DU GALIMATIAS à la Rhétorique d'usage dans le métier de Journalisme. L'observation fut une science appliquée au XIX° siècle, laquelle permettait d'instruire une déduction à des fins purement analytiques au service de la vérité. Elle fut, évidemment dévoyée, pour les intérêts des uns et des autres, au fil de ces deux siècles écoulés dans un déni constant de cette vérité à ménager. Aujourd'hui, la critique omni pratiquée sur la toile, permet toujours de déceler la désinformation vraie de l'information fausse ! Certains journalistes n'ont pas envie, pour des raison professionnelles, de remettre en question leur divulgation des faits d'actualité pris au comptant ! Après tout, être informé repose bien sur le reflet de la société te qu'il apparait ! En débattre réside dans un esprit critique qui se nourri d'idéologie politique en filigrane de l'idée cardinale de la profession. La question serait de savoir à quel degré un journaliste s'écarte de son devoir d'informer ! Jean Canal. 4 novembre 2024.
Selon certains journalistes hautement considérés par leurs semblables...(qui se ressemble, s'assemble), certains médias français en l'occurrence présentent les Unes de leurs confrères, sélectionnés dans la volées des informations diffusées au grand public, autant dans la presse papier que dans l'audiovisuel. La subtilité de la critique toute constructive soit-elle, réside dans l'art de n'en dire ou écrire aucun mal, à leur encontre, de sorte à laisser la suggestion œuvrer pour des causes intellectuelles dont ils se nourrissent, sans ne jamais prendre réellement cause, de crainte de représailles (la presse peut envoyer un Tiers au piloris, sans coup férir) ! Rien de bien méchant ! Ces méthodes font parties des joutes qui animent les débats officiels de nos politiques. Il faudrait, et nous nous efforçons d'entrer dans le jeu de la "communication", sans aucune solidarité, s'entend, avec une quelconque entité représentative de l'objection subjective cultivée ! C'est ainsi, qu'il faudrait, sans tabou, écouter les uns et les autres de sorte à comparer la présentation quotidienne de l'actualité ! France Info/ Cnews (deux exemples emblématiques qui opposent leurs manière de voir) ! Deux médias importants et strictement différents. Eh bien !, ni l'un, ni l'autre ne remporte une première place dans un classement d'école qui eût l'audace d'attribuer au Premier un satisfecit ! Lequel ? Est-ce que le monde des médias perd de sa capacité intellectuelle à ordonner l'actualité de manière à éviter les véritables thèmes attendus par une population plus encline à entendre la Vérité : celle qui n'a nul besoin de justificatif, voire de preuve pour exprimer la Raison ; car la Vérité est à elle seule une vertu ! Elle se suffit à elle-même pour plaider non coupable ! Jean Canal. 13 octobre 2024.
Onfray dans le collimateur de la Justice ! Une mise à l'écart de la vie intellectuelle publique résume avec pertinence la "Chasse aux Sorciers" que l'Etat français entreprend à l'encontre de nos penseurs... Michel Onfray* est assigné à résidence ! Voltaire, le Grand homme, dut s'exiler en Suisse. Jean Canal, reconnu comme Modeste, aura-t-il les honneurs de la justice pour n'avoir révélé que la vérité depuis trente ans déjà ?! Une mise en examen répondrait aux diffamations et aux harcèlements des Service de Sécurité qui durent depuis trente ans, feront-ils foi en la Ville de Foix ? Septembre 24 *Notre philosophe est privé de France Culture, la radio intellectuelle de l'état.
A la lumière de la lecture du Monde diplomatique de ce mois d'août, plus particulièrement, une lucidité vint soudainement apporter de la compréhension à l'intérêt de continuer à lire ce mensuel dont l'information reste indéfectible à l'actualité. Depuis 1984, exactement, puisqu'il faut de temps en temps se référencer dans le temps encore comptable, la lecture de ce média papier apparaît comme incontournable, malgré "le paquet" d'informations déversées dans la presse qui, elle-même, n'eut cesse de se repenser, en se renouvelant à chaque période correspondant à des événements politiques et sociaux ! Sous forme de litanie, certains renaissent de leurs cendres et ravivent une actualité qui semble encore aujourd'hui incomplète, intentionnellement tronquée de réalité ombrée pour l'occurrence ; le problème serait d'éviter la redondance... et le copier collé... Il est vrai, nonobstant cette forme rhétorique de présenter les idées, les unes proches des autres, que l'écriture journalistique ne peut se démettre d'une certaine forme de présentation, stricte et conventionnelle. Comment écrire sur les Jeux Olympiques de 2024, sans contourner le sport qui s'en dégage encore avec de magnifiques exploits, à dessein, certes nobles, de relever les anomalies ancrées dans la gestion de cette entreprise devenue internationale. Par exemple, aurons-nous un jour la "joie" rarement partagée, s'entend, d'assister aux Jeux, en Chorée du Nord ! La question sur ce sujet est venue s'immiscer dans la réflexion sans pour cela la solliciter, au regard que les circonstances prêtent au conteste actuel. Les cultures des pays marginalisés par leurs politiques non conventionnelles à l'Occident, n'admettent pas forcément la même façon d'appréhender cet événement ! L'exemple de la Chine suffit à nous prévenir que chez Mao, on ne tolère pas tout ce qui se pratique en Europe ; de même chez "nos amis" les arabes du Golfe. De surcroît quand le religion veille aux comportements des peuples ! Souvenez-vous de ces anglais supporters débarquant aux Émirats Arabes Unis, revêtus d'armures incarnant les Croisés ! On n'a pas fait mieux depuis. Ce détail cocasse nous ramène à cette soirée du 26 juillet quand les mœurs explosent à la gueule des spectateurs du monde, en direct... Quel scoop ! politique ou culturel ? Jean Canal.
Couthures-sur-Garonne, où se déroule depuis huit ans son Festival International de Journalisme. Un rendez-vous devenant, effectivement, incontournable comme le souligne la Direction, représentée par Sonia Jouneau et Gilles Van Kote. Jean Canal avait formulé le vœu de s'y rendre, dès la Première, puis un jour de clémence médiatique. Évidemment, vous vous en doutez, ils et elles font la soupe à la grimace...presselibre.fr ne sera jamais bienvenue quelque part, où la presse officielle détient le monopole de la liberté d'expression ! Il faut dire que les Cons ont considérablement envahi la France, ces dernières années. Étant donné que Jean Canal ne les fréquente pas, il est donc immunisé contre un fléau qui gagne même les campagnes... Enregistrement d'un des nombreux débats qui se tiennent en des écrins champêtres, au bord d'une Garonne apaisée. Les reporters journaliste débattent sur les appréhensions des conflits, à titre d'envoyés spéciaux sur les terrains. Jean Canal. Menons la bataille des médias !
Nous sommes militants, journalistes, universitaires, usagers des médias et nous sommes réunis en association : depuis 1996, Acrimed documente le fonctionnement des médias, critique leurs productions éditoriales et porte des propositions pour les transformer. Les deux campagnes électorales auxquelles nous venons d’assister montrent que ces combats sont toujours d’actualité. Mieux : qu’ils sont plus que jamais d’actualité. Pour nous aider à les poursuivre et à les amplifier, nous faisons appel à vous. Quiconque a suivi les récentes campagnes de légitimation de l’extrême droite et de diabolisation de la gauche ne peut que constater le pouvoir de nuisance qu’exercent les médias dominants dans le débat public. Désinformation, confusionnisme, invectives et calomnies sont trop souvent devenus le lot du « commentaire d’actualité ». Alors bien sûr, l’éditorialisation à sens unique n’est pas un phénomène nouveau, pas plus que ne le sont les atteintes multiformes au pluralisme et le mépris de la déontologie journalistique la plus élémentaire. Les cabales médiatiques contre la gauche ne datent pas d’hier. Toutefois, leur violence et leur effet « de masse » – façon rouleau compresseur – se sont très nettement exacerbés autour de la question palestinienne et au gré des deux dernières séquences électorales. À cet égard, si le pire a été évité, nous demeurons aujourd’hui au bord du gouffre, et les médias dominants risquent de nous y précipiter. Le moment appelle donc à un dépassement de nos activités : il y a urgence à établir un front commun pour la réappropriation démocratique des médias, dans lequel Acrimed doit jouer son rôle. Concentration et financiarisation des médias ; consolidation du pôle réactionnaire dans le champ journalistique ; hégémonie du modèle low-cost de « l’information en continu » ; indépendance des rédactions ; pratiques professionnelles et formation des journalistes ; emprise des sondages (et des instituts qui en font commerce) ; service public de l’information et de la culture ; soutien des médias indépendants… les questions à agiter sont nombreuses. Et toutes les forces de gauche – politique, syndicale, associative, médiatique – engagées dans des luttes d’émancipation doivent impérativement les mettre à l’agenda le plus tôt possible. Des perspectives se dessinent d’ores et déjà. Pour nous aider à pousser dans ce sens et à prendre toute notre part dans cette bataille, soutenez-nous ! Info Acrimed. 12 juillet 2024.
9 années fructueuses en informations croisées qui enrichissent le Monde de la Presse. Chaque année les fréquentations de cette manifestation journalistique organisée sous les auspices de la festivité augmentent et apportent une bouffée de liberté d'expression à entretenir. De plus en plus convoité par des intervenants appartenant à des milieux artistiques, culturels et notamment intellectuels, le "Festival international de Journalisme" réduit les distances entre les différents groupes de la presse médiatique du lectorat français. une solidarité d'ensemble est-elle envisagée sur le long terme, afin de sauvegarder le liberté d'expression qui connaît une régression institutionnelle aggravée par les grands capitaux de la finances. Jean Canal. Juin 2024.
Le journalisme détient-il le monopole de l'information ! La question se pose dans un contexte où les Réseaux sociaux s'accaparent la toile pour y tisser une autre vérité qui se vérifie aisément et ne s'embarrasse point de faux principes. C'est sur ce point d'achoppement que les Officiels tentent vainement de replacer leurs pions, en adoubant les dissidents de la presse qui, de tout temps, constituèrent un contre-pouvoir. Malgré l'accaparement de l'information par des grands ducs de la finance, une résistance s'établit d'elle-même, dès l'instant que la liberté d'expression est menacée, quelquefois par les journalistes eux-mêmes... presselibre.fr tend à suivre sa ligne éditoriale, si tant est que ce petit média, qui pourtant effraie les Grands, ainsi que la Gendarmerie et la Police qui rendront des comptes à la justice, le moment venu (laissons pourrir la situation, Jean Canal en sortira lavé de leurs opprobres) L'inquiétude grandissante prend les Fonctionnaires en flagrant délits de détournement déontologique avec l'assentiment des élus et une importante frange de la population ! Ancien de la Dépêche qui le remercia de sa collaboration avec empressement, Jean Canal ne laissera jamais les exactions policières et de gendarmerie passées à la trappe de l'oubli ! Nos ennemis intellectuels sont tout nommés et ils savent à quoi s'en tenir sur les fréquents retour de bâton que Jean Canal lui-même, assène avec ironie. En directe Couthures-sur-Garonne au Festival international de Journalisme. Mis à jour le 14 juillet 2024. Nous existons depuis mars 2007...
PROMENADE EN CAMPAGNE ELECTORALE. LEGISLATIVE ARIEGE. Résultats en Ariège, seconde Circonscription. M. Laurent PANIFOUS, Union de la gauche, Élu avec 57,07% ; soit 23 608 votes. Mme Michèle ALOZY du Rassemblement National obtient 42,93%, soit 17 760 votes. Votes NULS : 779 votes. Votes BLANC : 1 465 votes. Inscrits 62 062. Exprimés 41 368 votes. Abstention 18 450 votes. Participation : 43 612 votes. Donc, 18 450 + 779 + 1465 soit plus de 20 694 ariégeois n'entre pas dans le cadre d'un des deux candidats. Sans omettre tous ces Ariégeois qui ne se sont pas manifestés pour ces Législatives ; cela pourrait avoisiner les 25 000 personnes. Sources Ministère de l'Intérieur. Résultats à titre d'exemple de la législative du 2° tour, à Mirepoix, Bourg de l'Ariège, 2° Circonscription, (code postal 09500, administré par Xavier Caux, Maire) : Inscrits, 2596. Abstentions, 800. Votants, 1796. Blancs, 55. Nuls, 38. Laurent Panifous Union de Gauche : 988 voix. Michèle Alozy RN 715 voix. Analyse démographique : 55+38+800 incarnent le mécontentement de 893 voix qui créent le déséquilibre au sein de la Gauche ariégeoise, sans tenir compte des Ariégeois qui n'apparaissent pas sur les listes, mais existent... Mirepoix n'est donc pas à la tendance gauchiste ou/et socialiste ! Sources Ministère de l'Intérieur. Mise à jour le 8 juillet 24.
RAPPEL DES RESULTATS électoraux en Occitanie...Ariège : 32,52 (les Socialistes votent aussi RN). AUDE : 40,57 (département entièrement RN). Haute-Garonne : 25,48 (Les socialistes accusent une défaite). Pyrénées Orientales : 43,38 (on s'y attendait). Tarn : 33,88 (étonnement). Hérault : 34,98 (aucune surprise). LOT : 26,66. Tarn et Garonne : 38,81. Gard : 40,42. Lozère : 31,93. Gers : 31,63. Hautes-Pyrénées : 32. Aveyron : 38,17. (les départements perdus).
LA JUSTICE DANS L'EXPECTATIVE DE BENEFICIER DES FONDS DU TRAFIC DE DROGUE Audrey Bailleul est la Magistrate désignée pour mener à terme cette mesure de justice qui consiste à saisir l'argent des trafics de drogue. Les émoluments se chiffrent à plusieurs millions d'euros, avoisinant le Milliard ! Les sommes récupérées feront l'objet d'une répartition au sein de l'appareil de Justice afin d'une utilisation entrant dans le cadre des frais occasionnés par le coût de revient du système judiciaire. Lire l'article du Monde. 11 avril 2024.
"La Guerre se terminera à Paris." C'est le propos d'un moscovite qui répond à un journaliste de LCI. On pourrait croire que de tels propos appartiennent à de fervents nationalistes russes, prompts à se sacrifier pour l'honneur de leur patrie, en guerre. C'est l'esprit russe qui tend à cultiver ce genre de pensée, entretenue de sorte à préserver la Russie d'actions militaires imputées à l'OTAN tapis sur ses territoires. C'est sans doute de ces individus qu'il faut se méfier. Leur intention est déterminante et le sacrifice un honneur ! La France ne possède plus d'armée capable de faire front à une nouvelle guerre. Certes elle bénéficie d'Alliés ; mais ces derniers engageraient-ils leur force, tout en connaissant les risques de perdre énormément de populations ; car Poutine, Lui, est déterminé à vaincre tous les ennemis potentiels de la grande Russie. Pour les amoureuses de chefs D'œuvre du cinéma soviétique, regardez, mes Belles Amours, "Derzu Uzala" et les films de Tarkosky, notamment (c'est la Belle Marianne, avec laquelle j'aurais dû vivre... -et je la regrette- qui m'initia à ce genre de cinéma) : Andrei Rublev . 14 mai 2024.
Après lecture faite, l'intuition de notre suspicion à l'encontre des traitres notoires, est enfin révélée par un officiel de la presse libre et indépendante : c'est ici. Bonne lecture, Citoyen ! L'évidence se définit d'elle-même, lorsque la lecture d'un article quelconque d'ailleurs apparaît suspicieuse dans le ton pris pour traiter un sujet d'actualité. Il y a toujours un coupable, un bouc émissaire qui traîne entre les lignes, dont la présence se décèle à une première lecture en filigrane. Ledit n'est pas nommé, mais sous entendu. On le décrit au plus proche des limites de la diffamation qui doit rester à l'écart de la méthode : on reste cependant courtois... Le vocabulaire des poubelles publiques est à proscrire. Il faut châtier la langue, sans en déflorer sa vertu... Sa pureté doit apparaître telle qu'elle fut conçue. Il appartient alors à l'accusateur public d'en extraire toutes les anomalies dissimulées dans le mensonge d'état véhiculé à des fins destructrices dont les causes donneront raison aux conséquences des attaques en règle et surtout formulées en bonne et due forme. Le journalisme d'investigation doit partir sur des bases impersonnelles, appartenant au domaine public, ayant spolié son patrimoine, fiduciaire soit-il. A partir des éléments réunis dans ce principe, le journaliste peut s'engager sur la voie de la raison ! Fabrice Arfi est un spécialiste en la matière : il attaque sans violence, uniquement en employant savamment les armes de l'adversaire qui ne manque jamais de se tirer une balle dans le pied... L'affaire Cahuzac fut un premier beau scandale révélé de la presse d'investigation ! Les Fonctionnaires de l'état sont doublement condamnables quand ils s'écartent de la déontologie ; et c'est fréquent ! Un exercice qui les exonère des obligations professionnelles que la justice exige de leur profession : carriéristes, arrivistes et opportunistes, ces gens-là sont doublement condamnables, lorsqu'ils s'écartent intentionnellement de leur devoir ! Jean Canal. Revue et corrigé en Avril 2024.
Article XI « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. » La France devenant, à nouveau, le premier état européen, devant la Suisse, de la délation populaire ! Cet article issu des Droits de l’Homme de 1789, vous garantit la liberté de laisser un con pour ce qu’il est, quel qu’en soit son identité ! Rien ni personne ne peut donc vous interdire de déblatérer des inepties aux individus que votre jugement impartial considère comme étant par nature cons et/ou connes ; lesquels formuleraient, insidieusement, des intentions malveillantes à votre encontre. Une méthode qui repose sur une investigation dans votre vie strictement privée, lors d’une rencontre, non pas fortuite, mais mûrement réfléchie par une espèce d’autorité institutionnelle que l’Uniformité du genre orchestre, avec médiocrité ! Votre tranquillité ayant été perturbée pour des raisons peu louables par cette espèce humaine déclassifiée dans la hiérarchie sociale et/ou professionnelle, votre devoir de liberté d’opinion impose une réplique sous les formes de justice rendue moyennant des représailles à l’encontre de ceux et celles qui osent violer votre tranquillité. En s’enquérant de vos activités personnelles, ces individus ont suscité une curiosité malsaine dans le but ultime d’en détourner les raisons au profit de l’Autorité déchue, en ces circonstances, de son pouvoir devenu illégitime. La justice défend et protège votre vie privée. Larticle de Marianne, rubrique politique, nous exlique les raisons qui amènent a changer d'idées : <Violette Spillebout, la rapporteure de la loi sur la sécurité des élus locaux revient sur l’amendement qui porte sur l’allongement du délai de prescription en matière de diffamation envers les élus et dont elle demande finalement la suppression. Elle assure que le texte était destiné à protéger les élus locaux, constamment injuriés sur Internet, et non pas à restreindre la liberté de la presse.>
La leçon de journalisme admet une connaissance des situations géopolitiques à traiter, de façon à ne pas, en effet, pencher du côté du plus fort ! L'Ojim nous invite à y souscrire notamment pour des médias qui dérivent vers la facilité d'une presse manichéenne, exhaustive dans un genre populiste voire populaire (quoique le populisme en France eut ses heures de gloire avant 1936 et après 1945). Et pourtant ce Monde Diplo cité par le Directeur de l'OJIM, Claude Chollet, ose publier un article qui apporte, effectivement, une réponse aux questions que ne veulent pas ou plus se poser les journalistes d'investigation, lesquels malgré qu'ils en aient, se situent toujours dans une position ambiguë insoluble pour des déductions non partisanes ! Non pas qu'il cultivât l'incertitude de leur travaux journalistiques, mais le constat des faits est désolent au regard des contextes qui émaillent les terrains de conflits et guerres, abandonnés par la conscience générale ! Et pourtant, Le Monde Diplomatique que Jean Canal depuis juin 1984 et auquel il fut et est aujourd'hui abonné, fut le seul Mensuel à n'avoir reconnu, par sa plume, avant l'arrivée de Ignacio Ramonet qui n'avait pas sa langue dans la poche gauche de son éditorial, qu'il n'y avait pas de Charnier attribué aux tueries de Ceausescu, lors du renversement de pouvoir en 1989, en Roumanie ! La presse générale étant sur place avait soutenu que Oui ! Son erreur d'analyse traduisit le côté politique duquel elle penchait le plus... Jean Canal. 8 novembre 2023.
Attention ! Ne vous m'éprennez pas sur la pensée rousseauiste prise dans l'ensemble de son œuvre qui repose, effectivement, sur ses "rêveries d'un promeneur solitaire". L'écart avec le monde profane, qu'il se fût enrichi par un savoir maladroitement exploité ou/et un enseignement dilapidé au profit des plaisirs artificiels, cet écart ne se prive pas de la société dans laquelle il se reproduit. Tout au contraire, sans sa présence la distance avec elle ne se peut réaliser et sa remise en question permanente être effectuée au profit de tous. A partir d'un élément qui la composent, la masse (terme péjoratif) agira selon des préceptes formés sur les modèles les mieux adaptés à la Communauté humaine. L'individu obéit à une logique d'apparence qui protège son identité. Reproduit en nombre cela devient un phénomène admis dans la norme et adopté pour l'ensemble des composantes du système dans lequel l'individu évolue relativement aux attentes de l'organe directeur... Ainsi, il n'existe plus de distinction entre les uns et les autres, si ce n'est celle fondée sur le paraître, non pas sur le modèle des années soixante/soixante-dix (Guy Debord : "La société du spectacle" a mal vécue) mais un inattendue raisonnement intellectuel enrichi de données d'actualités courantes qui fond l'individu nouveau ; comme le vin éponyme à sa nomination publique en automne. En étant plus sérieux, la passivité qui s'exerce au quotidien répond correctement aux injonctions du pouvoir qui est désormais centralisé dans le conditionnement des spécimens pensant ; hélas, tout le monde n'est pas élu. Malgré les apparences évidentes pour cette minorité, paradoxalement non dirigeante, les faveurs du système lui reviendront pour des raisons inhérentes aux conjonctures. Revu corrige et augmenté mars 2024. Jean Canal.
Jusqu'où peut aller la critique ? La question est tacitement reconduite dans les débats médiatisés et dont la thématique tourne toujours autour du problème de fond des protagonistes qui la créent, intentionnellement. Il y'a avantage à cultiver le quiproquo qui s'insinue dans un contexte, une situation, voire un débat d'idées. A qui profite le crime ? A ceux qui ont énormément de reproches à subir de la part de la vox populiste ; la collaboration en France à mis à jour son dossier : les noms des traitres est donc public. À Saint-Girons, en Ariège, le Maire (1939-1944) de l'époque se nommait Achille Loubet : dans cette information toute la vérité vient d'être dite par un simple renseignement historique, légal. De même à Tarascon sur Ariège un marchand de spiritueux fit sa fortune grâce à la collaboration. À Ax les Termes, un restaurateur s'est gavé en faisant fusiller des Résistants ! Pamiers, ville la plus peuplée à l'époque exécuta le plus de collabos. Quant à Foix, elle fut le lieu de la torture. La délation n'a rien perdu de ses effets et elle existe toujours en Ariège ! Chacun l'exploitera à l'escient des intentions qu'il y recherche... 14 février 2024.
La Revue Esprit invite la Rédaction de presselibre.fr à assister au débat. Dans un tel contexte, seul le soliloque convient pour défendre cette idée qui nourrit la raison de la vérité. Paul Louis Courier, notamment sous Louis Philippe, effectua, en effet, quelques séjours en prison à cause d'une verve acrimonieuse, mise au service de cette Vérité, tellement redJquelqu'un, ce dernier obtient de droit le choix des armes ; pour l'instant la Plume suffit amplement à régler les contentieux. La rumeur appartient aux pleutres et aux traitres ! 13 février 2024.
DÉNI de LA DÉMOCRATIE. L'article pertinent de Marianne L'article pertinent de Marianne au sein nu : "Marianne, montre-moi ce nichon que je veux revoir." Ensuite et pour en finir une bonne fois pour toute : c'est l'occasion inattendue de saisir ce contexte pour renverser le Régime politique actuel d'une présidence vacillante. 31/01/2024.
Le fait est avéré. Aujourd'hui même, les faits se produisent à contre courant de l'institution qui représente, paradoxalement, la souveraineté du peuple français dont la légitimité est remise, derechef, en question, au profit de la dictature de la pensée. Voltaire vient de mourir une énième fois ! 7 Députés et 7 Sénateurs se concertent actuellement sur la loi immigration de laquelle doit ressortir un compromis commun. Dépendra de ce consensus, la stabilité sociale des villes, au demeurant de la politique à la prochaine présidentielle qui risque de surprendre. Nonobstant cette instance tenue urgemment dans le cadre de la politique institutionnelle que la Constitution exige dans pareille situation, la République est mise en position de gravité euclidienne par une manifestation de rue, ce mardi 19 décembre, contre l'idée d'appliquer les recours permis par la Démocratie française jusqu'en ses moindres possibilités politiques. Ce 19 décembre, le quotidien Le Monde fournit des explications suffisamment exhaustives pour que le simple idiot du village en comprenne le fond. 19/12/23.
700 morts en Palestine sur le sol de Gaza, en 24 heures. Le théâtre de ces opérations préfigure la fin définitive de la stabilité au Proche Orient : l'Europe doit s'attendre à des opérations de représailles contre les états cultivant des affinités avec Israël ! La France demeure l'état le plus en danger, au regard de la population d'immigrés excédentaire par rapport à ses capacités à gérer la sécurité du territoire ! Est-ce à conclure que ces derniers représentent un danger pour la population française ? Oui ! en grande partie des individus illégaux, rattachés à des groupes islamistes. 4/12/2023.
DERNIERES NOUVELLES DE ACRIMED
Chères lectrices, chers lecteurs,
Alors que les « États généraux de l’information » sont lancés, et que des « États généraux de de la presse indépendante » sont en préparation, nous remettons en avant 8 propositions pour transformer les médias, formulées début octobre et dans le Médiacritiques n°48 :
1/ Lutter contre la concentration et la financiarisation des médias, en interdisant aux groupes dépendant des commandes publiques de posséder un média et en interdisant à une personne de posséder plus d’un média ;
2/ Soutenir les médias indépendants et à but non lucratif, en leur réservant les aides publiques à la presse ;
3/ Renforcer l’audiovisuel public, en le libérant des contraintes commerciales et de sa tutelle politique, en lui garantissant un financement pérenne, en déprivatisant TF1 ;
4/ Protéger l’indépendance des rédactions, en créant un statut juridique des rédactions qui donnerait aux journalistes un pouvoir sur le choix du directeur de la rédaction ;
5/ Garantir le droit d’informer, en empêchant les procès-bâillon et les entraves policières ;
6/ Mettre en place des instances de régulation démocratiques, avec de vrais pouvoirs ;
7/ Assurer un pluralisme effectif de l’information ;
8/ Développer une éducation critique aux médias.
Pour aller plus loin : « Transformer les médias : nos propositions »
Vous trouverez ci-dessous un bref récapitulatif des dernières publications sur le site d’Acrimed. Et comme toujours : en accès libre et gratuit. N’hésitez pas à partager ce courriel. Bonne lecture !
Archives presselibre.info : le second site de presselibre.fr, ayant suppléé durant des années, ce dernier. Il n'est plus en ligne pour des raisons évidentes.
Si des critiques devaient être adressées aux médias en ligne, plus que la presse écrite, ce serait le délayage de l'information dans l'actualité focalisée sur la Guerre israélo-palestinienne. Nonobstant ce constat, ce serait malhonnête de la part de notre Rédaction (ayant le mérite de toujours existée, après 16 ans de présence en ligne sur la toile) qui relaie en grande partie les publications de ceux-ci, suscités, en y ajoutant une critique n'engageant strictement que notre responsabilité. Il est, effectivement, difficile de ne pas expliquer ce qui vient de l'être ! 29/10/2023.
Jean Claude Michéa n'est pas passé inaperçu sur France culture ce jeudi 6 octobre. les critiques fusent encore dans nos oreilles de cette radio restant néanmoins exceptionnelle, par la qualité de ces émissions, rivalisant au fil des années entre elles. "L'esprit d'ouverture" est donc réussi, depuis que la radio n'a eu cesse d'innover. Et ceux sont bel et bien les invités qui l'enrichissent ! Michéa vieilli, certes, mais son analyse reste correcte ; elle appartient aux gens d'expérience qui se sont penchés sur les problèmes des sociétés, sans véritablement les changer. Ce n'est pas leur rôle. Penser l'existence sociétale fut rarement une démarche politique. 07/10/2023.
Hors Médias cultivant la neutralité circonstancielle de conjonctures compliquées, l’information se formalise de plus en plus vers une transparence, sous couverts d’être exclue de la grande famille des médias officialisés pour des circonstances socio politiques, clos dans des intérêts purement économiques, s’entend (nous ne révélons rien de bien exceptionnel, ce fait est connu de tous, y compris les acteurs de la presse). Ceux-ci, nonobstant, s’orientent vers une vérité toute relative, sans en encombrer le récit entretenu pour la forme, de détournements factieux qui terniraient la rhétorique que l’art de présenter l’actualité incombe aux plus éminents appareils médiatiques, obligés d’afficher une présentation bon chic – mauvais genre ! Pourtant d’aucuns, ancrés dans une espèce de récurrence professionnelle exonérée de suspicion, parviennent à instiller non plus de la désinformation, trop perceptible avec les réseaux sociaux qui leur pourrissent l’existence, mais une empathie pour des événements dont l’actualité nous a tellement habitués, que les faits les plus marquants d’un point de vue sensibilité, se logent dans notre mémoire de façon à les archiver, sitôt en avoir pris connaissance. Et l’on aura remarqué, pour les mieux dotés d’un cerveau qui fonctionne correctement, que les effets d’annonces des faits ponctuant le quotidien, le plus souvent arrachés au social, sont énoncés les uns après les autres, sans ménager les sujets traités ; fussent-ils empreints d’une gravité sentencieuse ou/et d’un événement heureux, à défaut présenté comme tel ! 1er octobre 23.
ABAYA : Gilles Kepel glose sur ses origines et ses intentions en France La juridiction a définitivement statué sur l'interdiction vestimentaire à caractère idéologique, incarnant tacitement une religion hostile aux démocraties occidentales. Remplacer les Libertés de la République par une dictature de l'esprit n'est pas du goût de la France -il fallait le comprendre avant d'essuyer un échec stratégique humiliant ! Lire l'article d'Olivia Dufour.
C'est une thématique qui se décline à tous les temps que la société vit désormais au quotidien. Ce n'est pourtant pas une religion qui pose problème, mais l'usage que d'aucuns en font à des fins non spirituelle, plutôt politique. La presse éprouve des difficultés à traiter ce sujet, craignant de froisser des susceptibilités qui réagiraient violemment aux publications concernant leur entité ! Charlie Hebdo restera dans le mémoire. Le problème demeure : peut-on parler, écrire plutôt sur une religion intouchable ? C'est toute une philosophie à débattre. Gilles Kepel, éminant islamologue de la sociologie et maître de conférence au Collège de France, bénéficie de protection parce qu'il a voulu s'immiscer dans l'islam en glosant intellectuellement sur son fondement. C'est une privation de liberté d'expression qui instaure une dictature de la pensée et organise des sociétés européennes sur le modèle inexistant ailleurs, dans le monde arabe, empreint d'occidentalisation. 11/09/2023.
Extrait de l'entretien que la Ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, a accordé au JDD. "La loi protège les journalistes en leur permettant de refuser toute pression ou de signer un article qui aurait été modifié contre leur volonté. Si ce cadre s’avérait encore inadapté ou imprécis, nous travaillerions à son évolution en lien avec les parlementaires. Le président de la République a annoncé des états généraux de l’information menés par un comité de pilotage indépendant à partir de septembre. Ce sera un cadre très important pour associer largement les citoyens, les associations à une réflexion sur notre accès à l’information, notre droit à être informé par une information fiable, pluraliste, indépendante. C’est crucial pour l’avenir de notre démocratie." août 2023.
Voici comment Wikipédia présente le nouveau patron du JDD, journal qui a trouvé un dénouement au conflit qui opposé Geoffroy Lejeune, à ses employés, inquiets sur la manière dont l'actualité sera traitée. "Geoffroy Lejeune né le à Avignon, est un journaliste français d'extrême droite. Entre 2016 et 2023, il est le directeur de la rédaction du magazine Valeurs actuelles. Il prend ensuite la tête de la rédaction du Journal du dimanche." En quoi un journal peut-il avoir une incidence sur l'actualité, dans un monde où foisonne une presse internationale, émaillée de médias opposés dans l'idéologie politique actuelle ! La pression qui est exercée par l'ensemble des médias, médiateurs de l'actualité populaire... agit sur une frange de la population encline à suivre certaines idéologies en vogue qui n'aboutissent qu'à du néant ; jusqu'à ce que la politique s'en approprie la publication, en l'occurrence ! Nous patienterons donc, attendant patiemment que ce journal, malade de ses idées, publie le nombre de vente... Ensuite, nous écrirons en conséquence ! 5 août 2023.
Emmanuel Derieux Professeur à l’université Paris 2 (Panthéon-Assas) Auteur de Droit des médias – 8e édition – LGDJ 2018 "Les instances européennes réprouvent la multiplication des procédures judiciaires, notamment pour diffamation, engagées, à des fins d’intimidation, à l’encontre des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, par ceux que, dans l’intérêt public, ils ont mis en cause en raison de comportements considérés comme fautifs et contraires à l’intérêt général."
Le 3 mai comme un coup d'éclat en une période où la liberté de la presse est remise en cause par des manifestants qui ne supportaient pas la présence de nos confrères suisses durant les mouvements sociaux en France ! Une attaque en règle selon des méthodes violentes appliquées pour des raisons d'identité...politiques ! Doit-on interdire les presses pour leur activités politiques ? On l'a vu en France quand l'extrême Gauche chasse les médias d'extrême Droite ! Au cours des manifestations, les reportages diffèrent selon l'appartenance idéologique. Et pourtant, cette liberté devrait être acceptée par tous, sans distinction d'obédience ! Ce n'est toujours pas le cas, comme on peut sciemment le constater dans les manifestations où la violence gratuite s'exerce selon la couleur des idées. 3 mai 2023.
Ce 12 mai 2023. Le pays des intellectuels, dénommé ainsi d'après un historique qui prend forme dès la reconnaissance de Montaigne, comme étant le premier du genre, ce pays-ci qui n'est autre que la France (et que cette induction n'en déplaise à d'aucuns issus de l'étranger, ils se doivent de reconnaître que la manne littéraire étrangère est une somme de travaux importante qui honore la France, au demeurant la langue française qui se porte à merveille), admet tous les genres que la pensée eût pu fomenter dans son esprit. Leur publication chez les plus majestueuses Maisons d’Édition, est un aveu de faiblesse démocratique pour des pays qui avec sévérité, censurent au moindre iota, égratignant de fait le pouvoir politique, appliquant des mesures préventives, favorables aux dictatures de la pensée ! Lire la suite : Le pays des Intellectuels
Déboires sexuels de la direction de ScPo
L’école bénéficie bien sûr de l’aura de la prestigieuse institution à laquelle elle est intégrée, même si l’image de la « rue Saint Guillaume » a été quelque peu ternie par les déboires de deux de ses grandes figures, le toxicomane amateur d’escort boys Richard Descoings, ancien directeur, et la grande conscience de gauche accusée de pédophilie incestueuse Olivier Duhamel, éminent professeur de l’établissement et président de la Fondation nationale des Sciences Politiques.
LA LETTRE DE L'OJIM QUI MIGRE SON SITE AUX ETATS UNIS.
Chers lecteurs et donateurs, vous avez constaté que votre site était inaccessible pendant près de 36 heures. Cette situation n’était pas due à une quelconque attaque digitale mais à un changement de registrar, de serveur, et d’hébergeur.
En effet, pas plus tard qu’en décembre 2020, notre hébergeur français OVH a subi des pressions pour fermer notre site suite à une action du lobby LGBTQIA(?)+ de Radio France.
Nous avons donc suivi les recommandations de notre conseil juridique : sortir du carcan des lois liberticides de la France et de l’Union Européenne. Nous avions deux choix : les États-Unis ou la Russie. Un choix paradoxal, la France pays de la liberté en face de deux empires. Pour des raisons de facilité de langue nous avons choisi – la mort dans l’âme – de nous faire héberger aux États-Unis, plus protecteurs. Nous avons également choisi de protéger là-bas nos noms de domaine. Le temps que les nouveaux DNS se propagent… cela a entraîné une mise hors service d’un peu plus de 36 heures dont nous vous prions de nous excuser.
Un hébergeur tout neuf, de nombreux projets, le recrutement d’un stagiaire, la lutte contre les multiples censures des GAFAM, les portraits mis à jour, de nouvelles infographies, le travail ne manque pas. Nous y sommes prêts, avec vous et avec votre aide. Claude Chollet Président
PS : La deuxième audience (première plaidoirie) du procès que nous fait Ramzi Khiroun, ancien chauffeur et garde du corps de DSK se tiendra le 1er avril, nous plaiderons une faute de procédure. Nous vous tiendrons bien entendu informés.
FRANCE CULTURE MET UN POINT D'HONNEUR SUR LE JOURNALISME
"Qu'est-ce que la vigilance ?" Rencontre à l'émission Répliques, ce samedi 11 mars entre Alain Finkielkraut et Edwy Plenel. L'Appel à la vigilance, Face à l'extrême droite (éd. la Découverte) est le dernier essai de Plenel, Patron de Médiapart. Ce qu'il fallait retenir de cet entretien que seule la Liberté d'expression rapproche, sans pour cela les unir dans un même combat démocratique, furent les positions idéologiques des deux hommes. Un débat à bâton rompu serait la conclusion sur cette rencontre, où les thématiques personnelles revinrent animer cette houleuse discussion. La définition de la démocratie n'est pas la même pour tous ! La laïcité ne trouve plus sa raison d'être et permet parfois de libérer les interdits ! A réécouter en podcast sur France Culture. 12 Mars 2023.
L'Ojim revient sur l'affaire scandaleuse du Canard enchaîné ! Un cas inconnu jusqu'alors dans le milieu du journalisme ; ce principe s'applique plutôt à la politique : François Fillon en fit les frais, en ayant créé un emploi fictif pour son épouse. Les scandales politicofinanciers font partie de la mentalité politique française. Néanmoins, c'est dans la durée que l'escroquerie prend toute son ampleur ! Pensée un instant qu'un emploi fut créé durant des décennies, sans ne jamais avoir trace de travail effectif de la personne qui n'est autre que l'épouse d'un Tiers ! Alors là, on assite à une baise de grande envergure pour ceux qui se disaient les défenseurs de la pensée propre ! Le mot vérité fut galvaudé, sans vergogne... Il est donc du devoir de chacun, versé dans cette profession, d'en faire usage de façon récurrente de sorte à enfoncer la plume là où ça fait mal ! (Albert Londres). Le lien de l'article. 14 mars 2023.
Chaque média propre à une spécificité politique, exploite l'actualité avec une vérité quelquefois révélée en filigrane. Médiapart aboutit toujours à ses investigations, de façon à débouter les contrevenants à la loi, dans leur éventuelle prérogative exercée, en dépit d'une innocence éventuelle. On se souvient de la déclaration d'un Tiers : "je n'ai pas de compte en Suisse." Avec le Point, l'actualité se commente sur le ton de la nouvelle, argumentée avec force conviction, laissant place à des références historiques qui attestent de l'actualité qui se déroule à notre insu. La presse française se porte a merveille. La Rédaction. 5/2/2023.
Le droit de l’Union européenne contre les « procédures bâillons »
Les instances européennes réprouvent la multiplication des procédures judiciaires, notamment pour diffamation, engagées, à des fins d’intimidation, à l’encontre des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, par ceux que, dans l’intérêt public, ils ont mis en cause en raison de comportements considérés comme fautifs et contraires à l’intérêt général.
Pour contribuer à y remédier, elles incitent les États membres de l’UE à adopter diverses mesures offrant notamment, aux défendeurs, des garanties procédurales et des voies de recours comportant, à leur profit, droit à réparation. L’éclairage d’Emmanuel Derieux, professeur à l’Université Panthéon-Assas (Paris 2) et auteur de Droit des médias. Droit français, européen et international.
Adobe/Richard Villalon
Constatant, avec préoccupation et désapprobation, la multiplication des « procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public », appelées aussi « poursuites stratégiques altérant le débat public » (en anglais : Strategic Lawsuits Against Public Participation-SLAPP) ou « poursuites bâillons », portant, par la voie de la menace et de l’intimidation, atteinte à la liberté d’expression et de dénonciation, notamment des journalistes, des lanceurs d’alerte et des défenseurs des droits, et ainsi au droit du public à l’information, les instances de l’Union européenne (UE) ont récemment et simultanément adopté deux textes par lesquels elles tentent d’y faire obstacle : une « Recommandation (UE) 2022/752 de la Commission, du 27 avril 2022, sur la protection des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme qui participent au débat public contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives » (« poursuites stratégiques altérant le débat public »), relative aux litiges de nature interne à un des États membres, et une « Proposition de directive sur la protection des personnes qui participent au débat public contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives (« poursuites stratégiques altérant le débat public »), visant les affaires ayant des implications transfrontières entre plusieurs États membres.
Il convient de considérer les motifs de l’intervention des instances européennes et les modalités de réglementation envisagées.
Motifs d’intervention
L’exposé des motifs d’intervention des instances européennes se retrouve tant dans la Recommandation de la Commission, que dans la Proposition de directive.
Recommandation de la Commission
Par les « considérants » de la Recommandation, il est rappelé que l’Union européenne « est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’état de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme ».
Mention y est faite de ce que les textes fondateurs de l’Union disposent que « tout citoyen […] a le droit de participer à la vie démocratique » et consacrent notamment « la liberté d’expression et d’information, qui comprend le respect de la liberté des médias et de leur pluralisme ».
Précision y est apportée que « ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières ».
Se référant à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), il est ajouté que « la liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique, et qu’elle vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent ».
Il est considéré qu’« il est important de protéger, les journalistes et les défenseurs des droits de l’homme, de procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public », dont « le principal objectif » est « d’empêcher, de limiter ou de pénaliser » ledit débat, du fait du « caractère disproportionné, excessif ou déraisonnable de la demande […] de l’existence de plusieurs procédures engagées par le requérant concernant des questions similaires, ou de l’intimidation, du harcèlement ou des menaces de la part du requérant », constituant « un recours abusif aux procédures judiciaires ».
Il est estimé qu’il est nécessaire « de fournir une protection cohérente et efficace contre les procédures judiciaires manifestement infondées altérant le débat public ».
En conséquence, ladite « recommandation définit des orientations à l’intention des États membres pour qu’ils prennent des mesures efficaces appropriées et proportionnées afin de lutter contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public et de protéger les journalistes et les défenseurs des droits de l’homme contre ces procédures, dans le plein respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux ».
Proposition de directive
Dans son « exposé des motifs », la proposition de directive mentionne également : que « les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public (communément appelées aussi ‘poursuites stratégiques altérant le débat public’ ou ‘poursuites bâillons’) sont un phénomène récent mais de plus en plus répandu dans l’Union européenne » ; qu’elles constituent « une forme particulièrement néfaste de harcèlement et d’intimidation utilisée contre les personnes qui œuvrent en faveur de la protection de l’intérêt public » ; et que leur « but est d’obtenir un effet paralysant, de réduire les défendeurs au silence et de les dissuader de poursuivre leur travail ».
À l’encontre de ces pratiques, il est posé que, « dans une démocratie saine et prospère, les citoyens doivent pouvoir participer activement au débat public » et « accéder à des informations fiables ».
Il est considéré que « les poursuites-bâillons constituent un abus de procédures judiciaires ».
Il est indiqué que la proposition de directive « vise à protéger les cibles des poursuites-bâillons et à empêcher que le phénomène ne s’étende davantage dans l’Union ».
Modalités de réglementation
Les interventions des instances de l’Union européenne en la matière prennent la forme d’une Recommandation de la Commission et d’une proposition de directive.
Recommandation de la Commission
La Recommandation de la Commission dispose notamment que « les États membres devraient veiller à ce que leurs cadres juridiques applicables prévoient les garanties nécessaires pour lutter contre les procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives altérant le débat public, dans le plein respect des valeurs démocratiques et des droits fondamentaux, notamment le droit à accéder à un tribunal impartial et le droit à la liberté d’expression ».
Elle pose que les États membres devraient assurer « l’existence de garanties procédurales permettant d’accorder un rejet anticipé des procédures judiciaires manifestement infondées altérant le débat public », et « s’efforcer de prévoir d’autres mesures », telles que « la condamnation aux dépens, afin qu’un requérant […] puisse être condamné à supporter tous les coûts de la procédure, l’indemnisation de toute personne […] ayant subi un préjudice », ainsi que « la possibilité d’infliger des sanctions effectives, proportionnées et dissuasives à la partie ayant engagé » la procédure.
Elle ajoute que « les États membres devraient également veiller à ce que les sanctions contre la diffamation ne soient pas excessives et disproportionnées », et que, sous l’influence du droit du Conseil de l’Europe, ils « sont encouragés à supprimer de leur cadre juridique les peines d’emprisonnement pour diffamation ».
Proposition de directive
Visant à instaurer des « règles communes concernant les garanties procédurales », la proposition de directive prévoit notamment que « les États membres veillent à ce que, lorsqu’une procédure judiciaire est engagée contre des personnes physiques ou morales en raison de leur participation au débat public, ces personnes puissent : demander », outre des garanties financières, « un rejet rapide des procédures judiciaires manifestement infondées » ; et formuler « des recours contre les procédures judiciaires abusives ».
Elle pose que « les États membres prennent les mesures nécessaires pour qu’un requérant qui a en engagé une procédure judiciaire abusive altérant le débat public puisse être condamné à supporter tous les frais de procédure », et, au titre de la « réparation des dommages », pour « qu’une personne […] ayant subi un préjudice du fait d’une procédure judiciaire abusive altérant le débat public, soit en mesure de demander et d’obtenir réparation intégrale de ce préjudice ».
S’agissant des « motifs de refus de la reconnaissance et de l’exécution d’une décision rendue dans un pays tiers », la proposition de directive ajoute que « les États membres veillent à ce que la reconnaissance et l’exécution d’une décision rendue dans un pays tiers dans le cadre d’une procédure judiciaire en raison de la participation au débat public d’une personne […] domiciliée dans État membre soient refusées comme étant manifestement contraires à l’ordre public dans le cas où cette procédure aurait été considérée comme manifestement infondée ou abusive si elle avait été portée devant les juridictions de l’État membre dans lequel la reconnaissance ou l’exécution est sollicitée et où ces juridictions auraient appliqué leur propre droit ».
Autant l’accès au droit et à la justice doit être accordé à ceux qui estiment raisonnablement avoir été injustement mis en cause, sans motif et sans preuve, dans des conditions qui portent atteinte à leur honneur et à leur réputation, de façon notamment à leur permettre d’en obtenir la cessation ou au moins la réparation. Autant il convient, au nom des garanties de la liberté d’expression, du droit du public à l’information et de la préservation de l’intérêt général, d’empêcher, par des moyens de droit, comme l’envisagent les textes européens ici présentés, que soient engagées des « procédures judiciaires manifestement infondées ou abusives, altérant le débat public ». À cet égard aussi, un juste et délicat équilibre des droits doit être établi par la justice.
LA LIBERTE DE LA PRESSE atteinte dans son droit d'informer. C'est évidemment Mediapart qui en fait les frais. Les réactions contre cette censure furent immédiates, dès la prise de parole de Mediapart. 23/11/ 2022. Lien.
L'alternative d'un média qui tend à préserver sa place dans le monde concurrentiel de la presse officielle, se situe entre le professionnalisme et les novices de la presse fraîchement émoulue, issus d'un système formaté ; c'est-à-dire reconnue comme référent au sein des professionnels. Presselibre.fr maintient son rang dont dépend sa liberté d'expression, très controversée par les fonctionnaires de la Sécurité ; et cela depuis mars 2007 ! L'intégrité demeure notre soucis en appliquant une vertu cultivée sur nos pages et articles : celle de la probité. La pugnacité nous est fréquemment reprochée par des quidams, sans grande envergure intellectuelle et qui manifestent une animosité superficielle à notre encontre. Nous diffusons une opinion autre, strictement différente de l'analyse conventionnelle pratiquée sur les plates-formes de diffusion nationale, plus précisément. Peut-on conclure que la toile étant saturée d'informations déformées, la crédibilité des uns et des autres médias est mise en doute, selon la façon de l'exploiter. Nonobstant, de très bons médias s'évertuent de rester intègre. La place de second rang qu'occupe presselibre.f, n'entre pas dans un concours d'excellence de médias auxquels l'on distribuerait un satisfecit pour les plus méritants ! Évidemment, et nous nous en doutions un peu, au début de notre prise de position (à savoir en avoir aucune) que les menaces, les pressions, les diffamations et accusations en tout genre ne nous ont pas manqué et continuent à croître au rythme du contenu de nos publications. L'année 2022 est d'ores et déjà derrière nous. 2023 risque de nous apporter d'importantes catastrophes qui modifieront nos comportements dans nos sociétés ; jusqu'à nous faire abandonner certaines habitudes néfastes pour notre environnement social. Le pire est devant nous, de sorte à aspirer à vaincre une existence inhérente à notre destiné universelle. Jean Canal. 1er janvier 2023.
Les critères retenus pour l'obtention du Prix Albert Londres ont-ils été dévalorisés depuis la disparition mystérieuse et jamais élucidée du reporter/journaliste dont le nom éponyme donne à ce prix une valeur intrinsèque à la profession ? Les vertueux journalistes qui s'immiscent sur le terrain d'opérations conflictuelles, "méritent" une reconnaissance de leurs pairs qui jugeront sur pièce de leur travail. Une gratification qui, comme les expositions de photographies à VISA se doivent de révéler une partie cachée de l'actualité internationale couverte par de nombreux "acteurs" de l'information. Félicitations aux heureux élus de cette année, en hommage à Albert Londres. Jean Canal. 03/12/2022.
LE BULLETIN DE ACRIMED
Liberté d’informer, journalisme économique, écologie et compagnie : revue de presse de la semaine
par Maxime Friot,
Critique des médias : une revue de presse hebdomadaire. Si ce n’est exhaustive, au moins indicative. Au programme : du 19/11/22 au 25/11/22.
Liberté d’informer « Peut-on censurer des articles qui ne sont pas encore écrits ? En première instance, le Tribunal de commerce de Nanterre a répondu oui », et Reflets a été interdit « de publier de nouvelles informations issues de la fuite de données qui avait servi à la rédaction des premiers articles. » L’audience en appel, prévue le 23/11, a été renvoyée au 30/11. De plus, une audience « au fond » est prévue le 15/12. Ce n’est pas tout : le même Patrick Drahi – c’est Altice qui avait assigné Reflets – a aussi « tenté de censurer France Culture » !
« La liberté d’informer devant la justice », Reflets, 21/11 [article réservé aux abonnés].
« Censuré, le média Reflets.info passera en appel le 30 novembre », L’Humanité, 24/11 [article réservé aux abonnés].
« Comment Patrick Drahi a tenté de censurer France Culture », L’informé, 22/11 [article réservé aux abonnés].
Autre contexte, autre tribunal, mais procédé comparable : « Le président du tribunal judiciaire de Paris a fait injonction à Mediapart de ne pas publier de nouvelles révélations sur les pratiques politiques du maire de Saint-Étienne, après celles du chantage à la sextape. » De nombreuses sociétés de journalistes, associations et organisations de journalistes ont exprimé leur solidarité envers Mediapart, qui a contesté la décision. Une audience s’est tenue le 25/11, et le délibéré sera rendu le 30/11.
« Un magistrat ordonne la censure préalable d’une enquête de Mediapart », Mediapart, 21/11.
« Derrière la censure de Mediapart, l’étrange ordonnance pré-écrite par la défense de Gaël Perdriau », Marianne, 23/11 [article réservé aux abonnés].
« Une attaque sans précédent contre la liberté de la presse », Informer n’est pas un délit, 22/11.
« Recours contre la censure : les syndicats de journalistes et la FIJ aux côtés de Mediapart », communiqué intersyndical, 25/11.
« Communiqué de presse de la NUPES », 22/11.
« La censure préalable d’une enquête de Mediapart provoque un tollé et une proposition de loi », Mediapart, 22/11 [article réservé aux abonnés].
« Proposition de loi visant à faire respecter la règle du contradictoire en matière de droit de la presse », Sénat, 21/11.
« Au procès de la censure de Mediapart, un front uni contre une "catastrophe judiciaire" », Mediapart, 25/11 [article réservé aux abonnés].
Bon ! Nous sommes obligés, nous aussi, pour ne pas laisser la parole aux Médias qui veulent insidieusement s'accaparer ce pouvoir de conviction, illustré par la plume ou l'image, de traiter un phénomène d'actualité viral dont la propagation enlève toute la critique inscrite dans une controverse formelle, autorisée ! Une Député est molestée lors de son intervention à une manifestation rupestre... Les Forces de l'Ordre, déplacées pour l'événement, diffusé sur tous les réseaux sociaux, ne tolèrent aucune entrave aux directives que leurs supérieurs hiérarchiques ont passé en une telle occasion, aux conséquences prévisibles donc. Il en ressort un attouchement de matraque sur la Député, en une partie du corps non visible à la caméra. L'affaire devient immédiatement politique, hurlant au Droit de manifester pacifiquement, selon la constitution ! Hélas ! Ce pacifisme est émaillé d'actes de vandalisme sur les infrastructures agricoles des paysans, pris pour cible. Quant aux Forces de l'Ordre, il ne faut pas s'attendre à vous faire offrir une tasse de café ou de thé en pleine bataille de ru (le ru est un filet d'eau (un ruisseau) qui coule dans les campagnes...). Jean Canal. 12/11/2022.
Anne-Laure Bonnel, la journaliste qui dérange ses confrères. Elle ne faisait plus parler d'elle depuis quelques mois, déjà ; alors que sa présence en Ukraine est antérieure au conflit. La presse officielle s'en est débarrassée, en bonne et due forme, conformément aux procédés habituels qui consistent à ne plus la considérer sur les plates-formes audiovisuelles officielles, où son 'image' a soudainement disparu... Pertinente, isolée dans son travail, réalisant des reportages sur le vif, Anne-Laure Bonnel, enseignait également dans le Supérieur ! Les représentants de son Institution universitaire, lui ont dernièrement notifié qu'elle ne faisait plus partie de l'enseignement, suite à un manquement à la déontologie...en question. Circulez, il n'y a rien à voir ! Jean Canal ; 20/10/2022. La photographie nous a été envoyé sur nos réseaux sociaux. Adieu, Mon Amour ! Moi, je t'aime toujours...
Lorsque l'on fait partie du monde alambiqué des médias officiels, il faut s'attendre à être critiqués, dès lors que l'appareil médiatique prend part au traitement de l'information ! La même critique s'adresse à tous ces journalistes qui s'arrogent le droit d'émettre un avis sur un fait sociétal qui en fait appartient à tous, quand bien en seraient exclus ceux qui n'en comprennent gouttes ! Au contraire, la critique devrait venir de ceux qui ne sont pas soumis à des restrictions de vocabulaire dans la presse écrite, de censures rédactionnelles, au demeurant de menaces de licenciement. La presse audiovisuelle, elle, se doit d'observer une correction dans l'information divulguée, de sorte à révéler ce que tout le mode sait déjà...mais en y mettant les formes correspondantes à ce que le spectateur attend de son journal télévisé. On pourrait croire que le journal doit s'adresser à LUI, personnellement, le touchant dans son intimité sensibilisée par une révélation : le spectateur engagé, comme aurait dit Aron Raymond. La responsabilité est cruciale dans la diffusion d'information qui aujourd'hui connaît des controverses dans la véracité des témoignages recueillis sur le terrain de préférence. Nous rendrons, ici, un hommage à Anne-Laure Bonnel, journaliste, pour son travail avant-gardiste reproché par la profession qui y a vu une atteinte à son éthique ! De surcroît, contrairement à l'idée intentionnellement véhiculée par des rédactions intéressées par cette profession qui influe sur les sociétés et la population inculte, précisément, les Réseaux sociaux sont une mine d'information inestimables par sa provenance en direct des phénomène de société. Lire l'article ci-dessous. Nous conclurons sur cette critique des médias critiques, lesquels cultivent toujours un cercle privé qui ne porte aucune atteinte à presselibre.fr et plus particulièrement à l'intégrité de son Rédacteur en chef (terme ampoulé) Jean Canal. 23/10/2022.
LE VERDICT DE L'OJIM SUR L'HEBDO : une "odeur" d'argent émane des relents journalistiques des "Francs-Tireurs" UN ARTICLE DE L'OJIM. Les médaillés des aides à la presse, chiffrée ! Question bête de Jean Canal : Donc les actionnaires sont servis, les premiers ? Médaille d’argent pour Le Monde de Niel, Pigasse et Kretinsky avec un petit 12M€ dont un bout – les pauvres chéris – pour compenser la crise sanitaire. Médaille de bronze (peut mieux faire) pour Le Figaro du groupe Dassault 9M€. Plus petits joueurs mais bien méritants Sud-Ouest avec un peu moins de 6M€ et Bayard/La Croix avec un peu plus de 5M€. Ces chiffres ne comprennent pas les aides indirectes (TVA réduite, aide postale etc). Les chiffres pour les autres groupes ne sont pas connus, une discrétion du ministère de la Culture en période électorale incertaine. Les chiffres connus ressemblent étrangement à ceux des autres années. Allez savoir pourquoi ? OJIM
Anne-Laure Bonnel, la journaliste qui dérange ses confrères. Elle ne faisait plus parler d'elle depuis quelques mois, déjà ; alors que sa présence en Ukraine est antérieure au conflit. La presse officielle s'en est débarrassée, en bonne et due forme, conformément aux procédés habituels qui consistent à ne plus la considérer sur les plates-formes audiovisuelles officielles, où son 'image' a soudainement disparu... Pertinente, isolée dans son travail, réalisant des reportages sur le vif, Anne-Laure Bonnel, enseignait également dans le Supérieur ! Les représentants de son Institution universitaire, lui ont dernièrement notifié qu'elle ne faisait plus partie de l'enseignement, suite à un manquement à la déontologie...en question. Circulez, il n'y a rien à voir ! Jean Canal ; 20/10/2022. La photographie nous a été envoyé sur nos réseaux sociaux. Adieu, Mon Amour ! Moi, je t'aime toujours...
LE COMMUNIQUE DE ACRIMED juillet 2022
Nouvelle nouvelle dans la presse
L'Observatoire du Journalisme monte à l'assaut ; armé jusqu'aux ratounes, il charge l'ennemi qui agonise ! Pas question de faire des prisonniers, les traites doivent mourir ! Le lien sacré. La dernière nouvelle de l'Observatoire du Journalisme, tombe dans notre boîte mail ! Surprise ! Un autre journal né dans les années soixante-dix (les miennes), en 1973, si ma mémoire est toujours bonne, épinglé par la Presse... En période de crise, en effet, le charbon revient à la mode. Il dépanne les entreprises en difficulté financière. Libération a recourut à un argent propre.
QUAND UN CANARD SE DECHAINE ! "Passe-moi le canard qui est sur la table ! -Le journal ?! -Bien sûr ! -Merde "Le Canard enchaîné" a triché !" L'emblème de l'anarchiste soixante-huitard, fraîchement émoulu des universités bourgeoises, vient de démontrer que Le Capital de Marx est la seule raison qui vaille la peine d'exister ! L'idéal reste l'apanage des idéalistes ; déjà condamnés par Platon ! Heureusement l'OJIM surveille ceux qui nous dés-in-forment. Jean canal ; bien sûr. 5 septembre 2022.
En préambule de cette mise à jour de la présente page, nous citerons sans vergogne, un extrait d'un article présenté sur L'OJIM :
Je t’aime, moi non plus
Alors que 91% des interrogés répondent oui à la question « le journalisme est-il utile ? », ils ne sont que 47% à avoir confiance dans le travail fourni sur la politique par la caste journalistique, contre 29% qui font peu confiance et 19% qui ne font pas du tout confiance. Lire la suite.
ET NOUS DEFENDRONS TOUJOURS CEUX QUI ONT TORT D'AVOIR RAISON. Un choix donc délibéré, sans contrainte policière jusqu'à l'avènement d'une dictature de la pensée, de reproduire cet article qui déjà date. Inversant la question dans ce sujet avivé en des circonstances qui s'y prêtèrent lors de sa parution, nous poserons le doigt sur les plaies encore béantes d'une presse engagée dans le maintien des richesses de ceux qui les emploient ! Tous les journalistes ne sont pas solidaires de leurs confrères, d'autant moins quand le partage du scoop se fait entre ouvriers de la presse du même genre ! Le journalisme fut un sacerdoce. Le seul à l'incarner encore reste Alain Duhamel dont nous saluons, ici, la probité demeurée intacte, n'en déplaise à des ennemis ombragés par son charisme. Certes, le journalisme d'aujourd'hui ne peut rivaliser avec celui d'hier soumis à des démarches difficiles pour approcher le sujet à débattre ; mais, il peut se conforter des outils qui lui sont disponibles pour propulser "l'information", émaillées d'agréments d'images exploitées pour l'occurrence, aux directions en des injonctions auxquelles il se doit de répondre promptement ! Nous ne critiquerons pas les officiels qui sont ce qu'ils sont, répondant à une forte demande d'audience popularisée par le contenu... Nous savons en se référant à son histoire que des journalistes ont, encore aujourd'hui et moins que hier, de très bonne relations avec la Police... Slate admet un des leurs... Nous ne fîmes que constater, au cours de notre professionnalisme dans différents journaux que nous ne citerons plus, pour des raisons évidentes de diffamations avérées, la concurrence sauvage que l'information suscite selon les tendances politiques. Rien de nouveau dans les Rédactions ! Le partage existe, certes, mais au prorata des ressources obtenues dans la confidentialité la plus accrue.
Ce qui désole notre Rédaction, encore intacte malgré les menaces régulières que nous recevons de façon insidieuse de la part des pleutres à la solde des services de Sécurité en question, que ce soit au Festival de Avignon où des entraves s'érigent à notre présence, à Arles également et jadis à VISA pour l'Image où Jean François Leroy boudait notre présence..., ce qui nous désole, sans nous arrêter dans notre volition de pérenniser notre Média jusqu'à ce que mort advienne, c'est ce comportement de basse besogne qui caractérise ses vils auteurs ; et cela quel qu'en soit leur statut !
Jean Canal. 17 août 2022.
"Ma réponse à Libération Et à la Ladepeche.fr Puisque pour un obtenir un droit de réponse m'explique ce monsieur, il faut avoir l'accord de ses supérieurs... Je me l'accorde Rappel de la déontologie de notre profession : Les dix devoirs de la charte de Munich Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité. Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. Publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents. Ne pas user de méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents. S’obliger à respecter la vie privée des personnes. Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte. Garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement. S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information. Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs. Refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction." Anne-Laure Bonnel