SILENCE ! J’ÉCRIS…

By | 11 juillet 2024

Le message éternel Jean Canal en Lauragais 1993. Photographie Serge Cantié, Photographe. Copyright

  "Je vous écris de là-bas pour vous avouer que vous ne me manquez point. Ma mémoire a définitivement effacé vos noms et visages que je ne saurais plus reconnaître, s'ils se présentaient à moi. Une espèce de complète indifférence à votre encontre est venue s'instaurer en moi de façon très naturelle, en me convainquant que vous n'avez jamais réellement représenté une valeur quelconque pour mon être. Je n'irai donc, ni à vos anniversaires, ni à vos mariages, ni a vos baptêmes, ni à vos divorces et encore moins à vos obsèques. Évitez, je vous prie, de me solliciter pour une quelconque invitation qui aurait de l'importance à vos yeux, sous prétexte qu'il vous ferait plaisir de m'avoir à votre table (d'ailleurs, vous ne savez point cuisiner et les vins que vous choisissez sont sélectionnés par rapport à leurs prix et non leur cru ! Et s'il vous arrive de tenter une confection culinaire, vous réduisez la qualité des produits achetés trop bon-marchés pour être honnêtes... -restez donc entre vous : les gens que vous fréquentez, vous ressemblent, formant ainsi une communauté stéréotypée, infréquentable.) Vous savez pertinemment que quand on est mort, ceux sont les vivants qui vous reprochent de ne pas l'être ! Et si jamais vous n'assistiez pas aux miennes, d'obsèques, on vous le reprochera ! Tandis que moi, je vous inciterais plutôt à vaquer à d'autres occupations plus réjouissantes, vous évitant des faux frais chez le fleuriste du coin et des coûts de carburant en hausse ! Par contre, je ne saurais trop vous conseiller un copieux repas dans un très bon restaurant, à vos frais s'entend, en choisissant du vin digne de ma mort, serait une décision plus judicieuse que d'aller afficher un profil de regret du départ de ma personne. Bref ! Le jour dit, faites-vous porter-pâle..." Bien à vous, Jean Canal.

Silence !, J'écris : Archives

Silence, j'écris : suite des écrits

Le lieu où vit Jean Canal est situé en Ariège, dans le village mesquin qui porte le nom de Mirepoix. Il ne fut pas fait bon accueil quand Jean Canal s'installa en 2014. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il rédigeait des pamphlets sur le net et plus particulièrement sur presselibre.fr dont il est toujours le Rédacteur en Chef et unique fondateur. La population est ce qu'elle est : bonne et mauvaise. On ne change pas les gens et comme ils sont majoritairement idiots, il vaut mieux les abandonner à leur sort joyeux... Les Cons sont plus visibles dans un microcosme qu'une agglomération démesurée par son architecture. Con-centrés en un espace restreint par sa surface, ponctuée par les habitations, ceux-ci sont facilement identifiables de sorte à les répertorier par degrés de conneries : certains en ont fait leur profession... A suivre. 12 juillet 2024.

Ces derniers jours, j'ai rencontré une Belle à Mirepoix, petite bourgade mesquine située en moyenne Ariège, versant sud-Est via Carcassonne, limitrophe de l'Aude de quinze kilomètres, à peine -l'histoire se déroula le 27 en fin de journée. Quand je la vis, j'eus tout de suite envie de la serrer dans mes bras et lui susurrer : "Où vas-tu donc, sans moi, mon Bel Amour ! Es-tu perdue, seule abandonnée par un vilain mauvais homme ?!" Elle me sembla abandonnée ! Sans amour ! Et sans compagnon de voyage... Non pas que je me sentisse de l'accompagner quelques années, bras-dessus, bras-dessous ; mais lui tenir de longues compagnies au lit, est toujours de mes aptitudes. Je réussis à entamer une brève conversation, durant laquelle je cheminai jusqu'à la séduction, sans trop savoir comment j'allai l'embrasser... tout en espérant mieux, le soir échu !  Je ne peux vous expliquer pourquoi elle me plaisait et ce qui fit qu'elle me plut aussitôt ; ou plutôt, si je le sais, mais cette partie intime de la rencontre ne peut vous être révélée...pour des raisons évidentes d'intimité gardée. Bref ! Le lendemain, dès le matin, je me rendis au lieux où je l'avais vue la veille, sachant qu'elle y serait, selon les explications fournis par elle. Elle n'y étais plus ! J'en fus contrit toute la journée, jusqu'à cette heure de la nuit du 28, à 1H 30mn. Je pense que je ne la reverrai plus ! Un souvenir de cette espèce s'efface langoureusement avec une autre rencontre, aussi éphémère que la précédente, etc. D'ailleurs, il me revient un autre souvenir qui n'en est pas un, mais qui ressort comme une simple anecdote. Jean Canal.                                                                                                  Permettez-moi de vous présenter un poète oublié, méconnu, voire banni et surtout mal jugé. Tristan Corbières, dans son recueil "Les Amours jaunes" foisonne de poèmes aussi cocasses les uns que les autres et rares de compositions conventionnelles aux classiques et consorts qui crurent sans cesse renouveler la Poésie ! C'est son Insomnie qui attira mon attention, jadis, lorsque je le découvris durant les années quatre-vingts. Le Crapaud est celui auquel Tristan Corbières s'identifie, en se reconnaissant comme maudit par la vie, elle-même ingrate envers ceux qui surent l'aimer à sa juste valeur, avec immuable fidélité. Dernièrement, avant de quitter Toulouse, je laissai un petit mot à une jeune femme pour laquelle je voudrais toujours préserver mon amitié : "Que la vie te devienne toujours plus belle chaque jour. Bises" Voici l'extrait du poème "L'Insomnie" de Tristan Corbières, issu des Amours Jaunes.

Insomnie, es-tu donc pas belle ?...
Eh pourquoi, lubrique pucelle,
Nous étreindre entre tes genoux ?
Pourquoi râler sur notre bouche,
Pourquoi défaire notre couche,

 Et... ne pas coucher avec nous ?                                             

L'Insomnie devint au fil des jours un bienfait de la nuit, pour Moi, Jean Canal, qui met à profit les heures qui s'écoulent dans la nuit, entrecoupée de courtes pauses de sommeil, inachevé. J'aimerais dormir longtemps, sans ne jamais me réveiller, durant 24 heures ! Le sommeil convoque, chez moi, tous mes rêves qui n'attendent qu'à se manifester, afin que je les vive... Quelle chance de ne pas dormir comme tout le monde qui se vautre dans les profondeurs de l'oubli total de la vie. Ceux sont ces Insomnies qui me révèlent certains secrets et la présence des femmes connues qui viennent, à mon insu, s'inviter dans ma couche. Là en un profond secret de mes vies intimes, je m'endors enfin contre leurs seins que bébé je tétais, jadis... La nuit, la majorité des gens dort ! Ceux qui ne dorment pas travaillent où errent dans les villes. La nuit, le temps qui s'écoule paraît plus long et donne l'impression de pouvoir tout accomplir ! Je confirme. Hormis la pensée qui accroît sa richesse par un phénomène strictement naturel et particulièrement, moyennant les facultés cognitives que vous possédez pour appréhender le monde, le comprendre et l'analyser avec suffisamment de recul pour saisir l'Alpha & l'Oméga dont dépend votre personne, votre processus lié à l'intelligence humaine (puisque désormais nous en avons Une artificielle), s'adapte à toutes les situations présentées sous formes diverses, relatives à ce que vous vivez au quotidien. Là, plongés dans un silence immuable, vous assimilez les éventuels problèmes existentiels et y apportez multiples réponses, résumées à votre attitude propre à votre personne ! Tout s'éclaircit lucidement ! Tout devient évident à votre réflexion instinctive ! Le recul sur les événements vécus est suffisant pour tout remettre en question de manière existentielle ! La nature humaine vous semble désormais insignifiante au seuil de votre vie qui ne peut se permettre de s'embarrasser de personnes indignes de Vous ! Vous comprendrez alors que le jour, la vie interroge la plupart des gens, parce que vous êtes tout simplement engagé dans des obligations professionnelles, sociales et sentimentales : pourtant, les sentiments ne s'embarrassent jamais de contrainte ; ils sont naturels ! Terminons sur ce sujet que je n'aborderai pas ! Puis se manifeste la raison de manière étrange en ce sens qu'elle s'arroge le droit de vous juger. Cet acception peu commune dans les discours et encore moins dans les sentiments qui n'en font jamais état, si ce n'est en lui attribuant la cause de leur état d'âme ! Les sentiments ne se peuvent contrôler, contrairement à des idées reçues qui se veulent maitriser l'immuable ; ils ne souffrent d'aucune concession envers des manquement grave dans leur expression. On ne peut pardonner au prisme des sentiments froissés, touchés et blessés, comme une épanchement du cœur qui ne s'en guérit jamais ; et ceux qui s'en guérissent sont privés de ces sentiments qui incarnent l'âme. La cruauté les habite ! Ils la cultive comme méthode intrinsèque à leur individu, puisque là dans ces cas précis, nous sortons du cadre de la personne ! Ils en sont imprégnés de sorte à devenir dépendant dans leur quotidien, exploité toujours dans cet esprit de destruction ! Nous sommes, ici, confronté à la nature humaine la plus avilie de l'espèce dont le qualificatif est innommable tellement leur attitude n'entre dans aucun registre de l'éthique morale ! On pourrait même osé parler de pervers narcissiques (on les nomme aussi les cons invétérés) dont les symptômes reposent sur la tentative permanente d'annihiler systématiquement les personnes de leur entourage qui pourrait porter atteinte à leur charisme négatif ! Ils ne brillent que part l'élimination des autres ! Fin du chapitre.

"Un homme ne peut être lui même que tant qu'il est seul, et s'il n'aime pas la solitude, il n'aimera pas la liberté, car ce n'est que lorsqu'il est seul qu'il est vraiment libre." Schopenhauer

Et MOI, Jean Canal, je lui dirais à cette Jeune Femme avec qui je suis en lien sur le réseau social en question que j'aimerais rester tout seul, complètement seul et que l'on ne me sollicite plus jamais ! Les histoires de cul auxquelles les femmes, mariées ou pas, concourent à longueur de nuits torrides, ne m'intéressent pas ; car l'Amour, le Grand Amour je l'ai déjà en Moi, dans mes entrailles. Et je sais, par expérience que dans le sexe il n'y a pas d'amour, mais que du sexe ! Et que dans l'Amour, il y a du sexe ! Il faut s'aimer sans modération et s'accepter tel qu'on est ! Hélas !, pour celles qui ne comprennent pas cela, elles perdront l'essentiel d'une relation avec l'autre ! Elles ne comprendront jamais la pureté des sentiments qui s'insinuent intrinsèquement dans un couple ! Il sera vain de leur expliquer que, dans mon cas, la solitude a définitivement pris le dessus sur la vie de couple ! D'avoir trop aimer, on finit par n'aimer plus personne ; parce que l'on finit par avoir peur de l'autre ! On s'en méfit et on le tient distant, afin de se protéger et surtout préserver ce trésor que l'on possède en soi et que l'on ne veut plus partager ! ...et la solitude vous devient cette compagne fidèle, aimante, douce et pleine de prévenance à votre égard, avec laquelle vous retrouvez l'amour incommensurable que vous connaissez depuis toujours. Voilà ! C'est aussi simple... Passez donc votre chemin femmes jolies et pleines de promesses que je continuerai toujours à aimer. Vous en reviendrez un jour de cette illusion perdue (Pardon Balzac) Jean Canal. 21/06/24.
A propos de l'idée Sandra Philip que certains hommes se feraient (soyons prudents) à propos de l'idéal féminin : il n'y en a pas et les seules visions que l'homme a de la femme idéale, se renouvellent chaque fois qu'une nouvelle apparaît sous ses yeux ! Et je m'efforce de croire qu'il en est de même chez les femmes qui reviennent toujours déçues de leurs premières rencontres amoureuses. Voici donc et la photo et le billet que je rédigeais à cette Belle qui n'est nullement cet idéal féminin que je n'ai réellement jamais vraiment recherché, à cause de la multitude de beautés que les femmes incarnent, chacune à sa manière par les traits naturels qui les font être différentes les unes des autres. Je joins ici le PDF que j'ai osé envoyé à Sandra Philip qui vit aux Etats-Unis. Elle m'était apparue s ur les réseaux sociaux, non pas dans le cadre des sites pornographiques qui foisonnent autant que les sites de rencontres où les femmes appellent de concert à l'avènement de la sexualité, mais sur facebook où Elle se montre sous toutes les coutures, sans exhiber les dessous de son corps, mais étalant ses charmes mis en valeurs pour que les hommes lui attribuent un J'Aime sur son réseau ! Aucun fantasme ! Aucune envie de se masturber sur une image ou un film issu de youporn, le référent interdit aux moins de 18 ans... Simplement une invitation à rêver à cet idéal féminin qui hélas n'existe pas... L'imagination décompose l'image comme l'œil porté sur les femmes, observe défaut, qualité et excessivité de leurs corps. Sandra Philip ne possède pas ce que j'aime le plus chez les femmes : les seins ! Les siens sont trop volumineux... Il est puérile de rechercher toute sa vie, sinon vous, les Femmes, vous laisserez passer l'occasion pour celui que votre cœur choisit et pour lequel il bat la chamade...  Sandra Philip 21 juin 2024. 21H.
-Bienvenue dans le monde virtuel des Réseaux sociaux. Les Femmes de tout âge occupent la prime place dans ces espaces d'expression directe. Et Elles ne déblatèrent pas que des conneries ; au contraire, certaines d'entre elles dissertent sur le comportement des mâles ! Elles enseignent aux hommes les rudiments des comportements à observer à leur intention. Bref  ! Je me régale à les voir, les écouter et de surcroît communiquer avec Elles. Bref ! Que du bonheur en ligne et plus si affinité... C'est impressionnant cette liberté qu'Elles prennent sur les sites de rencontre où, Elles dévoilent leurs parties intimes, les exposant pour en déguster l'essentiel. Les zones les plus érogènes de leur corps nous sont définies, avec moult détail sur leur emploi : les seins, en fait, la première partie que j'affectionne le plus, à condition qu'ils ne soient pas trop volumineux.., sont le centre de l'excitation (ça tombe bien c'est là que je passe le clair de mon temps, quand je suis invité par une Belle). Ensuite, Elles ouvrent leurs jambes afin de nous montrer leur partie rasée, proprement entretenue et les lèvres désireuses d'être couvertes de baisers (c'est ce que je préfère quand cette partie intime est propre...). Voilà ! Je termine car je vais encore m'exciter et l'onanisme excessif épuise... 27 juin 2024.                                                                   Les plates-formes du net dispensent des moyens de s'exprimer librement, tout en respectant les règles de la bienséance. Les Femmes y sont les plus nombreuses et y ont découvert le moyen le plus efficace pour exprimer tout leur ressenti ! Sans aucune animosité envers les hommes, contre lesquels elles auraient pourtant tellement de défauts à leur reprocher, notamment sur leurs attitudes, ces femmes font part de leur état d'âme dans une société dépeinte de façon presque désolante. Elles sont emplies d'amertume sur leurs relations amoureuses présentées comme un échec ! La plupart se retrouve seule et éprouve d'abord le besoin et ensuite l'envie de recouvrer un compagnon pour revivre une autre aventure amoureuse, en corrigeant tous les défauts des premières expériences infructueuses vécues en Amour, tant rechercher ! La première impression en les ayant découvertes, fut la tristesse de les voir presque quémander aux hommes de les aimer ! Ce sentiment purement naturel est normalement un acte spontané de l'une envers l'autre, sans aucune concession, évidemment. Si des conditions de vie commune prennent le dessus sur les sentiments, l'histoire d'amour en perspective est compromise. Néanmoins, des couples s'en satisfont et acceptent ce genre d'accord... En outre, les femmes se libèrent des tabous qui les ont entravées dans leur démarche amoureuse et sexuelle. Elles se responsabilisent enfin et assument leur entité à part entière, tout en mesurant également les erreurs de leur appréciation dans des relations sexuelles pauvres en amour... L'Amour reste donc la valeur suprême qui valorise les humains ! A nous tous d'y concourir... Jean Canal. A suivre, je suis réveillé. Il est 1H du matin, le 21 juin 2024.
"Et si je vous parlais des ces âmes errantes appartenant à notre humanité perdue, non pas égarées dans l'espace qui les circonscrit aux limites de notre temps, mais de ces âmes qui planent éperdument au-dessus du monde, dans l'infini perpétuité de la vie éternelle, loin des turpitudes quotidiennes que la vie impose tristement à tous ! ? Elles n'ont jamais véritablement appartenu au monde tel que vous le concevez ; faisant uniquement acte de présence par substitution, elles se fraient un chemin, itinéraire de circonstance, parfois de fortune (au sens latin), emprunté prudemment pour ne pas en subir les formes accidentées qui les endommageraient, si Elles suivaient votre parcours conditionné aux aléas existentiels. Nous ne sommes que quelques uns à en faire partie ; à peine une poignée de mille qui ne trouveront jamais leur place, ici bas ! Déplacés, en dehors du monde, elles n'apaisent jamais leurs tourments, hélas !, et jamais ne rencontrent le bonheur tant recherché des hommes, sans aucun espoir de s'assoupir en un seuil où la plénitude de l'existence se présenterait nument, offerte en guise de compensation dans un seul but de ponctuer cette pénible vie. De se survivre à elles-mêmes, ces âmes finissent par se retirer du monde, affectées par l'ensemble de la communauté humaine, tout en se tenant à distance de ceux qui en cultivent une autre vie, communs mortels, qu'elles regardent vivre, sans intervenir ! Et si Elles donnent les apparences de vivre selon les schémas imposés, c'est que, Elles aussi, se laissent intentionnellement emporter par la vague, par ennui du temps qui ne passe pas suffisamment vite pour l'ultime voyage, patiemment attendu ! La fin en soi sera-t-elle le signe ostentatoire de ce bonheur inconnu de la vie ?" 11 juin 2024. 1H 30MN. Jean Canal.
Comme il est très attendu en Ariège, le Roman de "Les Gens d'Ici" se continue, là où il ne semble point être dans son contexte ! Les informations collectées au cours de dix années se doivent de renseigner sur des individus, appartenant à ce que l'on peut nommer, sans vergogne, de Canaille ! Les villages, bourgs et villes en sont farcis avec ces temps tellement difficiles que les autochtones se vendent aux autorités qui organisent la pagaille à des fins purement personnelles. Jean Canal en fait un point d'honneur pour laver une atteinte portée à sa dignité intentionnellement bafouée par les autorités incompétentes des lieux qui sont d'ores et déjà cités dans ce merveilleux récit d'un Toulousain débarquant en pays ariégeois... Patientez jusqu'en 2025. L'ouvrage vous sera commenté de fait par ceux et celles qui réfutent l'esprit collaborationniste hérités des aïeux des années 39/44. En ce jour de commémoration du 6 juin 1944, il était normal que, Jean Canal, aussi commémore à sa façon la journée des traites à la nation. Vous n'êtes pas suffisamment cons pour croire que l'oubli ou au pire le pardon efface dix années vécues au village des ordures ! Salut. Et à bientôt de se revoir... Une pensée strictement personnelle à la Gendarmerie de l'Ariège... Enfin !, il n'y a pas de quoi en faire une crise diplomatique de Région, comme vous la souligné le Petit-Major en question. Un Roman, en littérature, reste une "Fiction..." Salut.

Ne voilà t-il point que vient vers mois une fée tombée des nues printanières, destinée à satisfaire mon appétence pour la vie. Elle était jolie comme une fleur de printemps qui venait juste d'éclore de son bourgeon et dont je fus invité à cueillir le bouton en fleur. Elle exhalait les fragrances primesautières de l'Amour que les filles de son âge glanent au gré des rencontres inopportunes de la rue. Nous étions tout deux à disputer sur les variétés du Cannabis, bien sûr, et de musiques chères à mes souvenirs dont ma mémoire fredonne encore les notes musicales répertoriées dans les annales de la postérité populaire. Il s'en fallut de peu que je la prisse par la main et l'invitasse à partager un instant, le coin de ma couche afin que je lui dispensasse sa première leçon de choses amoureuses, dont le programme aurait commencé par l'art du baiser langoureux... C'est par cette manière que les filles se laissent dégrafer leur soutien gorge... Bref !  Je la laissai repartir sans doute pour rejoindre son amoureux...et moi ma tendre solitude, sans laquelle je ne pourrai point écrire ce que je vis. Me voici donc en médaillon. C'est sous cet aspect de hippie en "Herbe" que Annie me vola ma virginité, toute une nuit...et je n'ai jamais oublié cette aventure romanesque... que le jeune Fille rencontrée aujourd'hui, raviva en ma mémoire émotive. "Viens, je voudrais, de mes lèvres, couvrir tes seins de baisers..." 24 mai 2024. Côte Pavée... Toulouse.

Et si ce fut le choix qui me fut assigné, comme une obligation de se survivre à soi-même, que la vie me légua en héritage de mes aïeux, qu'ils fussent Ariégeois, Lotois ou Tarnais (l'autre origine n'appartient pas à la littérature). Une espèce de fardeau transporté durant des années, sans en alléger le faix qui supporta mes peines. D'autres avant moi, ont trainé leur misère là où ils se déplacèrent, se persuadant à la longue que le destin relâchera son emprise, une fois les contentieux absous ; mais en vain ! Tout fut écrit, déjà, il y'eut longtemps en des lieux prédestinés à accueillir les êtes de mon espèce. Nous sommes en sorte une tribu errante qui ne trouve plus sa place quelque part. Et quand une femme insolite, singulière aux autres apparaît, c'est alors l'affolement qui emporte le peu de raison qui demeure chez l'être épris soudainement d'amour. Je me pris donc à l'aimer, le temps que s'étiole ce désir très éphémère en fait, si l'on tient compte du temps qui sépare les premiers instants de cette fin inéluctable des sentiments éteints, voire étouffés dans leurs premiers instants de bonheur ; les femmes le pressentent, mais si résignent, comme par crainte de tout perdre... Le bonheur se formule lui-même en quelques moments tellement profonds que les souvenirs s'en souviennent éternellement. Les êtres qui le connurent n'en sont toujours pas revenus de l'avoir rencontré, dans leur vie de misère... En fait ce bonheur tant espéré de chacun, que cela soit consciemment ou non, ce bonheur est furtif, presque sinueux dans sa présentation. Il ne se dévoile pas forcément à la prime lueur de l'amour qui s'y dissimule. Jean Canal...en pensant à 1 femme... 21/22 mai 2024.
Rare certes de confondre les deux visions des sociétés. Le virtuel qui s'exprime sur la toile dans tous les réseaux, reflète pourtant de plus en plus la réalité dont on ne peut soupçonner, quelquefois, la splendeur des images : https://www.facebook.com/reel/709811821233006
presselibre.fr Pour vivre en couple, il faut d'abord s'aimer. S'aimer d'amour. D'un Amour incommensurable qui ne peut se rompre sous le fait des rancœurs que les autres suscitent par jalousie. Il faudrait presque vivre cachés pour que le bonheur enfin trouvé ne se perde plus jamais. Alors comme pour l'amour propre que l'on a pour soi, IL a fini par s'aimer Lui-Même dans une infinie tendresse éternelle. Jean Canal 14 mai 24. 21 heures. France.
De nos réseaux sociaux est apparue cette publication émouvante from US. Texas !       seek to be Whole not perfect -Haley Ollinger Enregistrement du son de la vidéo qui apparut à mon sens, seulement selon mon ressenti, spontanément éprouvé, comme une espèce de message 'offert' dans un élan de bonté divine. J'y ai vu toutes les expressions d'un visage empli de beautés singulières, les unes autant marquées que les autres par des signes de vérité ineffable dont personne ne peut réellement en déceler le secret caché. Le visage entier est inspiré par la pensée qui s'échappe de chacun des mouvements expressifs de tous les éléments qui harmonieusement le compose. Jean Canal 12 mai 2024.  Haley Ollinger
Poetry only for You "The more I look at you, and the more I listen to you, you appear to me as a Beautiful Soul ! I'm coming to love you... and have a deep respect for you. Nevertheless, I do not hide from you that your beauty seduces me infinitely and so I fell in love with you ! And let me declare to you my burning flame of loving you for life." It's been a long time since a woman has impressed me so much with the charisma she exudes through her beauty. I still look at you with nostalgia that I have never met a Beautiful like you on my way. From now on, I will not be able to forget you and will take you with me wherever I go in Europe... I love you. Rare were the times when a woman of ideal features presented herself at the same time, in an inopportune manner, and in ephemeral circumstances which life placed in my way, as if she wished to make me understand that the beauty I sought in vain was before me. Your eyes, their expression and less their blue color, captivate my gaze which is directed towards that strand of hair that choks on your face in an offended third. Then a few classic jewels crown your sober clothes that your body embellishes with its classic presence. I love all that is in You! I love everything that comes from You. John.More Jean Canal, himself, that the editorial staff of presselibre.fr opted for the choice of relaying the videos of these women who present themselves looking for companions, friends, husbands and/or lovers. This shows the evil that affects these loveless women! Their form of eroticism, expressed in wonderfully composed stagings, attests to their haunting disappointment, of being abandoned, from one day to the next, for causes inherent to their situation as women. Aging for a Womanmy loveless! I shall remain glad with a heart full of happiness to have listened to you lovingly. You have touched my heart.

L'Amour et AMOUR simple

LITTERATURE POETIQUE Voici des extraits brefs, parfois décousus de sens, que je rédige, lorsque m'apparaissent des êtres sortant du commun des mortels. Ici, les faveurs sont consacrées à Une Américaine, du Texas, omniprésente sur Facebook. Je lui déclare mon amour ; quand bien même n'en aurait-elle cure. L'essentiel repose dans ce que des êtres hors du commun donc, dégagent comme puissance dans un charme inhérent à leur personne, sanctifiée par cette grâce divine : "You embody the source of inspiration for writing, especially in French, simply by listening to yourself, but above all by listening to the timbres of your voice, its intonations and, also, the expressions of your face, which perfectly reflect your intelligent thoughts. I love you. The expression of your whole face, leading with its features, an evanescent reverie towards the love that invites itself into it, reveals a rare purity of soul, almost exfoliated from your body where it seems to alternate with reality and dream: the one that I entertain at every moment of your thoughts. A ma Muse donc qui je ne le sais que trop, disparaitra le moment venu pour laisser la place à Une autre qui se sera égarée ailleurs, quelque part perdue dans un univers de plus en plus exécrable... C'est rédigé en anglais, mauvais certes, mais suffisamment clair pour que la Belle en prenne connaissance. Ce qui est systématiquement fait, quand je lui écris... Ces écrits feront l'objet de révision dans ma langue maternelle, afin d'encenser le texte et de me conformer à la part intrinsèque qui appartient à la réalité, à laquelle je devrai me conformer, les moments venus. Jean Canal 10 mai 2024.
Ainsi, j'en ai déduit que le virtuel est beaucoup moins cruel que la réalité faussée par les mensonges des gens et l'hypocrisie qui reflètent un monde tellement ignoble qu'une population cultive sans avoir conscience des risques encourus sur leur comportement qui attente à la paix civile, voire universelle. Les exemples des récents conflits et des guerres actuelles en sont directement les effets de causes typiquement humaines. L'homme est définitivement mauvais sur tous les points ! Ces femmes qui se produisent sur les réseaux sociaux ne sont pas des catins occasionnelles ! Elles ont besoin d'Amour ! Elles sont des femmes à part entière, mère pour certaines, divorcées, abandonnées par leurs époux et se retrouvant seules face au défit de l'existence... Jean Canal. 6 mai 2024. Le lien : https://www.facebook.com/reel/7783667295034226
Comment trouvez-vous mes compagnes virtuelles des Réseaux sociaux, avec lesquelles j'éprouve une certaine compensation intellectuelle... Les femmes sont-elles capables de telles prouesses pour présenter leurs charmes à n'importe qui, me suis-je demandé, en découvrant tout ce que se fait en matière d'érotisme ; puisque c'est le thème de la diffusion...internationale. Eh bien, une pensée évidemment que vous ne pûtes émettre en ce qui concerne ce sujet, ce sont les femmes en détresse de solitude qui m'ont le plus ému... n'en déplaise aux critiques de votre part fondées évidemment sur le stéréotype de circonstance que leurs présentations légères incitent. Elle sont belles d'abord et malheureuse ensuite ; car on ne se produit pas sur les réseaux sociaux de la sorte quand le bonheur est à vos pieds. Leur beauté n'est pas un gage de bonheur. La beauté ne garantit point que cette dernière vertu assure la continuité du bonheur, hélas !, éphémère... C'est un phénomène naturel qui s'inscrit dans la relation entre-deux ; il faut l'accepter en ne songeant point à son arrivée, d'un moment à l'autre. Les êtres sont-ils réellement fait pour vivre à deux ?! Etant inscrit sur deux sites de rencontres coquines, personnellement, je ne ressens aucune envie de rencontrer quelqu'un, soit-elle une belle créature, pour échanger, encore, sur les raisons des pourquoi la vie est ainsi faite... Je la vis, tout simplement, de manière à en saisir mes opportunités et non celles que vous crées... Tout le secret de l'existence repose sur ce principe caché qui révèle à un moment donné que la vraie vie est toujours ailleurs, là-même ou personne ne l'attend plus ; et le bonheur advint de lui-même ; sans que l'on lait provoqué ou bien invoqué. Jean Canal Auteur. 5 mai 2024.
Récit"C'était une femme complètement abandonnée, non plus par un homme qui n'avait su lui apporter un peu d'amour, mais tout simplement par la vie qui l'avait déclassée dans son organigramme affecté à toutes celles dont le corps avait fini par transformer leur anatomie, en leur défaveur ! C'est quand ces femmes-ci prennent conscience des désavantages que leur anatomie présente tout à leur corps défendant...qu'elles engagent un comportement qui les libèrera des conséquences désagréables que le temps engage sur elles, jusqu'à accroitre des contraintes qui finiront par les indexées dans les registres de ces êtres dont les hommes, ingrats de nature, ne reconnaissent plus ce corps spolié par la vie ! Phénomène naturel dont l'homme doit tenir compte s'il veut préserver la femme de sa déchéance superficielle. Celle d'aujourd'hui, m'avait remarqué, et vint dans ma direction pour que je fusse attiré par elle. Elle me regarda et se pencha vers mon visage pour voir si mon minois lui eût convenu... En tout a priori, je lui plaisais, plus que je pusse me l'imaginer, sur l'instant où son regard croisa le mien. L'instant fut furtif et sa fugacité à quitter ce coin de rendez-vous improvisé, devant des rayons de produits écologiques bios, me surpris à peine, étant donné que je vaquais à une situation consistant à me choisir un fromage dans le rayon d'un super marché bio : chez Marcel ! On peut d'ores et déjà affirmer qu'il n'existe pas d'endroit prédestiné aux rencontres entre des personnes désireuses de s'aimer ; et cela sans avoir pris rendez-vous. D'ailleurs, ni Elle, ni moi ne sûmes réellement si notre intention fut de se lancer dans une histoire d'amour, en ce matin d'avril dont notre temps allait être employé à se ravitailler commercialement en nourriture. Rien ne le laissait présagé, étant donné nos tenues vestimentaires négligées ; du moins, peu propice à ajouter de la coquetterie à nos apparences qui ont été jusqu'à tromper nous-mêmes. Nous ressentions, l'un et l'autre, sans se consulter, une envie de s'enlacer, de se caresser, s'embrasser, là-même en un lieu ne convenant nullement à ce genre d'étreinte. Ce phénomène tout à fait naturel m'était déjà arrivé, en d'autres circonstances, quand le monde extérieur à nos deux corps positionnés en vis-à-vis, s'appellent l'un, l'autre à enfreindre les codes faussés de la bonne conduite : en Amour, seule la conduite des gens qui s'aiment compte pour leur amour... C'est hélas, ce qui n'avait pu fonctionner avec la Belle Brune du Bourg ariégeois, laquelle était incessamment harcelée de critique me concernant, intentionnellement entretenue par des gens exécrables par leur naissance -l'effet du microcosme d'un village est néfaste pour des relations intimes que tout le monde sut avant même le principal intéressé : Moi !- Donc plus signe de vie d'Elle qui, pour corroborer les critiques dont je fus l'objet, me fit une dernière grimace (une forme de moue de la bouche) sur le parvis de la cathédrale où elle avant fixé un rendez-vous professionnel : Elle me répudia sans ne jamais entendre ce que j'avais à lui dire sur un amour éteint sous les cendres... Je m'inclinai donc, sans coup férir, fermant ce beau roman qui se résuma à un magnifique poème, ayant été composé à son intention, que j'avais archivé dans mes documents précieux. Pas un mot d'Elle, pas un message sur mes réseaux sociaux pour me faire part de ses sentiments ou ressentiments à mon égard ! Comme l'écrivit Rutebeuf "L'Amour est morte." Ne regrettez rien, sinon vous allez vous morfondre et vous torturer l'esprit ! Il faut savoir ensevelir ses souvenirs, du moins ceux-ci, quand ils sont encore récents... Oubliez ses malheurs avec le bonheur que d'autres prodiguent... La recette est très efficace ; les femmes la pratiquent ré-gu-liè-re-ment ! Ayant très vite compris le harcèlement des racailles du lieu et d'ailleurs à son encontre, étant moi-même immunisé par ce genre d'individus et leur ignoble procédé, très caractéristique des mentalités viscérales du bled, je me retirai de cet Amour perdu. Elle se consola très vite avec ceux qui l'avaient convoitée pour me nuire ; uniquement pour détruire à mon bonheur qui n'existait pas et s'il fut un jour présent, il se formula par des années échelonnées sur à peine un dizaine d'années entrecoupées par rois femmes dont je préserve précieusement notre souvenir..! En ce qui concerne désormais, ma nouvelle Egérie, à aucun moment, nous ne fîmes attention à la manière dont nous fûmes vêtus ce jour-là. Ce qui prouve, encore une fois, que tout et son contraire peu jouer ou non en la faveur des êtres, lorsque ceux-ci sont appelés à rencontrer une opportunité amoureuse dans leur vie ! Moi !, Elle me plaisait, avec ses presque quarante années difficiles à accepter. Je n'avais pas parcouru discrètement du regard si ses seins furent à mon goût dont je ne peux, ici, dépeindre les formes et volume espérés trouver... Il m'était arrivé avec la Belle Hélène de me retrouver au lit avec Elle, sans avoir au préalable remarqué qu'Elle était plate..! C'était trop tard ! Nous étions chez moi, nus dans mon lit, sous des draps qui bientôt me démontreront que j'avais bien fait de me trouver là, avec Elle (Elle compensait ce manque à gagner par des pratiques inclassables dans un manuel sexuel, inventé pour ce genre d'exercice physique)." A suivre... 19 avril 2024.
Post-Scriptum : ce récit ne fera point l'objet d'une éventuelle publication dans un recueil de nouvelles ; où alors, il sera strictement modifié pour ne pas donner l'occasion perverse aux racailles des villages d'en exploiter un fond, à dessein de semer la rumeur au-delà de sa capacité à diffamer sur "les Choses de la vie." Le texte disparaîtra de la publication publique et demeurera, comme le poème, dans les archives qui reviendront à mes héritiers... Son exploitation relèvera alors des tribunaux qui statueront sur l'éventuel délit de diffamation  qui en ressortirait...

En les ayant relus, les uns après les autres, je découvris que ce que j'avais écrit, il y a maintenant presque vingt ans, et que j'avais négligé, comme je néglige les personnes et les gens, auxquels je ne suis point attaché, et cela quand bien même fussent-ils les miens, en les relisant, je les trouvais beaux ! Beaux de simplicité, de vérité et même de pureté ! J'ai retrouvé une autre nouvelle abrégée adressée à une Jeune-Fille dont je ne me souviens absolument pas l'avoir connue. C'est dommage. Imaginez que vingt ans plus tard, je lui offre cette Nouvelle en lui disant : "Voyez-vous Mademoiselle, j'avais écrits ceci sur vous parce que vous m'inspirâtes, lorsque je vous vis passer au loin, à proximité de mon regard que j'avais jeté sur un coin de paysage. Alors, permettez-moi de vous offrir ce qui est le plus précieux à mon sens : l'écriture. Je n'ai jamais rien attendu de femmes dans ce domaine-ci, car elles n'écrivent pas et redoutent qu'on les lise ! Voilà ! Cher Lecteur. Fais-en bon usage, sans abus, sans mauvaises interprétations comme tu as la sale habitude de le faire... Jean Canal. 16 avril 2024. 

A La Belle de Avignon. Avignon, ville splendide par son architecture et l'esprit qui s'en dégage, en son centre historique. Le passage de François Pétrarque et de la Belle Laure y ont définitivement jeté l'anathème contre tous ceux qui se risqueraient à lui ravir sa beauté éternelle qui demeure encore présente chez d'aucunes qui en usent, avec une juste coquetterie, bien établie en une silhouette parfaite, dont je fus la victime en ayant voulu jeter une œillade soutenue sur son corps déifié en ces circonstances, que les braises de mes yeux enflammèrent, de sorte à fronder son hautaine attitude, entièrement dévolue à mon corps sans défense... Le passant insignifiant que je fus ce matin-là, après l'ouverture des boutiques de prêt-porter-de-luxe, où, sur le pas de la porte la Belle grilla une cigarette (je descendais la rue en face ; ce qui me permit à loisir de contempler cette princesse sortit des contes pour adultes). Elle n'eut, à mon égard, aucun regard, pas même une vue vagabonde qui eût tombé inopinément sur moi ! Je connaissais les femmes pour leur cruauté ; je fus donc un repenti de mes désirs étouffés, reconduits en d'autres desseins moins nobles !  Je ne reprendrai plus jamais cette rue. Je ferai, s'il le faut d'immenses détours afin que son souvenir ne vienne plus jamais me hanter. Et j'oublierai, comme j'en ai le pouvoir, celles qui me sont apparues les plus Belles de ma vie. Jean Canal. Six avril de l'an deux mille vingt quatre. Villeneuve Les Avignon. Photo Jean Canal. Copyright...et tribunal en cas d'usurpation de travail !

En me rendant à un rendez-vous qui m'oblige à me vêtir exceptionnellement de façon très élégante, comme jamais l'on ne me vit au Bourg des Idiots, ou je vécus en Ariège, je voulus voir s'il exista vraiment une femme à la beauté semblable à celle de Laure de Noves, près d'Avignon où je me retrouve pour des circonstances dont je ne peux vous dire les raisons... La belle Laure n'existe plus et c'est tant mieux, car j'eusse souffert qu'un Idiot me l'eût ravie ; à Moi qui l'eusse comblée de ce bonheur à jamais perdu qu'elle rechercha, en vain, toute sa vie ; alors qu'Elle le vit passer, un jour, sous sa fenêtre. Les amours chastes sont les plus belles, en ceci qu'elles réussissent à vaincre l'adversité des autres qui tentent d'en détruire la pureté. 3 avril 2024.

Les prolégomènes de la pensée, s'ils devaient exister se résumeraient à un condensé de verbes au sens où les entendaient les Grecs anciens, à savoir le Logos λόγος, et surtout, au texte anciens issus de la Vulgate romaine In principio verba erat, qui n'est autre que l'ancien Testament dans lequel apparaissent nettement les textes de la Torah juive : transmission de la pensée de Yahweh à Moïse. C'est-à-dire que avant le verbe, il y eut la pensée, phénomène naturel, donc, par lequel naît l'expression pas encore écrite, mais formulée par des onomatopées semblables à celles du nouveau-né qui tend à émettre une vocalise afin d'exprimer cette pensée native d'un mouvement humain, dont l'enfant ignore tout. Dieu en est absent, à ce niveau-ci, ni le spirituel, ni les formes religieuses ne se peuvent être ostensiblement présentent. Le souffle, celui du Soufisme, le Pneuma grec πνεῦμα que parfois les vents transportent au loin vers des âmes aspirant à communiquer, se formalise par des spasmes hautement évocateurs de l'esprit ! Tout repose sur la Pensée profonde de soi envers l'autre, sans aucune interférence adverse qui détruirait la pureté du message : message d'amour, ici, qui est reçu, sans conscience aucune de la part de l'être absent des sentiments qui l'habitent. Voilà ! Vous en saurez suffisamment pour en tirer toutes les conclusions qui conviennent à l'usage que vous en ferez, selon vos capacités à recevoir le bien, le bon et le beau. Voir à ce sujet Plotin, les Ennéades. Jean Canal. 19 mars 2024.

J'avais su préserver le rêve des atteintes constantes portées par des personnes me rappelant que l'on ne faisait pas sa vie sur un nuage. Voilà plus d'un demi siècle que ma vie s'est construite avec les rêves, entre ciel et terre et le plus souvent, il est vrai, perché quelque part ailleurs de là où généralement je me trouve. Le voyage est intérieur : on peut aller très loin en demeurant sur place... Certes des nuages, j'en suis descendu, étant donné que la société ne prend guère en considération ce genre de définition de l'existence. Les rares qui s'y ont adonné, avec succès pour certains, mais toujours œuvrant dans une vie difficile d'accès où les autres ne peuvent pénétrer, sont entrés dans la postérité littéraire ; je n'en demande pas autant ! Seuls Baudelaire, Rimbaud, Lautréamont et avant eux Gérard de Nerval (doit-on, pour ne froisser personne, songer à Paul Verlaine?) Aujourd'hui, en ce mois de mars 2024, rêver est plus que jamais nécessaire pour s'écarter du délire général des sociétés, voulant gravir les étapes d'une économie mortifère qui nous emportera tous, y compris ceux qui la produisent. Alors, pensez un peu, Jean Canal doit impérativement cesser de se balader dans son monde où il crée un univers réservé à un entourage restreint constitué de gens que l'on ne croisent jamais ! Autant le fusiller sur la Place publique, après un jugement populaire, afin que l'Histoire se souvienne que la Plèbe se sera suicidée selon sa propre volonté. La Justice en ce domaine ne prévalant pas, elle demeure donc passive sur ce qui n'entre pas dans le cadre des Lois humaines !

LA NOUVELLE En ce mardi 12 mars de cette année courante, j'avais presque oublié le prénom de celle rencontrée inopinément un jour de pluies abondantes qui s'abattaient encore en pays occitan, dans le pays narbonnais ; et pourtant, à Elle, j'avais songé à lui demander comment elle se prénommait, certes prudemment, presque formulé du bout des lèvres par craintes d'accuser un refus. Par déférence à ses attraits 'délicieux dont j'étais d'ores et déjà épris, je me précipitais dans mon histoire romanesque que j'étais en train de faire naître, à partir de sentiments conjugués dans d'indicibles pensées, subrepticement surgies de cet instant heureux, annihilant ainsi tous les malheurs, dernièrement survenus. Mon grand malheur, dans un tel contexte, est que je finis par oublier ces visages, si je ne les vois pas trop souvent, lesquels sont remplacés par d'autres, comme durant ces moments de halte en un lieu qui m'est familier, où je me trouve actuellement, espérant que celle qui m'y rencontra, revint me voir... Donc, cette injonction dernière ne se formula pas et me permit d'espérer une prochaine rencontre qui, cette fois-ci, se rapprocherait des sensations que nous partageâmes déjà, l'un pour l'autre, sans en comprendre les raisons qui faisaient que nous fûmes attirés l'un vers l'autre. Chez ces êtres voués à une attirance réciproque, ni l'un, ni l'autre ne sait réellement pour quelle raison ce choix s'effectue, en surprenant leur attention plutôt occupée à de quotidiennes tâches civiles, obligeant à occulter ses sentiments amoureux pour un être. Une espèce de passion soudaine naît d'abord dune apparence ineffable et s'accroît ensuite moyennant des rapports qui s'établissent de façon singulière, sans presque n'avoir provoquer un quelconque intérêt d'où sourd toujours une raison, pas forcément explicable. Connaître son prénom ne fut qu'un prétexte pour aller plus loin dans ce que je pressentais devenir une belle histoire d'amour. Ce serait le couronnement de tout une vie de terminer mon existence à passer du temps à prendre soin d'Une Belle, en entreprenant tout ce dont une femme attend réellement d'un homme ; à savoir la libérer de ses obligations quotidiennes qui l'emprisonnent, elle aussi. La servitude à l'autre s'instaure à l'escient des désirs de l'autre... Et il est vrai qu'une femme en remplace facilement une autre, quand bien même crûmes-nous y être très attachés ; contrairement aux apparences qui en signifient la sentimentalité, les êtres possèdent le pouvoir de séduction qui gomme, celle que l'on croyait être sienne. Celle que j'attends, jusqu'à un certain jour, pas plus, est tout simplement jolie. Elle n'est pas simple. Cependant, je lui plais ; c'est déjà un atout ! Je ferai le reste afin qu'elle se sente en confiance, rassurée et aimée (son mec l'a abandonnée, elle aussi !). Bref !, si je n'en parle pas, c'est quel n'est pas venue... 12 mars 2024.

Abandonnons les cons à leurs vies puériles et investissons-nous dans la lecture. Laissez-moi plutôt vous conter mes aventures romanesques au sein de...la Littérature, au quotidien -la nuit- de mes lectures, soient-elles abrégées ou bien continues, comme avec des auteurs majeurs dans le monde des Lettres (aucun contemporain, par contre ne détournent ma pensée de mes investigations dans des domaines précis qui m'orientent vers une autre vie repensée à l'aune de grands changements dont vous ne semblez toujours pas prendre conscience et c'est tant mieux...). La Comédie humaine de Balzac revient au goût des nouveaux jours ; les miens. L'existentialisme dans "La Peau de chagrin" présentée de façon fictionnelle me laisse pantois et quelque peu dubitatif sur cette interprétation de la vie, son sens et sa fin ultime. Puis, il y a Pauline ! Heureusement que Pauline est là pour vous faire rêver, comme la jeune femme rencontrée quelques minutes en une ville de province, ce samedi 2 mars. Le même effet se produisit avec Eugénie Grandet qui devient séduisante sous tous les points. C'est d'ailleurs cette association d'idée qui me fait revenir sur le romanesque de Balzac, précisément ici. Les personnages de l'auteur existent bel et bien dans notre société ; il suffit de les trouver, sans jamais les chercher, en tombant dessus, au détour d'une rencontre. Ces deux femmes conjuguent une entité singulière, comme chez la plupart des personnages de Balzac (Le lys dans la vallée est significatif de ces traits de caractère.) Alors, à un moment donné, je fus en présence de cette féminité que le quidam ne perçoit pas : une femme quelconque, du moins en apparence, m'expliqua certaines chose simples qui éveillèrent en moi une nouvelle façon d'envisager les rencontres : elle revêtait à la fois la beauté imaginaire des deux héroïnes de Balzac, mais qui plus est, elles incarnaient à elles seules leur caractère. A bientôt. 3 mars 2024. 

C'est à partir d'une photo moins érotique que celles que j'avais intentionnellement publiées, prise par la troisième femme que l'on ne voit pas : Delphine que l'idée me vint, en la regardant presque un demi siècle plus tard, de rédiger sur le contexte de l'époque ; parce que, effectivement, ce fut une période rare en enrichissement humain. Le faux mourant alité sur sa couche, c'est bel et bien Jean Canal, moi-même, donc, qui se fait dorloter par les filles avec lesquelles, il vécut de nombreuses années à Toulouse, centre ville, soit à peine cinquante mètres de la Place du Capitole... C'est dire que le lieu fut propice aux rencontres. Et quand de nouvelles filles arrivaient, rapatriées par les accoutumées et plus anciennes, les nouvelles invitées savaient déjà chez qui elles arrivaient : "Voilà, Jean, c'est Lui !" Et moi, je demandais toujours leurs prénoms, par curiosité. Elles avaient fini par prendre goût aux miens et adopter mes habitudes. Elles invitaient des copines chez moi où musique, lecture et autres agréments se pratiquaient naturellement. Elles avaient pris l'habitude de m'embrasser sur les lèvres, chaque fois qu'elles arrivaient. Je finissais par ne plus être chez moi. Et mon goût pour ces êtres merveilleux me fut immodéré de telle sorte que je m'abandonnais délibérément à leur sensuelle volonté de faire de moi ce qu'elles désiraient. Ne vous y trompez pas, elles possèdent une sensualité envoûtante qui encore aujourd'hui me captive : elles modifièrent le regard que je dépose toujours sur les moindres parties de leur corps, lorsque une apparaît distinctement des autres. J'étais confronté au sain des sains de la féminité ; et ayant presque oublié mon omniprésence, elles disputaient sans égard pour ce que j'entendais sur les quelques mâles qu'elles rencontraient, en dehors de mes pénates, s'entend ! Chez moi se trouvaient du thé vert, des bières et quelque chose à grignoter ; car, la plupart était étudiante, sans trop le sou et étirant les fins de mois, sur les frais occasionnés par des sorties nocturnes torrides... A suivre, selon mes inspirations...  Dernier jour de ce mois de février 2024. Jean Canal.

Vous conter une brève anecdote, composée en forme de récit, bref !, pour ne pas abuser de votre temps qui, je n'en doute pas doit être si précieux que vous oubliez de le vivre. Ce n'est point ce dernier mot qui m'interpelle, parce qu'il est si vide de sens eût dit Diderot, dans sa correspondance avec d'Alembert (les deux principaux compères de l'Encyclopédie), mais celui de la Liberté et de son verbe, conjugué à toutes les formes verbales possibles que la grammaire autorise dans sa forme. "La Liberté" vécue pleinement, dans son état : "Je suis libre !" Libre de vivre selon mes pensées qui, vous vous en êtes aperçues, ne correspondent point aux vôtres, non pas parce les miennes sont meilleures, mieux que les vôtres et que sous quelques prétextes, j'eusse trouvé la pierre philosophale (quoique là où j'en suis de mes lectures, je risque fort de l'approcher et même de la caresser...) ; mais votre façon de vivre ne me convient pas ! Votre façon de penser également ne me correspond pas ! Et quand on n'a pas sa place en un monde souillé, on s'en va, sans se retourner, sans grâce pour ceux et celles qui ne connaîtront autre chose de mieux, malgré leurs vains efforts répétés de se positionner parmi les leurs. Le grief, en fait, et vous ne l'avez pas compris et vous ne le comprendrez jamais puisque il vous est chevillé au corps de façon intrinsèque, repose dans la pensée, cette pensée qui est la vôtre : ce qui est répréhensible et impardonnable, n'est pas ce que vous dîtes, même pas ce que vous faites, mais ce que vous pensez ! Alors, il y a longtemps, lorsque, seul, je descendais la nuit dans les arcanes du Grec ancien, jusque à en composer des thèmes (vous connaissez toutes la Version et le Thème), je ne me rendis point compte que ce monde merveilleux du Savoir et de la Connaissance m'éloignait doucettement des sociétés puériles que vous avez érigées, sans tenir compte des conséquences graves qu'il adviendrait un jour ! Ce jour est là. Et un autre promeneur solitaire que je rencontrais de temps en temps, au cours de promenades, sachant la passion que j'avais pour un domaine intellectuel type et connaissant mon engouement pour les Lettres, me dit, tout en m'ayant observé durant des années, "Tu finiras, seul, dans un tonneau, comme Diogène !" Non pas sur les places publiques avec une écuelle en signe de mendicité, mais dans les lieux désertiques où la nature humaine est revenue aux sources de la Pensée. J'aurais pu lui répliquer, à l'époque, que l'on vient seul au monde et que l'on meurt seul. D'ailleurs, les membres de ma famille, grande et vaste famille qui sont vos semblables -répliques identiques qui s'ignorent- me demandaient "as-tu pensé à ta mort ?," sous entendant, sans aucun doute que cet incident de vie, programmé, adviendrait bien un jour, je répondis à ceux qui voulurent l'entendre : "Quand les premiers signes de ma mort apparaîtront, j'entreprendrai un petit voyage en un endroit précis dans les Pyrénées, où je fis de la randonnée ; là, je me laisserai mourir, en un lieu caché, sans aucune trace d'identité, comme je fus venu... De cette façon personne ne saura jamais que je suis mort !" C'est beau, n'est-ce pas ?! Je vous dis donc adieux. Jean Canal. 12 février 2024. 
Thomas d'Aquin dit le Saint «Fais pas chier Connasse !» Phrase composée à la forme impérative. Une analyse grammaticale révèle, en effet, une insistance par l'injonction qui caractérise un ordre sur l'intention donnée à la susnommée, anonymement précitée afin d'élargir la possibilité du nombre important auquel s'adresse cet ordre ! Mise en exergue moyennant les guillemets ouverts, suivis du point d'exclamation !, le seul nom commun utilisé appartient au registre de la vulgarité pas que populaire, selon le contexte où elle est prononcée. Le verbe « chier » est une pure métaphore : c'est-à-dire qu'il doit être interprété au sens figuré, de sorte à libeller l'image métaphorique qui illustre la situation..! La locution adverbiale de négation, privée ici de la seconde partie de sa composition orthographique officielle, accentue l'insistance sur la formulation de la supplique «Fais pas chier». Qu'est-ce qu'une connasse pour une femme qui subit cette insulte, la plupart du temps injustifiée ? Tout simplement une femme dont la seule présence non seulement ne mérite pas ce titre, mais qui pis est dégage une gène par son entité à celui qui la prononce (l'insulte)! Nous en resterons-là. 8 novembre 2023. Jean Canal Curriculum Vitae

Il s'agit de lectures appartenant aux Pères de l'Église. Saint Augustin. Saint Thomas d'Aquin et le grand Avérroés. Aristote, auxquels ses trois figures du monde des érudits se référent, lui, fut éminemment connu pour son Lycée dont la conception reposa sur cet esprit épistémologique cultivé à l'escient de l'appréhension du Savoir et de la Connaissance. Les matières, à ce jour, en sont demeurées intactes, telles que le philosophe voulut les laisser disponibles aux générations successives à la sienne. Son traiter de l'âme apprend beaucoup sur l'ignorance de cette époque lointaine. Non pas que nous en sachions plus aujourd'hui, mais le sujet désuet a chu dans les organes religieux qui en ont détourné la propension originelle de sorte à en contenir son essence,  pérennisée dans l'éternité de l'existence, au-delà des limites terrestres. A partir du moment qu'aucune étude fiable n'en démontre le contraire, toutes sortes d'hypothèses sont permises. Et les charlatans de la pensée s'en donnent encore à cœur joie. Thomas d'Aquin paraît le plus à même de s'être rapproché de la vérité suprême de la "nativité" du monde. Il a recherché la voix la plus sûre afin d'y parvenir suivant les modèles de pensée de ces prédécesseurs qu'il cite en exemple. Avérroés en disputa les thématiques en mettant à profit sa perspicacité fondatrice d'idées. Son intelligence debouta tous ses ennemis religieux pris aux piéges de leurs contradictions. Le seul sujet qui ne fut abordé et dont les Sufistes feront leur sacerdoce jusques aujourd'hui reste La Spiritualité oubliée de nos contemporains.  Janvier 2024. Pax Tecum Sit.

Les derniers survivants du XX° siècle. Une Histoire achevée dans le chaos social et culturel ! Tant mieux qu'ils ne soient plus de ce monde, le vôtre : celui que vous êtes en train de détruire. C'est une belle réussite pour une carrière inachevée. Tout devra être refait, au préalable repenser de façon à ne pas reproduire les erreurs qui ont amené les sociétés à s'entre détruire ! Nous sommes arrivés au terme de notre propre hégémonie. Le passé n'existera bientôt plus dans les annales, soi-disant consignées pour l'exemple utile de nos connaissances ! Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que notre fin universelle est proche. Ne craignez pas de disparaître, l'humanité s'en remettra avec moins d'orgueil. Personne n'a vraiment pris conscience du malheur qui nous frappe : celui de perdre l'essentiel que nous n'avons pas voulu préserver de nos dommages. En se référant aux conjonctures qui s'entrecroisent, il est évident que le présent ne reconduit plus les valeurs cultivées, durant les siècles, en en exploitant l'héritage laissé intentionnellement par le passé, plus précisément référencé dans l'antiquité et le Moyen-âge. D'héritage, il n'y a plus. Dilapidée par les générations avides de pouvoirs fondés sur des schèmes économico politiques, nous avons intentionnellement perdu cette valeur de référence suprême qui repose tout simplement sur la spiritualité : celle qui nous amène à la Vérité ; déjà évoquée et révélé par Plotin, dans ses Ennéades (un auteur peu lu et pas très fréquenté des exégètes qui affectionnent plutôt les présocratiques et leurs héritiers) ! L'Humanité universelle rêvée par les plus sages, est en train de s'effondrer, sous les regards hagards des coupables, doutant toujours de la fin, renvoyée aux calendes grecques. De toute évidence, c'est un échec ! Désormais, le doute n'est plus permis sur les intentions de chacun : la vie en une seule communauté planétaire a échoué ! Le Grand Architecte de l'Univers sera-t-il disposé à mettre fin à cette destruction ? Où alors est-elle simplement inscrite dans l'apogée d'un monde nouveau ressuscité de l'ancien ? Il est vrai, cependant, que le XX° siècle endosse une lourde responsabilité, en ayant formé la synthèse des siècles écoulés jusque-là ; mais les deux événements majeurs des principaux conflits qui l'ont, paradoxalement aux attentes d'espoir suscitées, incitée à croire à une réussite sans pareil, se sont révélés, effectivement, infructueux. Un constat que l'actualité met en lumière. Une hécatombe qui clôturera des siècles d'espérance perdue. Le pessimisme n'est pas de fait, ici, puisqu'il est question de réalité objective évidente. Qui sont les détracteurs de cet immense complot contre les civilisations ? Pour une fois, l'ésotérisme, soupçonné d'entretenir une éternelle kabbale, en l'occurrence juive, ne participe en aucune manière à cette "évolution" planétaire, la subir serait le terme approprié qui conviendrait au contexte actuel, et cela sous tous les paramètres possibles. Ce n'est que notre attitude envers la nature elle-même dont nous avons sous estimé la force de réaction. L'addition sera lourde, lorsque sera rétabli une stabilité des éléments qui composent notre système terrestre. Le processus de changement est enclenché sans que nous puissions le stopper (rien n'interdit de penser le contraire). Notre énergie ne nous permet pas d'intervenir dans quelques modifications que ce soient, malgré les exercices économiques qui tentent de répondre aux questions relatives à une survie, globalisée dans l'espace humain. Notre destinée est écrite, comme les trois religions monothéistes ne cessent de l'annoncer sous les révélations sacrées de chaque texte s'y reportant. Les références existent bel et bien. Elles sont justes, s'entend ! Cependant, très mal interprétées et systématiquement appréhendées de façon strictement personnelle, de sorte à galvaniser un esprit général que chacune d'elles entretient à des fins eschatologiques, comme l'indique la raison dans cette spécificité erronée. La force divine existe, effectivement ; mais, elle n'est pas seule à régner sur les éléments qu'elle a composés. C'est sur cette seconde force que repose l'avenir du monde ; et non sur celle des hommes, vaine et puérile, lesquels n'ont eu cesse de s'entredétruire. Le symbolisme joue t-il toujours un rôle aujourd'hui ? Bien sûr ! Plus maintenant qu'avant, quand le symbole ramenait à dieu ! Une peur donc symbolique existe encore et s'affermit face aux problèmes cardinaux liés à l'existence. Rationnalisé pour des raisons évidentes de croyances, la symbolique glissa vers le populisme qui s'en est emparé pour ériger au Piédestal leurs propre symboles idéologiques ! La place du sacré qui s'y rattache par sémantique, ne revêt aucun aspect de la pensée qui en émane : le sacré est à lui seul une gnose inviolable ! L'accaparement des religions cultivant un sacré, n'en respectent guère son origine que l'on retrouve plus précisément dans l'antiquité qui lui conférait une crainte divine et respectueuse (le Temple de Delphes, notamment). En conformité avec les Grandes Origines de l'Humanité, les civilisations furent fondées selon ces principes. Aujourd'hui, aucune de ces règles d'esprit n'a survécu à la déliquescence de la modernité post Renaissance. L'ébranlement de cette humanité annonce donc, matériellement, tout simplement la fin des vieilles valeurs n'ayant plus cours dans une société essentiellement manipulée par l'économie et ses échéances ! L'état des lieux profanés attestent par des contextes, aujourd'hui évidents, de se poser des questions sur le comportement global d'une humanité en perdition. Sur quel point l'être a-t-il perdu sa dignité ? Le comportement était prévisible au regard de son évolution. Il est confronté à sa propre responsabilité ; adviendra ce qui est prévu dès le départ de son hégémonisme ! Il fut et cela l'est encore, évoqué le devenir de cette humanité qui contrairement à l'idée comparative évoquée en amont de penseurs post XX° siècle, aurait tendance à évoluer vers un avenir triomphant des précédents siècles de décombres ! L'actualité ne vous démontre-t-elle toujours pas que l'histoire se répète de sorte à commettre les mêmes erreurs du passé, proche ou lointain, cela importe peu, pour l'exemple ? Les faits sont là, immuables dans l'évolution qu'ils illustrent sans en incarner les valeurs perdues que nous avons abandonnées au profit du consumérisme, élevé comme dieu sur l'autel de l'Humanité ! Novembre 23.
Au moins, aura été reçue de cette humanité une once de beauté dont sera enfin satisfaite, sans en exiger davantage, l'âme épurée de tous maux ici bas ; puisque la partie tronquée de cette existence n'aura servi à rien qui ne pût engendrer le bien : indésirable sur terre ! Le mal dans sa singularité de n'avoir aucune limite dans sa pratique, serait-il incarné par une entité dont aucune apparence ne laisse paraître des signes de violence ? Fondée sur deux principes exclusivement religieux, déjà signifié dans les textes anciens, la vie fut établie sur le bien et le mal. Manichéisme reconnue par toutes les religions et au cœur des courants spirituels connus. Un phénomène fondamental appartenant aux origines de l'humanité. Les gens le pratiquant au quotidien n'en ont pas toujours conscience. Ils sont les plus nombreux sur terre à l'heure actuelle. Le nombre sera réduit quand cette période sera achevée, comme il est écrit. Les commercants chez les Grecs anciens étaient protégés par un dieu mythologique : Hermes qui était également celui des Voleurs. Cette association d'idée trouvait sa source dans la rhétorique que le commerçant pratique naturellement... Décembre 2023.

Anne de Pélisse        L'Arlésienne

Laure d'Avignon

La vie de Pétrarque était empreinte de chasteté, en des mœurs contenues au cœur d'une société dans laquelle le poète évolua, présentant des caractéristiques propres à cette vertu naturellement pratiquée, de façon simple, au sein des différentes corporations sociales, dignes de ce nom, qui composèrent son époque. Bien que Avignon lui apparût comme la cité Papale déchue, il fut désagréablement surpris de constater que la vie monastique fut débridée, baignant dans le stupre et la décadence. Pétrarque en donna une critique acérée, sans concession aucune sur le vocabulaire édulcoré que d'aucuns eussent tenu, à dessein de préserver leur fâme de l'éclaboussement obséquieux attendu en pareille inconvenance. 

Silence !, J'écris Archives