Canal. 27 octobre 2024.
Les derniers survivants du XX° siècle. Une Histoire achevée dans le chaos social et culturel ! Tant mieux qu'ils ne soient plus de ce monde, le vôtre : celui que vous êtes en train de détruire. C'est une belle réussite pour une carrière inachevée. Tout devra être refait, au préalable repenser de façon à ne pas reproduire les erreurs qui ont amené les sociétés à s'entre détruire ! Nous sommes arrivés au terme de notre propre hégémonie. Le passé n'existera bientôt plus dans les annales, soi-disant consignées pour l'exemple utile de nos connaissances ! Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que notre fin universelle est proche. Ne craignez pas de disparaître, l'humanité s'en remettra avec moins d'orgueil. Personne n'a vraiment pris conscience du malheur qui nous frappe : celui de perdre l'essentiel que nous n'avons pas voulu préserver de nos dommages. En se référant aux conjonctures qui s'entrecroisent, il est évident que le présent ne reconduit plus les valeurs cultivées, durant les siècles, en en exploitant l'héritage laissé intentionnellement par le passé, plus précisément référencé dans l'antiquité et le Moyen-âge. D'héritage, il n'y a plus. Dilapidée par les générations avides de pouvoirs fondés sur des schèmes économico politiques, nous avons intentionnellement perdu cette valeur de référence suprême qui repose tout simplement sur la spiritualité : celle qui nous amène à la Vérité ; déjà évoquée et révélé par Plotin, dans ses Ennéades (un auteur peu lu et pas très fréquenté des exégètes qui affectionnent plutôt les présocratiques et leurs héritiers) ! L'Humanité universelle rêvée par les plus sages, est en train de s'effondrer, sous les regards hagards des coupables, doutant toujours de la fin, renvoyée aux calendes grecques. De toute évidence, c'est un échec ! Désormais, le doute n'est plus permis sur les intentions de chacun : la vie en une seule communauté planétaire a échoué ! Le Grand Architecte de l'Univers sera-t-il disposé à mettre fin à cette destruction ? Où alors est-elle simplement inscrite dans l'apogée d'un monde nouveau ressuscité de l'ancien ? Il est vrai, cependant, que le XX° siècle endosse une lourde responsabilité, en ayant formé la synthèse des siècles écoulés jusque-là ; mais les deux événements majeurs des principaux conflits qui l'ont, paradoxalement aux attentes d'espoir suscitées, incitée à croire à une réussite sans pareil, se sont révélés, effectivement, infructueux. Un constat que l'actualité met en lumière. Une hécatombe qui clôturera des siècles d'espérance perdue. Le pessimisme n'est pas de fait, ici, puisqu'il est question de réalité objective évidente. Qui sont les détracteurs de cet immense complot contre les civilisations ? Pour une fois, l'ésotérisme, soupçonné d'entretenir une éternelle kabbale, en l'occurrence juive, ne participe en aucune manière à cette "évolution" planétaire, la subir serait le terme approprié qui conviendrait au contexte actuel, et cela sous tous les paramètres possibles. Ce n'est que notre attitude envers la nature elle-même dont nous avons sous estimé la force de réaction. L'addition sera lourde, lorsque sera rétabli une stabilité des éléments qui composent notre système terrestre. Le processus de changement est enclenché sans que nous puissions le stopper (rien n'interdit de penser le contraire). Notre énergie ne nous permet pas d'intervenir dans quelques modifications que ce soient, malgré les exercices économiques qui tentent de répondre aux questions relatives à une survie, globalisée dans l'espace humain. Notre destinée est écrite, comme les trois religions monothéistes ne cessent de l'annoncer sous les révélations sacrées de chaque texte s'y reportant. Les références existent bel et bien. Elles sont justes, s'entend ! Cependant, très mal interprétées et systématiquement appréhendées de façon strictement personnelle, de sorte à galvaniser un esprit général que chacune d'elles entretient à des fins eschatologiques, comme l'indique la raison dans cette spécificité erronée. La force divine existe, effectivement ; mais, elle n'est pas seule à régner sur les éléments qu'elle a composés. C'est sur cette seconde force que repose l'avenir du monde ; et non sur celle des hommes, vaine et puérile, lesquels n'ont eu cesse de s'entredétruire. Le symbolisme joue t-il toujours un rôle aujourd'hui ? Bien sûr ! Plus maintenant qu'avant, quand le symbole ramenait à dieu ! Une peur donc symbolique existe encore et s'affermit face aux problèmes cardinaux liés à l'existence. Rationnalisé pour des raisons évidentes de croyances, la symbolique glissa vers le populisme qui s'en est emparé pour ériger au Piédestal leurs propre symboles idéologiques ! La place du sacré qui s'y rattache par sémantique, ne revêt aucun aspect de la pensée qui en émane : le sacré est à lui seul une gnose inviolable ! L'accaparement des religions cultivant un sacré, n'en respectent guère son origine que l'on retrouve plus précisément dans l'antiquité qui lui conférait une crainte divine et respectueuse (le Temple de Delphes, notamment). En conformité avec les Grandes Origines de l'Humanité, les civilisations furent fondées selon ces principes. Aujourd'hui, aucune de ces règles d'esprit n'a survécu à la déliquescence de la modernité post Renaissance. L'ébranlement de cette humanité annonce donc, matériellement, tout simplement la fin des vieilles valeurs n'ayant plus cours dans une société essentiellement manipulée par l'économie et ses échéances ! L'état des lieux profanés attestent par des contextes, aujourd'hui évidents, de se poser des questions sur le comportement global d'une humanité en perdition. Sur quel point l'être a-t-il perdu sa dignité ? Le comportement était prévisible au regard de son évolution. Il est confronté à sa propre responsabilité ; adviendra ce qui est prévu dès le départ de son hégémonisme ! Il fut et cela l'est encore, évoqué le devenir de cette humanité qui contrairement à l'idée comparative évoquée en amont de penseurs post XX° siècle, aurait tendance à évoluer vers un avenir triomphant des précédents siècles de décombres ! L'actualité ne vous démontre-t-elle toujours pas que l'histoire se répète de sorte à commettre les mêmes erreurs du passé, proche ou lointain, cela importe peu, pour l'exemple ? Les faits sont là, immuables dans l'évolution qu'ils illustrent sans en incarner les valeurs perdues que nous avons abandonnées au profit du consumérisme, élevé comme dieu sur l'autel de l'Humanité ! Novembre 23.
Au moins, aura été reçue de cette humanité une once de beauté dont sera enfin satisfaite, sans en exiger davantage, l'âme épurée de tous maux ici bas ; puisque la partie tronquée de cette existence n'aura servi à rien qui ne pût engendrer le bien : indésirable sur terre ! Le mal dans sa singularité de n'avoir aucune limite dans sa pratique, serait-il incarné par une entité dont aucune apparence ne laisse paraître des signes de violence ? Fondée sur deux principes exclusivement religieux, déjà signifié dans les textes anciens, la vie fut établie sur le bien et le mal. Manichéisme reconnue par toutes les religions et au cœur des courants spirituels connus. Un phénomène fondamental appartenant aux origines de l'humanité. Les gens le pratiquant au quotidien n'en ont pas toujours conscience. Ils sont les plus nombreux sur terre à l'heure actuelle. Le nombre sera réduit quand cette période sera achevée, comme il est écrit. Les commerçants chez les Grecs anciens étaient protégés par un dieu mythologique : Hermes qui était également celui des Voleurs. Cette association d'idée trouvait sa source dans la rhétorique que le commerçant pratique naturellement... Décembre 2023.

Anne de Pélisse        L'Arlésienne

Laure d'Avignon           Silence !, J'écris Archives

La vie de Pétrarque était empreinte de chasteté, en des mœurs contenues au cœur d'une société dans laquelle le poète évolua, présentant des caractéristiques propres à cette vertu naturellement pratiquée, de façon simple, au sein des différentes corporations sociales, dignes de ce nom, qui composèrent son époque. Bien que Avignon lui apparût comme la cité Papale déchue, il fut désagréablement surpris de constater que la vie monastique fut débridée, baignant dans le stupre et la décadence. Pétrarque en donna une critique acérée, sans concession aucune sur le vocabulaire édulcoré que d'aucuns eussent tenu, à dessein de préserver leur fâme de l'éclaboussement obséquieux attendu en pareille inconvenance.