BILLETS D’HUMEURS

By | 5 novembre 2024

Billet d'Humeur

Nonobstant les principes qui accompagnent la pratique sacré du savoir quand ce dernier répond aux règles de son exercice, il appert une certaine manière à ne pas déroger de façon à reconduire toute la Connaissance, de sorte à respecter tout l'Origine de la construction de l'Humanité dont les dates vont de plus en plus reculées, comme l'exemple du site découvert dernièrement en Turquie ! Année 2024.

Le mois de novembre vient de s'annoncer. Il faut le dépeindre à la manière des impressionnistes, avec des mots laconiques qui floutent la triste réalité dans laquelle nous ont plongé les politiques, par notre consentement ! Nous sommes tombés dans notre propre piège ! D'en sortir sur toutes ces longues années qui arrivent de façon inattendues, la hardiesse ne suffira plus. Tout s'assombrit lentement au fil du temps qui s'écoule, malgré une tentative de retenir son rythme. Ils ont tout essayé, les Politiques : ceux qui nous ont gouvernés durant trop longtemps pour qu'apparaisse à l'horizon de ces années une lueur de vie nouvelle. Il y a un sentiment d'impuissance qui s'instaure et semble persisté dans l'impossibilité de concevoir une autre manière de vivre. Puisque la préoccupation de chaque individu, fût-il distingué naturellement par une forme de caste sociale quelconque, lui accordant une valeur ajoutée à son genre, le soucis commun serait toujours le même, cependant formulé autrement aujourd'hui que celui d'autrefois : le bonheur ! Il aurait plus tendance à résider dans l'accaparement de gains, permettant ainsi de se démultiplier dans différentes personnalités. Il faut, en effet, correspondre aux schémas que la société propose, voire impose dans le pire des cas. L'argent aurait tendance à favoriser l'émancipation de l'être nouveau qui part à la recherche d'un havre de paix dissimulé dans la masse, sans laquelle il n'existerait plus. Le besoin de paraître à quelque degré que ce soit, lui confère sa valeur intrinsèque dont il ne peut se défaire. Le bonheur serait-il en adéquation d'un système sociétal qui impose sa forme et ainsi valide celui qui y prétend ?! Vous devriez posséder la réponse ! Jean Canal. 5 novembre 2024.

MOIS de Octobre 2024.

LA MENACE. La blancheur de la peau d'un individu en serait-elle à l'origine ? Il est vrai que si vous avez le teint mat, légèrement halé ou virant au brun foncé, vous encourez moins de risque de vous faire agresser par ces fanatiques venus de pays lointains, où se sont perpétrées des guerres et conflits atrocement meurtriers, comptant des centaines de milliers de victimes, femmes, enfants, vieillards et jeunes-gens. Bref ! Un tel article ne passerait sûrement pas dans les colonnes des plus grands médias, politiquement officialisés afin de se préserver des diatribes de leurs adversaires, toujours prompts à saisir une embellie pour se débarrasser d'un concurrent ! Évidemment, nous sommes dans la fiction ! Rien de pareil ne doit faire l'objet de vraisemblance avec le réel ! Les malades qui se baladent dans nos sociétés européennes ont été légitimement reçus en commun accord, reposant sur des clauses européennes relatives à l'accueil des migrants dû (là nous sommes presque dans un discours du Rassemblement Nationale). Nonobstant, cette directive, qui embarrasse moult états pratiquant une politique de l’ambiguïté, revêt des inconvénients au niveau de la sécurité des territoires occupés (aucun jeu de mots, ici). Il est évident que la sécurité des citoyens européens n'est que partiellement assurée au regard du nombre insuffisant des agents employés à cette tâche ! De surcroît, l’ambiguïté qui règne au sein des personnes étrangères issus de pays en conflit, ne fait qu'ajouter des handicapes aux meures à prendre pour « surveiller » des individus suspects. Pourtant, les services hautement autorisés à effectuer un tel travail, ne chaument pas et réussissent souvent à nous éviter, notamment en France, des attentats spectaculaires et autres tentatives d'homicides à l'encontre des citoyens que nous sommes. Certes, ceux ne sont pas les patrouilles de militaires qui dissuadent les terroristes occasionnels, mais les militaires ont un impact positif sur la population, rassurée par leur présence. Que faut-il faire pour éviter le pire ? Tout simplement être plus solidaires les uns des autres, en mutuelle surveillance de la vie en cité ! La lâcheté des actes caractérise une entité haineuse à l'encontre des peuples européens et qui pis est occidentaux ; qu'ils soient chrétiens, juifs, musulmans..! Il faut tout simplement en avoir conscience, et ne pas hésiter à réagir contre un individu présentant des velléités dangereuses. Se faire justice pour défendre les siens dans un cadre de légitimité est un devoir républicain ! Octobre 2024. Jean Canal ; bien sûr.

Comprendre la Science ne relève pas d'un esprit scientifique ; les règles en sont établies par l'évolution de l'espèce qui conditionne, justement, son adaptation au système planétaire, en dotant les individus du potentiel qui permet de révéler ce dont nous sommes faits. Si vous comprenez le sens de cette phrase, vous sortez de l'ornière des idiots qui peuplent majoritairement nos sociétés et sont de plus en plus nombreux !  Sans avoir réellement mesuré l'ampleur de sa pensée, l'homme s'est laisser choir dans l'ignorance totale en ce qui concerne ses origines ! L'eau ne diminue pas, elle subit une transformation planétaire, comme l'actualité nous le révèle par un chamboulement climatique désormais avéré ; tant pis pour les climatosceptiques, ils resteront dans leur état dubitatif. Et c'est ce que nous observons. La pluie, comme l'ont justement précisé les Scientifiques à qui la confiance peut être faite, les yeux fermés, (à condition que le politique n'en détourne pas la pensée) aurait tendance à s'intensifier avec la chaleur et retomber en des lieux propices à son effusion : les montagnes, notamment. on apprenait cela au primaire, avec une planche imageant ce schéma : l'eau s'évapore, forme des nuages qui vont se percer sur les montagnes. Là, transformée en pluie, elle tombe et gonfle les rivières qui se déversent dans la mer d'où se fait l'évaporation avec la chaleur ! Bon climat pour cet été. Sortons du contexte et osons le ridicule. Embrassons l'idée érodée des études qui sont faites à chaque mouvement scientifique qui comme vous n'êtes plus sans le savoir, repose sur des études menées au préalable par des chercheurs, fondant leur introspection intellectuelle sur des statistiques. N'en soyez plus dupes, pour quelques instants, mais nos expériences spatiales ne résoudront en rien notre condition de vie sur terre ; la seule alternative viable pour l'humain, serait de pouvoir s'extraire de l'attraction terrestre à la vitesse de la lumière. Nous en sommes loin, très loin et donc condamnés à disparaître, là-même où nous sommes ; comme c'est le cas depuis la naissance de l'humanité. Une belle aventure en soi que cette épopée planétaire. Nous faisons un tour sur nous-mêmes ! L'évolution ne promet, hélas !, rien de bien prometteur pour nos avenirs futuristes, compromis et glosés par le fictionnel romanesque. Nous avons à la fois besoin des naïfs et des crédules, ceux qui imaginent une espèce de probabilité salvatrice qui nous épargnerait les affres de ce climat ayant 'l'air' de compliquer notre programme. Bref ! Septembre 24.  

"Un homme ne peut être lui même que tant qu'il et seul, et s'il n'aime pas la solitude, il n'aimera pas la liberté, car ce n'est que lorsqu'il est seul qu'il est vraiment libre." Schopenhauer. En préambule à ce texte, cette réflexion élogieuse de l'être.

La fin des Utopistes. Faut-il croire que le leurre entretient toujours une certaine empathie pour tous ceux qui se solidarisent avec nos penseurs de Gauche affiliés spirituellement par des ramifications idéologiques, historiquement rattachées aux mouvements politiques ayant caractérisé essentiellement le Socialisme ?! Une idée advenue, lorsque les êtres furent confrontés à une injustice sociale non formalisée implicitement, au XIX° siècle, quand les milieux bourgeois abusaient outrancièrement d'un pouvoir qui leur deviendra illégitime avec les deux siècles courus jusqu'à nos jours ! C'est l'esprit politique ou plutôt l'essence qui s'en dégagea qui fit l'homme devenir rebelle, lorsque, en effet, il constata de visu que les différences dans l'échelle sociale causaient des disparités pécuniaires au sein d'une société encore embryonnaire dans la forme définitive qu'elle adoptera avec l'implosion de l'économie. Aujourd'hui encore, l'injustice continue mais de façon strictement différente, puisque elle apparaît conforme aux biens que le consumérisme dispense généreusement à tous ! Un SDF possède lui aussi, un téléphone portable ! Signe extérieur d'une richesse pauvre... Le piège s'est effectivement refermé sur les clients des politiques affairistes répondant aux nécessites artificielles des classes recluses dans des principes de luttes surannées au regard des nouveaux défis de l'avenir ! Le Gauchiste sociétal ressemble étrangement au bourgeois qu'il combattait jadis. L'étroite distance qui les sépare, finit, en ces jours promus à la diatribe gouvernementale, par les rapprocher des ennemis d'hier, combattus au cours des révolutions encore inachevées. Si Révolution il y'aura, elle puisera ses thèses dans le futur et non les appuiera sur celles dispensées au cours du XIX° siècle, définitivement ensevelies dans les cimetières réservés à la vraisemblance des idées toutes faites, conformément à l''image de nos contemporains.

Le conditionnement humain n'a jamais été aussi parfait ! Il s'inscrit dans une éthique moralisée au possible de la compréhension de chaque acteur, de toutes les classes sociales diffuses qui cultivent une façon d'appréhender leur société.

Le dernier utopiste appartement officiellement à une Gauche radicalisée relativement aux circonstances actuelles, serait Mélenchon ! Le seul Tribun capable de monopoliser les foules par un charisme fondé sur uniquement la vérité du langage : Mélenchon ne ment pas ! Il exagère, au pis il extrapole ! C'est d'ailleurs ce trait de caractère qui lui a valu la défaite annoncée chez toutes les personnalités de gauche, aujourd'hui, parce qu'il continue à palabrer sur les mêmes thèmes ! Sa manière d'attaquer des adversaires politiques, traduit l'acharnement pratiqué par les groupuscules d'extrême gauche qui assènent des coups d'épée dans les eaux troubles des controverses politiques.

Paradoxalement, aux événements survenus durant les dernières élections législatives, il apparaît clairement que la Gauche s'est suicidée idéologiquement. Le temps des printemps fleurissant à l'aune des espoirs sociaux, ne couvrira plus les champs moribond des idées qui se sont ainsi fanées. L'image du Gauchiste trompe son idée qui n'a plus cours dans les rassemblements où quelques irréductibles militants ne jurent que par la pauvreté de leur condition humaine ; la haine devient alors une culture, sans floraison.

Avec l'abandon des valeurs spirituelles (ne pas associer aux religions qui sont à exclure), l'être a perdu tout espoir d'être heureux !

Jean Canal. Nuit du 25 août 2024. Retrouvez ce texte dans "Les Billets d'Humeur"

Et là Ducon ! Tu la sens, ma Verve ? T'es toujours au Commissariat où encore à la Brigade ?

Le climat ! Tu kiffes ou pas ?! Le climat confirme ses tendances sur la planète. Les inondations produites depuis deux ans déjà modifient effectivement les régions sahariennes.  Dans quelques années, les destinations du Sud de l'Europe seront définitivement bannies ! L'évolution climatique qui se dirige vers plus de chaleur et d'inondations va drastiquement modifier le paysage naturel du pourtour méditerranéen, comme l'avait déjà signalé Haroun Tazieff Paul Emile Victor Cousteau et Hubert Reeves sans oublier Michel Serres dans les années soixante-dix. Il est donc vain de répéter que l'avenir de la planète est considérablement compromis : que l'environnement créera des zones inhabitables où la vie, comme c'est déjà le cas, ne sera plus possible à cause d'une végétation austère, ne favorisant plus la vie humaine, comme l'explique le GIEC ! Où aller, si ce n'est errer par-delà les frontières comme le font les migrants, espérant trouver un havre de paix en Europe ! Pour les jeunes, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas encore franchi l'âge de 35 ans (7X5), tout leur sourit encore ; pour les autres, vieux avant l'âge, usés, indexés dans les annexes du recyclage, il faut se faire une raison et profiter un max des dernières années qui arrivent... Faites pas la gueule, votre grimace ne résoudra rien ! Quand bien même eussiez-vous, dans vos dernières heures, pressenti un soubresaut de repentir sincère, dans l'absolution de vos fautes, voulant vous éviter l'enfer, eh bien sachez que l'enfer est bel et bien sur terre et que le purgatoire vous sera ouvert, le moment venu, pour laver vos souillures, quand la chaleur vous deviendra vraiment insupportable ! Nous avons et continuons à exploiter la planète de sorte à la spolier de ses biens naturels, affaiblissant ses immunités et cela malgré sa capacité à se reconstituer une nouvelle vie meilleure que celle que nous avons détruite. Ne vous formalisez point avec votre conscience, elle décide, sans vous, seule des mesures à prendre pour recouvrer une espèce de sérénité parfaite ! Le temps ne procédera pas d'un compte à rebours pour signifier son échéance ! Il impose son processus irréversible ! Le mal est fait ! Il est trop tard ! Et vous voulez réellement savoir ce que jean canal pense de tout ça ?! C'est bien fait pour Vous ! Vous ne méritez pas de vivre dans un monde de paix, au cœur d'une nature magnifique où la présence de la pollution est inexistante ! Nous avons les sociétés que nous méritons et nous n'en méritons pas une autre... Bien à Vous. Jean Canal. Sur une idée piochée dans le bulletin météorologique de ces jours flamboyants de chaleur...22 juillet 2024. «La vie sur Terre peut se remettre d’un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes. L’humanité ne le peut pas.» GIEC 2021

Votez la confiance, la probité, la loyauté : la France en a besoin pour se relever de décennies de gestion politique en dérive. L'Occitanie admet sur son territoire, des départements très attachés à des valeurs sécularisées au fil des siècles. Midi-Pyrénées indique par son acception la valeur intrinsèque de son appartenance à certaines cultures identitaires liées au terroir. L'Ariège peut-être par sa situation géographique et les différentes mentalités qui en sont forgées, considérée de singulière, notamment par des secteurs d'activité difficiles dans leur exploitation, revêt de fait une particularité dans son hégémonique héritage de son Histoire ! Les Ariégeois refusèrent dans une grande majorité de servir, de force, sous l'Armée napoléonienne ! Peut-on déjà parler de résistance ?! Sous l'occupation, comme le décrit très bien André Laurens dans ses ouvrages sur la collaboration ariégeoise qui frappa plus Pamiers et Saint-Girons, l'Ariège ne fut pas la plus encline à épouser l'idéologie Nazie ! En une période électorale où les idées tendent à se confondre, sans doute par une intentionnelle méprise encensée de la sophistique des nouveaux candidats dénués de culture politique, il est urgent d'opter pour un choix qui sera décisif dans l'Histoire du pays dont les risques seraient de revivre des heures noires, attentatoires aux libertés de la République !

Le Premier parti politique de France est bel et bien celui du Rassemblement National désormais admis dans l'Hémicycle de l'Assemblée Nationale, selon nos principes imputés à la démocratie, dans le cadre de la V° République. Le Nouveau Front Populaire quoi qu'en aient soutenu ses composantes, n'est qu'un regroupement de groupuscules idéologiques différents et qui tiennent à demeurer distants les uns des autres, excepté en des circonstances électorales, le temps de fleureter durant une saison. Avant qu'il ne soit trop tard demain, ne serait-il pas plutôt que de vociférer dans les rues ravagées à chaque manifestation, urgent d'opter pour une VI° République dont les fondements donneraient une voix directe au peuple sous les formes certes contestées de référendum ?! Hélas !, le consensus sur un tel sujet est loin d'aboutir à une coercition des idées en période de défaites des fronts de Gauche et de celle d'une Droite à la recherche d'un chef et d'une nouvelle éthique plus propre ! La politique fut-elle autant houleuse en haine vindicative à l'encontre de ces propres adversaires ? Oui ! Pire encore durant la période de l'arrivée du Front Populaire de Léon Blum ! L'Extrême Droite, justifiée par la Grande Guerre et ses victimes militaires, plus d'un million et quelques (le conflit se solda par 9 millions de mort de morts -1,4 millions de morts pour la France et disparus). La Cagoule fit son apparition comme aujourd'hui défilent ceux que les Gauchistes nomment "les néo-fachistes"! Doit-on s'effrayer, comme c'est le cas en Angleterre de la montée des extrêmes en Europe ? Pas plus que cela ; les réactions violentes sont dues notamment à des actions violentes que la population dénonce avec crainte de voir s'instaurer des actes criminels sur leurs enfants ! Le fait divers est exploité sous cet angle et donne l'occasion de manifester avec violence contre ceux qui sont sensés les défendre et protéger les populations chez elles. Tout le paradoxe repose sur ce dilemme qui consiste à une rhétorique de mauvais goût exploitée à des fins politiques répondant aux instances européennes. 

La situation géopolitique du monde étant accidentée, il est bien évident que le contexte actuel ne peut résoudre certains problèmes inhérents à son évolution économique qui influe directement sur les sociétés engluées dans des systèmes consuméristes tels que les individus en sont prisonniers, sans aucune perspectives de s'en libérer sans contrôle. La politique n'est qu'un pis aller qui détermine les directives à appliquer pour gérer les besoins de chacun. Le monde suffoque et tend à radicalement changer de direction. Les BRICS en sont le nouveau modèle qui aspire à se développer de sorte à renverser les pouvoirs de décision ! L'économie change de mains sous silence tandis que l'Occident s'enfonce dans son déni des autres civilisations depuis plus d'un siècle. Les fins du colonialisme ne fit que s'interrompre avec la nouvelle servitude volontaires des sociétés soumises au dictat de cette économie qui, en fait, commande tout ! Survivrons-nous à cette nouvelle hécatombe tout en tenant compte du chamboulement climatique qui sans doute imposera un nouvel ordre de marche ?!    Jean Canal. Mois d'août 2024.

Juillet 2024. C'est quoi être de Gauche ?! Il en faut peu pour coller une étiquette à un parti politique dont la place n'est point négligeable dans les urnes. Un résultat non négligé donc par les militants eux-mêmes qui renchérissent sur la puissance du nombre représenté par leurs militants. Doit-on pour cela exploiter l'histoire d'un pays pour justifier une réplique qui passe mal en politique ? ! Une phrase écrite en signe de combat illégitime contre un pays qui ne devrait plus en fait endosser la responsabilité d'une époque honteuse pour ses habitants. En cultivant intentionnellement ce genre de haine, on crée la controverse et alimente la violence qui trouvera sa justification d'être exercée aveuglément ! En outre, cette façon très militante caractérise tout un parti qui a fini par être stigmatisé dans la Gauche divisée. Ruffin lui-même ne s'y reconnaît pas ! Le Socialisme incarné fait connaître sa spécificité en refusant les alliances dans un éventuel gouvernement constitué à Gauche.  Un Frantz Fanon féminin dans l'Hémicycle tend à distinguer les LFI du reste du troupeau !  16 juillet 2024.

On aurait envie de tout quitter pour de bon ! Foutre le camps vers des destinations anonymes, hors zones européennes ! Ce qui fait encore et toujours défaut, ce serait le contenu du portefeuille... Y'a-t-il des pays où l'argent ne constitue pas un moyen de subvenir à l'existence ? Non ! Vivre en forêt et manger des bananes ne suffit pas à résister aux éventuels prédateurs qui rôdent aux alentours de votre nouveau idéal ! Puis, il y a les habitudes qui fait de vous un addictif, un accro un dépendant de la consommation physique et virtuelle... Il n'existe plus une surface qui ne soit pas dotée de son système de communication sophistiquée dernier modèle de chez machin, pour vous maintenir en constant contact avec vos proches ! Puis, les maladies liées à votre moyen d'existence pratiqué depuis l'arrivée des merdes que vous ingurgitées chaque jour, vous suivent à la trace comme pour saisir le moment où les circonstances sont enfin propices à contracter une maladie quelconque, relative aux lieux de votre séjour. Sans parler des risques encourus de vous faire agresser, violer et enfin assassiner ! Partir n'est donc plus signe d'évasion ou/et de liberté ! Cette dernière vertu que vous avez complètement oubliée de votre organigramme, ne répond plus à des critères actuels, contrairement aux idées cultivées sur les réseaux sociaux, entre autres, mais de l'idée que vous vous faites de la vie ! On peut être enfermé "à l'ombre des barreaux" et être entièrement libre ! Jean Canal. Juillet 2024. 

LES CRITIQUES POLITIQUES ne cessent de se caractériser selon l'obédience incriminée. L'oxymore des attaques devient une arme de combat dont la pratique admet des dérives dans le vocabulaire pratiqué aux limites de la diffamation. Nous l'avions déjà observé à l'Assemblée Nationale avec des Députés envieux d'en découdre avec des sujets d'actualité brûlants ; en vain, les sanctions appliquées permettent d'éviter un phénomène qui entrerait rapidement dans le mimétisme commun. Edouard Philippe en vient d'en faire les frais, chez un média en ligne. 19 juin 2024.                                             Qui sont ces Français abandonnant la France ? Un couple algérien/français s'installe en Algérie afin de commencer une nouvelle vie. L'accueil n'est pas forcément chaleureux, si l'on prend au pied de la lettre le récit très circonstancié de la femme, issue de souche française, qui est l'épouse de cet Algérien avec lequel elle a eu deux enfants, nés en France. Ils s'aiment et sont heureux. Néanmoins, l'hostilité d'une certaine frange de la population algérienne accepte mal la présence de cette Française, jolie de surcroît. Partir est-il la solution à la peur du Rassemblement National ? De plus, les modalités de séjour pour l'épouse relève du parcourt du combattant par les documents administratifs à fournir, remplir ainsi que la réitération lente à formuler. Au Maroc, les couples de vieux Marocains vivant en France reste ici ; mais ceux sont leurs enfants qui veulent s'installer au Bled et quitter la France ! Une lueur politique plonge-t-elle le pays dans la pénombre ? Restons ! Luttons jusqu'à combattre les armes à la main, comme sous l'occupation quand 90% des Français collaboraient, Gendarmerie et Police incluses (certains de ces fonctionnaires ont soutenu qu'ils étaient "obligés" d'obéir aux ordres) : l'argument évoqué devient, avec l'histoire ouverte au public, de moins en moins crédible -on reconnaît, ici, la petitesse de la Profession..! 21 juin 2024.                                               15 000 manifestants. Un décompte de la manifestation anti RN, du 16 juin. Soit une poignée de citoyens descendus (accord grammatical selon le sens) dans la rue pour un résultat très marginal, au demeurant significatif sur l'importance conférée à cet 'événement' ! Les chiffres, nonobstant, relativiseront la tendance politique en juillet. Les abstentionnistes seront-ils autant nombreux qu'au cours des précédentes élections ? Eh bien, il faut espérer que la majorité des "individus" constamment déçus par les élus, optent pour un moindre mal en faisant valoir au moins leur droit en faveur d'un éventuel changement, utopique soit-il, sur les politiques amateuristes menées, jusqu'alors : un simple blanc suffit à exprimer son désaccord ! Il faudra cette fois-ci faire preuve de responsabilité envers un pays qui dérive en Europe et dont l'avenir ne présage d'aucune alternative salutaire pour l'ensemble d'un système économique sans valeur ! La démocratie aura-t-elle raison de la dictature ? Jean Canal. 17 juin 2024.    

Mohamed Amra. Une affaire qui tombe mal ! En pleine déconfiture des Services de Police saturés de criminalité et frappés de suicides à répétition (respect aux défunts), La Police dans toute sa splendeur encensée par ses agents syndicaux qui n'ont cesse de venter les mérites, accuse une chute vertigineuse dans ses capacités à résoudre promptement une affaire sanglante ! Quand il n'y aura plus de police, comment le crime sera-t-il traité ? C'est une hypothèse inenvisageable dans un avenir proche, certes, mais les dates de 2030 et suivantes dans la décennie, en évoque un scénario plausible, en dressant les nombres de départs des policiers et gendarmes, sans omettre les cas récurrents de suicides, puisque les deux unités majeures de la sécurité du territoire fonctionnent dans une entière collaboration, voire complicité. Les démissions et suicides ont considérablement augmenté, sans pour cela connaître de véritables réformes sur le fonctionnement du système ; quant aux chiffres évoqués, ils restent évasifs.... Le plus symptomatique de ce phénomène déplorable, étant donné que la société évolue vers plus de violence urbaine notamment, se caractérise par la consommation de Drogues, au sein des milieux sociaux institutionnalisés au cœur de la cité. La marginalité a changé de camp ; les milieux populaires sont moins touchés par ce fléau, contrairement aux années soixante-dix, notamment. Les drogues dures sont l'apanage des classe aisées qui en usent à titre de palliatif... de soirée ! "Un cacheton" pour changer ou tout simplement modifier l'univers trop pesant, permet de préserver la réalité en mode réserve des tensions sociales que le quotidien instille à petite dose. Plus l'atmosphère d'une société s'accentue par une violence omniprésente dans une actualité qui en reflète l'image, moins les individus peinent à assumer leur place dans un contexte exigeant en milieu social conforme. "Ceux" qui parviennent à s'en échapper, connaissent une mise à l'index de leur personnalité considérée comme marginale. Néanmoins, les vagues successives de consommation masquée, se révèlent importantes au regard des ventes sociabilisées de tous les produits disponibles sur le marché. Les banlieues ne seront plus bientôt que le mythe de cette criminalité, au regard des nouveaux modes de livraisons. Inclus dans le cadre social de fait, la consommation est de moins en moins gérable pénalement ; le juridique doit innover en matière de condamnation, s'il veut réduire drastiquement ce fléau qui génère des crises psychotiques chez les individus concernés. Le cannabis présente toutes les garanties pour une consommation stabilisant les risques de tomber dans le monde destructif de la personnalité que les drogues dites dures prodiguent insidieusement aux consommateurs, toujours à la recherche de sensations palliant aux problèmes sociaux. La liberté de consommer de l'alcool, chez les jeunes (mineur y compris), ne fait pas d'eux des ivrognes invétérés.., comme leurs pères et grands-parents ! Un lien inopportun. Juin 2024.  

En se référant aux écrits d'un auteur dont je ne peux vous citer le nom, ni le titre de ses ouvrages, prisés dans les salons philosophiques de l'avant guerre, lequel s'est attardé sur la question de l'époque posée dans un groupe, restreint, de penseurs déjà inquiets sur le devenir du monde, et d'un plus éminent, également, ayant longtemps réfléchi sur « La Fin de l'Occident », apparaît donc évident de nos jours que nous nous précipitons vers la disparition de nos modèles sociétaux, trop versés dans le consumérisme qui a fini, comme vous le constatez, par détruite la planète ! Qui est donc responsable, si ce n'est nous dont la singularité de l'espèce humaine conjugue le pluriel des civilisations ayant été aspirées par une modernité incontrôlable. Et l'on ne peut, sous prétexte de conscience appelée à secourir son prochain, dans une croyance dogmatique qui asservit la pensée par une morale spirituelle dévoyée de ses valeurs originelles dont le pouvoir est désormais vain ; on ne peut, au demeurant, on ne doit sacrifier sa personne pour ceux qui n'ont eu pour dessein que de tirer profit des matières dont nous nous sommes servis dans ce consumérisme, sans ne jamais avoir réfléchi sur les conséquences, provoquées par des controverses qu'il adviendrait inéluctablement sur nos civilisations entières. De surcroît, nous avons décimé les peuplades qui vivaient par les premiers principes sacrés que l'Humanité mit à la disposition des hommes. Notre responsabilité est non seulement évidente, mais pèse encore plus sur la vie en société entre gens trop différents sur le fond pour que les civilisation s'unissent pour la même cause. Les apparences que la partie adverse adopte, ne trompent plus les nouvelles entités qui manifestent leur profonde hostilité à leur encontre ; étant donné que le recours à la violence sera inéluctable afin de sauver ce qui pourra encore l'être, en un temps très proche. Tout concorde. Les conflits actuels attestent de la haine perpétuelle qui divise les peuples. Et à l'échelle de la société, l'individu, quand bien même tenterait-il de tromper son monde par des statuts correspondant aux normes de la vie genrée des classes sociales distinguées par on ne sait trop quel attribut professionnel, lequel serait sensé différencier icelui, la nature humaine ressort intrinsèquement de son enveloppe artificielle et, hélas, derechef révèle l'authenticité de notre personne. Lire la suite de La Chute.

Un billet relativement rédigé sur notre contexte politique actuel. Nous ne possédons plus de personnalités politiques, calquées sur les modèles des Rocard, Delors, Barre, et quelques rares autres capables de gouverner la France sans faire carrière ! La supercherie actuelle ne trompe que les idiots utiles à l'organisation du système politique en vigueur, entièrement dévoué à la cause personnelle de quelques arrivistes appâtés par les gains de cette vaste entreprise. Les résultats à soutirer du bilan à venir sont prévisibles dans les secteurs de l'enseignement et notamment dans celui de la Culture où une cure d'amaigrissement est donc prévue. La ménopause a tendance à faire grossir... Il y'a des signes qui font preuve d'improbabilité de l'avenir professionnel chez des personnalités soumises à l'usure de l'exercice ministériel trop répété. Comment préparer les prochaines présidentielles en faveur d'une Droite qui détrônera (pas) définitivement le RN, si ce n'est en avançant des pions sur l'échiquier national, dans une politique formatée à la demande.  16/01/2024.

«Fais pas chier Connasse !» Phrase composée à la forme impérative. Une analyse grammaticale révèle, en effet, une insistance par l'injonction qui caractérise un ordre sur l'intention donnée à la susnommée, anonymement précitée afin d'élargir la possibilité du nombre important auquel s'adresse cet ordre ! Mise en exergue moyennant les guillemets ouverts, suivis du point d'exclamation !, le seul nom commun utilisé appartient au registre de la vulgarité pas que populaire, selon le contexte où elle est prononcée. Le verbe « chier » est une pure métaphore : c'est-à-dire qu'il doit être interprété au sens figuré, de sorte à libeller l'image métaphorique qui illustre la situation..! La locution adverbiale de négation, privée ici de la seconde partie de sa composition orthographique officielle, accentue l'insistance sur la formulation de la supplique «Fais pas chier». Qu'est-ce qu'une connasse pour une femme qui subit cette insulte, la plupart du temps injustifiée ? Tout simplement une femme dont la seule présence non seulement ne mérite pas ce titre, mais qui pis est dégage une gène par sa son entité à celui qui la prononce (l'insulte)! Nous en resterons-là. 8 octobre 23.Jean Canal Curriculum Vitae

L'OPTION DÉMOCRATIQUE EN GUISE DE LIBERTÉ. Durant une période post révolutionnaire dans un vaste monde y prétendant, cette option politique fut retenue comme celle qui conviendrait le mieux aux populations pouvant y prétendre. Les moyens pour y parvenir furent parfois émaillés de méthodes dictatoriales appelant aux répressions exercées sur les peuples eux-mêmes, ayant aspiré à un idéal humaniste instaurant des libertés plurielles, inscrite dans l'esprit démocratique. Jusqu'au Contrat social, de Jean-Jacques Rousseau, la conception d'une société fondée sur l'abolition des hiérarchies séculaires imposées par les monarchies, apparaissait comme une utopie populaire impossible à réaliser dans un contexte où la royauté fut considérée même par le peuple le seul moyen de gouverner ! C'est ce même peuple qui la fera abolir, conduit par les héritiers eux-mêmes de ce système d'état que les civilisations modernes adopteront en mettant en place un système de reconnaissance de chaque individu moyennant les urnes ! Le modèle le plus représentatif de la dictature du prolétariat à l'heure actuelle reste la Chine ! Les Occidentaux, eux, surent se dégager des contraintes de l'oligarchie, une et indivisible, afin de bénéficier d'un libéralisme d'état contrôlé par ce peuple qui choisirait régulièrement ses représentants politique pour gérer le pays. A l'aune de la fin de ce quart du XXI° siècle, la démocratie est disputée sur ses principes inadaptés aux urgences politiques de la souveraineté des peuples. Ces derniers souffrent d'un manque de rigueur dans l'application des textes constitutionnels que les démocraties diverses et variées et quelquefois de façade, de sorte à provoquer des réactions dictatoriales appelées par les citoyens spoliés de leurs libertés remises en cause sur certains points relatifs au fonctionnement des sociétés.

"On a beau vouloir confondre l’indépendance et la liberté, ces deux choses sont si différentes que même elles s’excluent mutuellement. Quand chacun fait ce qu’il lui plaît, on fait souvent ce qui déplaît à d’autres, et cela ne s’appelle pas un état libre. La liberté consiste moins à faire sa volonté qu’à n’être pas soumis à celle d’autrui ; elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre."  Jean-Jacques Rousseau.

La Démocratie ne fait plus recette face aux abus qu'elle a suscités chez ses commanditaires, en quelque sorte. L'éclatement de l'Occident incarne cette débâcle que seuls quelques uns parmi le monde intellectuel du XX° siècle (contrairement à l'usage, nous ne citerons, ici, aucune source afin de na pas éveiller vos consciences, vaines en pareille étude). Le constat sous forme de bilan visuel atteste effectivement un malaise dans l'ambiguïté de la liberté démocratique dont les fondements furent captés par des pouvoirs politiques avares en équité sociale ! Les guerres en furent la résultante directe des politiques exercées à l'encontre des populations pacifiques et aspirant à une paix universelle. Le mode dictatorial revient, sans coup férir, en filigrane des urnes, ouvertes aux tendances les plus rigoureuses. Novembre 2023. 

DE LA REALITE EXISTENTIELLE. En évinçant du discours politique les impératifs écologiques qui reposent particulièrement sur des questions traitant de l'adaptation des sociétés futures dans des secteurs comme les transports, l'agriculture débarrassée de ses polluants, entre autres des nombreux facteurs, responsables de l'état délétère du climat, les représentants de l'Europe condamnent les populations de l'espace Schengen à subir des conditions d'existence incommensurables à des changements radicaux dans notre manière d'appréhender la vie ! Les exemples les plus négatifs restent probants dans les habitudes consuméristes reconduites, malgré un contexte qui appelle à plus de mesure dans les aménagements du territoire, notamment, et de la consommation globale des produits manufacturés. Les efforts envers les transports en commun praticables au moindre coût sont pratiquement inexistants, quand bien même des effets d'offres succinctes tendent à en démontrer le contraire ; le temps de se rendre compte des supercheries militaro-économiques pratiquées. Le train demeure la seule version qui permet encore de s'émanciper loin des villes, et d'assurer un voyage minimisé en pollution (l'idéal eût été d'opter pour un prix forfaitaire général). L'énergie électrique au service du transport individuel ne couvrira jamais la totalité des demandes, à moins de continuer à piller la planète, jusqu'à une totale extinction de ses richesses non renouvelables (c'est ce qui se produit actuellement). Il est facile de comprendre alors que notre situation actuelle est en sursis. Comment vont réagir l'ensemble des populations quand elles auront réellement compris le leurre existentialiste dans lequel les états les ont précipitées ? L'étau se resserre à un rythme suffisamment continu qu'il est impensable de na pas en comprendre se sens. Le climat dicte d'ores et déjà notre attitude face aux caprices du temps, au demeurant des dommages causés. Il semblerait pourtant, en constatant l'ineptie des élus de vouloir s’entêter à construire une nouvelle autoroute pour gagner quelques minutes sur un parcours suffisamment bref : Toulouse-Castres ! Dénoncés comme fléau dans les modes de pollutions industrielles, le béton et le goudron exigent la destruction d'espaces naturels devenus, désormais, indispensables à une existence avérée en danger. L'exploitation frauduleuse de l'eau n'est pas en reste des exactions commises en ce domaine. Restriction générale dicte l'état. Nous sommes piégés par nous-mêmes. Notre avarice à vouloir consommer au possible de notre économie, attente à cet équilibre que nous détruisons chaque jour. Une controverse existe pourtant, celle de considérer le chamboulement climatique et les catastrophes qu'il génère, une opportunité pour l'humanité de repenser l'existence à une échelle identique à celle du respect que l'humain doit lui porter. 17/10/2023.

NOTRE PROPRE SOCIETE. Il serait vain d'essayer d'apporter une once de modification dans le fonctionnement sécularisé de la société française. En ce mois de septembre qui reflète parfaitement l'état des lieux d'un système sociétal à bout de souffle, il est du devoir des citoyens de s'inquiéter de l'avenir de leurs progénitures au demeurant des effets climatiques constatés un peu plus chaque année. Les catastrophes ne font qu'en attester la réalité, maintes fois contestée par les Septiques d'un genre humain intentionnellement dubitatif pour ne pas remettre en question notre vie sociétale en vase clos ! Le consumérisme ne constituerait donc point un danger, selon des statistiques constatées tout simplement aux pieds des vide-ordures des villes, campagnes et lieux de villégiatures touristiques où abonde un rejet des marchandises pestilentielles ! La société pue, jusque dans les recoins de ses ruelles en ville ! Urines de chien imprégnant les trottoirs jusqu'aux endroits des rues infestées de déjection canine ; ce phénomène ne dérange personne, pas même les municipalités qui arguent sur des moyens mis à la disposition du propriétaire ne respectant pas les codes de civilité, rappelés par des affichettes exhibées en guise de prévention contractuelle : de la poudre aux yeux ! Il n'y a, en France, aucune ville propre ! Pas un endroit qui ne soit dédié à l'ordure proprement dite. Quant aux jardins et lieux de détentes destinés aux citoyens proche de la nature, ils cachent toujours un petit papier, un mégot ou bien un emballage illustrant ce consumérisme inclusif de la gentrification des villes. La saleté fait partie intégrante des villes, les plus représentatives de l'étique d'un pays, en Europe ! Les rats de Paris croupissant au pied de la Tour Eiffel sont une image véhiculée à travers les réseaux sociaux qui desservent le patrimoine de la capitale, gérée par un Âne. Il y a pléthore des déchets dus à cette consommation impossible à réduire chez l'habitant qui tant à préserver ses mimétismes. Les industriels, toujours sans scrupule, de l'agroalimentaire ne daignent guère modifier leur production en faveur de la disparition du plastique et de l'emballage ! Pour contrecarrer ce fléau, la société a donc conçu le recyclage en tout genre (excepté les Cons impossible à recycler), de sorte à déresponsabiliser le citoyen lambda, restant ainsi fidèle à ses marques. Des dépôts de proximité furent mis en place afin de responsabiliser le citoyen et de le persuader que sa consommation ne présente plus de danger au niveau de la pollution générale, parce que toute la matière qui en découle est recyclée ! L'habitude de consommer des produits historique se doit de constituer une manne économique sûre.  Une façon relativement constitutionnelle à l'éthique qui garantit aux idiots utiles de la société, une exonération de leur entière culpabilité sur ce principe adopté à l'unanimité ! Ajoutons une fin de non recevoir dans les mairies qui  font l'autruche en ne voulant pas retraiter le problème à la base, nous avons jusqu'ici dévié le consumérisme de sa destination, tout en l'édulcorant de sorte à le rendre acceptable. La pollution des villes continue de sorte à se multiplier par ces principes de gestion qui apaisent le con-citoyen sur le choix des pesticides de son assiette ! Et si vous osez constater ce détail de la vie en société, entrez dans une demeure privé d'un écolo con-firmé afin de constater le nombre impressionnant d'appareils électriques en activité quotidienne... Le cas social, lui, est moins responsable que ces cons sociaux qui sont coupables d'avoir conscience de leurs actes : le con social, lui, jette son papier sur le trottoir, sans acquis de conscience, comme il consomme au moins cher ! Grace au chamboulement climatique et l'incidence de ses effets sur les sociétés, nous allons droit dans un mur ! Et c'est tant mieux ; puisqu'il faut que de violentes catastrophes se manifestent pour éveiller la raison de l'homme. 12 septembre 2023. Jean Canal.

Un premier jour du mois d'août, dédié à la réflexion contextuelle qui frappe le monde.

Sans spéculer sur la thèse imaginaire du Grand remplacement, intentionnellement soutenue pour des convictions évidentes d'idéologie, il est évident pour tous ceux qui seraient concernés par ce phénomène, plutôt classé dans la rubrique géopolitique, que l'Occident souffre gravement dans son hégémonie planétaire. Les deux pôles culturels du monde s'opposent effectivement aussi par l'identité revendiquée en tant que telle dans sa suprématie. Néanmoins, il semblerait, en s'appuyant sur des lectures appartenant déjà à près d'un siècle d'existence (nous ne fournirons aucun référent sur ce sujet), que l'Occident accusât un déclin, dû, essentiellement, à sa forme de décadence pratiquée depuis le développement industriel du XIX° siècle, ayant favorisé l'épanouissement des sociétés âpres au consumérisme, aujourd'hui faisant preuve d'excroissance dangereuse pour l'ensemble de la communauté humaine ! Détail de l'évolution des espèces, notamment humaines, vouées à reproduire les découvertes de son semblable qui produisit outrancièrement, autant que faire se put, sans tenir compte, évidemment, des conséquences à venir. Personne donc fut là pour prévenir des risques encourus ? Si, bien sûr ; mais la surdité apparut soudainement chez des politiciens véreux, envieux de concourir aux carrières opportunistes des époques en question. Le bilan est donc désastreux au regard de l'incapacité à apporter une réponse nette et décisive sur l'évolution climatique : enjeux de l'avenir dont dépend la production économique, en l'occurrence. Il existe donc une phobie de voir disparaître tout un peuple qui eût été à l'origine de la conquête du monde. Cette idée fera sans doute son chemin chez les plus crédules, ayant cru être les meilleurs du monde. Il y a longtemps que les peuples se distinguent entre eux par des schèmes typiquement organiques, issus de leurs origines dont on ne peut gommer les stigmates évidentes. Tout demeure encore dans l'esprit qui les anime ! Le mélange a du bon, dans la manière de le conditionner savamment à son environnement, de sorte à en tirer une polyculture adjacente aux sociétés existantes en tant que telle. Le vieux rêve du vivre ensemble s'est peu ou prou étiolé au fil du temps passé de croire à sa réalisation. Son avènement pourrait bien se produire, inopinément des avatars présents qui ne présentent guère de garantie pour un vivre ensemble parfaitement à l'image de la création qui n'eut cesse de diviser ses créatures : cet idéal jamais autant cultivé au XX° siècle, peine à se formaliser, plus aujourd'hui, face à des clivages religieux accentués par une volonté de s'imposer, que celle des origines, fondée sur la conquête de l'esprit, ayant fait preuve du bien que l'idéal renferme en ses tréfonds ! En s'opposant sans cesse sur des points d'achoppement créés de toute pièce pour des circonstances de pouvoir à exercer sur son semblable, les deux pôles idéologiques du Monde se sont effectivement combattus, pour des raison de pouvoir. Malgré les conflits encore intactes par leur activité incessante, le phénomène climatique qui s'immisce de plus en plus dans les affaires politiques, crée des problèmes majeurs au cœur de civilisations à la recherche d'unité humaine, avec l'espoir d 'une paix éternelle. Jean Canal. 1 er août 2023.

Anne de Pélisse : fiction littéraire sous forme pamphlétaire exploitée au vu des circonstances actuelles à attribuer à la Maréchaussée du coin...

BILLETS D'HUMEURS ARCHIVES

Un vent de révolte soufflera-t-il sur l'Europe, en 2023 ? Tout laisse croire que les manifestations s'enchaînent dans l'Espace Schengen. Les crises successives sont de moins en moins supportables aux européens qui se plaignent de l'inflation. De plus, des mouvements pseudo pacifiques se multiplient dans des domaines écologiques dont les procédés mutilent les manifestants ! Peut-on parler de pacifisme ? Des actes déplacés dans un contexte aux conséquences inéluctables, lesquels ne résoudront aucun problème inhérent au processus irréversible du chamboulement climatique, et n'infléchiront les pouvoirs politiques ! Une situation acculée à des années d'inaction qui se soldent aujourd'hui par des phénomènes naturels récurrents, difficilement compris par l'ensemble de la communauté humaine, effectivement confrontée à cette impossibilité d'alternatives pérennes, dans un avenir compromis par nos attitudes. "Nous allons droit dans le mur" fut longtemps le slogan des pessimistes, engagés dans des luttes, de nos jours épuisées !  Plus rien ne fonctionne comme aux époques bénies entre deux guerres. La mutation des sociétés vers un monde aspirant à une épure constante dans son mode de vie, semble pourtant se dessiner dans un paysage urbain en proie à son consumérisme : la démographie exponentielle qui dévore le bitume en sera le facteur de demain ! Notre situation n'est plus enviable, quelle que soit la place que vous occupez au cœur de la cité : vous dépendez, hélas !, d'autrui pour pouvoir avancer dans vos démarches. Le communautarisme observé au cœur des villes, traduit un des nombreux malaises qui mine l'individu : le vivre ensemble qui ne sait jamais aussi mal porté ! L'horizon marque une limite avec des dates d'évaluation de grands changements attendus, à l'aube de 2050 ; c'est-à-dire demain ! Les seuls espoirs encore crédibles dans ce monde d'illusion, reposeraient sur la capacité de l'être humain à devoir s'adapter, sans compromis, aux risques conséquents de la fin des rêves qu'il a cultivés, à l'escient de ses ambitions...déchues, évanouies dans un frêle désespoir de devenir le maître du monde ! La nature reprend non seulement ses droits, mais impose de nouvelles lois, inaliénables aux conditions de vie sujette à une stricte résolution à se conformer à ses exigences planétaires ! L'humilité devient, d'ores et déjà, de rigueur, plus particulièrement pour ceux qui crurent maitriser, le temps d'une vie, une ou toute une partie d'un idéal sociétal entièrement artificiel à l'existence. Il faut d'abord avouer sa défaite, non pas par manque d'expérience, mais plutôt par excès d'orgueil ! Jean Canal. 10/11/2022. "Et là, Ducon : tu la sens ma Verve ?!"

Un meurtre se commet sous nos yeux : celui de l'Iran sur son peuple. La jeunesse sacrifiée au nom d'une idéologie chiite détournée intentionnellement au profit du religieux politisé pour ces circonstances. On aurait jamais cru assister à ses manifestations en direct, dans le pays des Mollahs certifiés par une tradition héritée de 1979. Nous avons peut-être compris que le pouvoir iranien redoute plus que toute autre initiative, de perdre son ascendance sur les iraniens maintenus sous la terreur des gouvernants. Un jeune est mort un autre mourra bientôt si rien est fait contre ses bourreaux. D'autres filles, femmes ont été violées, torturées, abusées est assassinées ! Les Mollahs doivent mourir par leur peuple ! La Rédaction. 8/1/2023.
Qui sont donc les bas-instincts ? Doit-on les confondre avec les cas sociaux qui s'apparentent aux cons sociaux ?! La société a elle-même stigmatisé les genres. Il ne s'agit plus de classes sociales réparties en trois groupes de cette masse inhérente qui croît anarchiquement, excluant l'Aristocratie et la Grande bourgeoisie, évidemment. L'amalgame est systématique dans la critique qui désigne les coupables d'un comportement déviant de la norme admise au cœur de la société de conditionnement ; ne vous méprenez point, il ne s'agit nullement de criminalité dont le registre atteint son paroxysme ! Il faut également tenir compte des idiots utiles et inutiles : ces derniers sont utilisés tels des appareils pour accomplir des tâches avilissantes et relevant d'actes odieux perpétrés lors de manifestations humaines en signe de controverse à une reconnaissance légitime d'un état ; par exemple. Les précédents ont un rôle à jouer dans la société : il la font fonctionner dans un cadre précis qui se limite à des emplois de services au sein d'une économie de proximité. Pratiquement impossible à distinguer de l'ensemble des con-cernés suscités, en cet essaie matinal, il admet, hélas !, aussi la gente féminine qui dans des professions ou sacerdoces occasionnels fait montre de débordements attribués à la pratique de raisonnements abscons ! Les cons sociaux, eux, sont généralement innocents de leur style de vie qui consiste à ne jamais soupçonner, preuve à l'appui, qu'ils font, effectivement, partie de l'élite de la connerie quotidienne (vous avez sûrement un voisin contaminé) ! Quant aux cas sociaux, ils foisonnent dans une société qui les a privés de raisonnements ! Il agissent à l'instinct... Animés par une espèce de sens aiguë de la connerie innée, ils se distinguent naturellement parmi leurs confrères, les cons sociaux, en ne forçant jamais sur le trait qui en souligne la particularité ethnique ! Ils nourrissent une bêtise qui ajoute à leur condition d'avilissement. Le plus difficile, pour Vous lecteurs, sera de les dissocier de la masse lourde et pesante de la société actuelle où il est difficile de faire la place à l'Intelligence. Jean Canal. 29/10/2022.
Selon Michel Onfray, ces premiers signes de durcissement d'une politique orientée intentionnellement vers le nationalisme, ne représenterait pas l'Extrême Droite et encore moins un fascisme désuet qui se voudrait incarner celui de Mussolini ! Le philosophe a tout simplement raison ; parce que les Italiens ne veulent pas sortir de l'Europe. Jean Canal. 07/10/2022.
NAISSANCE D'UNE IDEOLOGIE CONTEMPORAINE. Une nouvelle Droite constituée sur les séquelles du passé historique de l'Europe plus précisément, est en train de naître. Son ferment ne s'inspire plus des figures quelque peu fantoches, comme en 1922 avec Mussolini en Italie et le chancelier Allemand de 1933 duquel nous ne mentionnerons pas le nom, pour des raisons d'éthique simplement, ou bien encore le camarade soviétique Staline qui faisait toujours peur après sa mort en 1953 (trente années de dictature du prolétariat en URSS : 30 million de morts) ; nous nous attacherons plutôt à la souveraineté des peuples enclins à épouser des causes idéologiques répondant à leurs problèmes du moment dans des sociétés transformées à leur insu. Aucune crainte de revoir l'horreur des camps du XX° siècle resurgir en Europe, en ce début d'un XXI° siècle à la recherche d'une alternative de vie confrontée, heureusement, aux aléas du climat qui certifie de la dangerosité de notre comportement envers une planète en voie de surprenantes modifications défavorables aux humains. Que viennent donc faire ces mouvements dits d'extrême Droite, sur lesquels les intellectuels véhiculent quelques idéologies surannées du siècle dernier ?
Eh bien, on comprend sans trop à avoir à fournir un effort intellectuel démesuré, pouvant provoquer une méningite chez d'aucuns fragiles du cerveau, que deux facteurs inquiètent plus les populations que ceux qui détiennent le pouvoir politique : l'Islam avec son pseudo grand remplacement, évoqué dans la thèse soutenue par Renaud Camus, historien, et les migrations d'individus qui ne représentent sur aucun point les valeurs européennes et qui pis est celles plus particulièrement liées au christianisme, tacitement religion européenne, au même titre que religion d'état ! L'économie et ses crises, elle, ne devient qu'un argument de lutte et justifiant des choix politiques dans les rébus de l'Extrême ! Tout devient prétexte à changer de direction idéologique afin de recouvrer un idéal de vie typiquement fondée sur les valeurs consuméristes occidentales qui ont, le constat est évident, ruiné la planète et dégradé les tissus sociaux, en départageant les individus jusqu'à parvenir à créer des dissensions entre eux ; alors que dans un esprit démocratique, la paix est le but recherché ! La guerre civile demeure une option à cette situation.
Cette démocratie qui permet d'amener au pouvoir ces partis politiques situés à l'extrême de l'idéologie, la plus controversée depuis son apparition au XIX° siècle avec des thématiques antisémites, racistes et xénophobes ; au demeurant nationaliste encore vivace !
Nous sommes au XXI° siècle et les anecdotes du passé ne sont plus là pour nous rappeler les erreurs à ne plus commettre, mais plutôt à nous instruire d'un point de vue historique. Israël a depuis créé son état qui bénéficie d'une puissance militaire capable d'infliger des dommages à tous ses ennemis. Quant à l'Europe ses Institutions protègent les citoyens européens de toutes atteintes portées à leur liberté individuelle dans l'espace Schengen, jusqu'à preuve du contraire. Il est vrai que le contexte russo-ukrainien favorise cette émancipation nationale recherchée par la Hongrie, la Suède et maintenant l'Italie ; mais dans une conjoncture relative aux problèmes advenus suite à une ingérence de la politique étrangère de l'Europe, ayant tendance à ne jamais consulter les populations sur des décisions prises à brûle pourpoint. Le référendum est-il une alternative politique suffisamment responsable pour interroger une population à majorité idiote qui depuis plus de quarante ans continue la pratique consumériste encore plus meurtrière que des mouvements politiques aux aspects d'épouvantail ?! La souveraineté populaire justement est admise dans la Constitution européenne, heureusement, dans un dessein ultime de permettre aux peuples qui la constitue, de pouvoir choisir leur destin ! C'est ce que les trois états européens, mis au pilori pour les circonstances, ont fait au même titre que des villes désormais sous la férule de l'islam, lesquelles changent les noms de rues au profit de figures musulmanes : soit un acte démocratique inscrit dans la République française. On sait, par son histoire récente, que des régions entières peuvent se retourner vers des partis d'extrême droite, lors d'élections législatives ou présidentielles, comme ce fut le cas en France. La montée de cette Droite est un avertissement des populations qui ne semblent toujours pas avoir été entendues par les gouvernants. La voix du peuple est toujours significative d'un malaise. Aujourd'hui, plus qu'hier, les politiques portent seules la responsabilité des conjonctures actuelles qui sont effectivement peut-être vouées à subir de profonds changements qui ne manqueront pas d'étonner les dirigeants de ce monde... Jean Canal. 27/09/2022.

CAVE CANEM LE BILLET DE MARS EN PDF

QUI CROIRE ? Dans une multitude de messages audiovisuels, les uns formés à partir d'une réalité évidente, incontestablement reconnue comme telle, glanés selon des sources plus ou moins fiables, les fraudes à la vérité foisonnent, moyennant des méthodes diverses dans l'intention de détourner l'information au profit de médias qui en font leur quotidien !
Twitter a ceci de précieux qu'il admet une surveillance permanente des messages interconnectés que les abonnés peuvent critiquer avec ambiguïté, relative à l'appartenance médiatique. Un écart dans l'éthique qui régit ces plates-formes, et vous êtes rayés de l'admission au club des Twitters et autres ! A les lire, par tris sélectifs sur le contenu véhiculé à des fins personnelles et communautaires, et cela que se soit un média qui se diffuse sur la toile (seule plate forme pouvant être visible sur le globe) ou bien/et des individus prônant une éthique idéologique dans le cadre de l'esprit religieux et/ou politique en vigueur, on se rassure sur l'état général d'une pensée unique existante qui consiste à véhiculer des idées rarement épousées par une majorité silencieuse qui pourrait, le jour venant, manifester son animosité de manière très ostentatoire -périphrase évitant sur Twitter de cultiver le langage vulgarisé d'une violence scripturaire masquée. Lire la suite en PDF Billet d'humeur août
La culture de l'autre au nom du droit de l'être ! Eh oui ! C'est peut être le plus difficile à vivre : l'autre ! Nous ne pouvons vivre seul, jusqu'au plus profond du cloître choisi pour une vie monastique, la solitude aspire à rencontrer l'autre pour quelques échanges de paroles, fussent-elles infructueuses -le sont-elles vraiment ? En fait c'est de l'autre dont dépend l'existence de l'un et des autres aussi. En période de crise où l'Ukraine devient le théâtre des actualités, l'évidence nous ramène à une réalité oubliée pour d'autres raisons que celles invoquées au nom de la liberté. Nous ne pouvons pas/plus décider sans consulter l'autre dont le droit est de ne pas être d'accord sur une décision allant à l'encontre de celle prise individuellement, constituée de communautés étrangères à celle de l'autre : celui qui aspire à vivre selon un raisonnement éthique, propre à un héritage historique longtemps cultivé à l'escient d'expériences approuvées par l'ensemble de cette autre communauté plus formelle dans ses idées ; laquelle conforte l'idée archétypale de modèle élitiste de toute une société. C'est sur ces principes que l'occident a su véhiculer ses stéréotypes en des régions du monde où la vision de ce monde se limitait à celle de la vue, arrêtée par la perspective évanouie dans le flou. L'histoire rattrape les retardataires qui se sont écartés de l'itinéraire emprunté par tous ceux qui désiraient sortir de la misère sociale pour entrer dans le monde artificiel de l'hédonisme. Une société édulcorée au possible de ses capacités à pouvoir assimiler les nouveaux venus qui contribueraient à son évolution économique, en l'occurrence. C'est ici que l'autre devient celui qui n'aspirait pas à le devenir ; happé par ces grands mouvements idéologiques qui transforment les idées, au demeurant les êtres. En sommes-nous là ? Poutine possède suffisamment de haine à l'encontre d'une orientation civilisationnelle vouée à se diriger vers l'occident, que le maître du Kremlin n'hésitera pas une seconde, certes fatidique, à user de solutions ayant pour effet une radicalisation de la situation qui lui est, actuellement, défavorable. Jean Canal. 8 juillet 2022.
VERBA VOLANT, SCIBA MITENTE. "Voyons. Réfléchissons ensemble sur les phénomènes actuels découlant des situations contextuelles des derniers événements marquant de l'actualité internationale et nationale. Les Russes rencontrent les chinois afin de renforcer leur alliance commerciale contre le marché économique occidental, plus précisément défini comme étant celui orchestré par les Etats Unis qui s'immiscent en permanence dans les affaires de ces deux pays, dans un but protectionniste. En outre de cette ingérence personnifiée, des menaces de sanction sont proférées à l'encontre du maître du Kremlin à qui la communauté internationale réduite à une poignée d'états en controverse permanente, reproche une tentative d'annexion de l'Ukraine, aspirant à une émancipation européenne ! L'OTAN propose une limite de surveillance aux frontières de cet état russe tout droit désigné comme zone de surveillance avancée en territoire russe. Il y aurait comme une intention malsaine de perturber l'espace russe en son sein, que cela n'étonnerait personne de sensé !  Le rapprochement de la Chine auprès de la Russie voisine serait une forme de semonce à l'encontre du monde occidental, débouté de sa prééminence internationale qui ne semble plus prévaloir dans les zones d'Afrique et du Moyen-Orient. L'arrivée légale, voire légitime de la part des africains eux-mêmes de la Force Wagner, sonne le glas de la présence française en Afrique dont les politiques successives révélèrent les intérêts qui animèrent l'occupation des sols... Bref !, doit-on être soucieux de tout çà, de sorte à accentuer son vieillissement dont les signes de prématurité incombent le Politique ; eh bien non ! laissons la dispute à ceux qui en feront les frais." Jean Canal. 5/20/02/2022.     
  La précarité physiologique qui ne transparaît pas forcément aux premiers signes internes de la dégénérescence. Tel serait le sujet d'un Billet d'Humeur dont le fondement ne se prête guère à ce genre de matière, puisque venant de la poussière nous y retournerons, jusqu'à ce que le corps soit entièrement désintégré. Un processus ancré dans l'évolution de l'humanité, vouée à se renouveler sans fin. C'est cette finalité qui demeure un thème, à l'échelle humaine, d'un point de vue personnel. Mourir d'une mort paisible, au terme d'une vie qui tombe à échéance, ne présente aucune contrainte d'ordre moral. Les religions pourvoient à ce départ pour l'ailleurs dont personne ne sait rien, si ce n'est les interprétations que donnent les scientifiques d'abords restant prudents de crainte de heurter les religions qui , en fait, détiennent la vérité. Songez y donc, tout en admettant que ce phénomène est inéluctable à toutes tentatives d'y réchapper. La mort est la fin du voyage, court dans les cas les plus mauvais, long dans des conditions favorables à l'épanouissement de l'être. Son milieu peut y avoir des incidences positives si les éléments d'épanouissement y sont réunies. En ayant observé maintes cas réduits à l'usage mineur des capacités qui régissent le fonctionnement du corps lui-même, il est évident que le corps mort de son vivant, ne peut que handicaper la vie. Le plus douloureux n'est pas de se voir mourir come dans une condamnation à mort, mais plutôt de se savoir condamner à mort par l'existence elle-même. Quelque concours de circonstance eût abrégé le parcours entamé dans un esprit délibérément insoucieux de connaître une fin prochaine. La vieillesse qui se manifeste ne se préoccupe guère des prémices qui lui annonce une prématurée interruption de la vie. Des signes tout-à-fait légitimes dans le rôle qu'ils s'assignent naturellement à la perte des vertus sensorielles du cerveau, ces signes sont des vecteurs précurseurs de la dégénérescence évoquée dans l'intitulé de ce billet d'une humeur passagère. Jean Canal. 26/05/2022.
PROTESTATION CONTRE ! Un slogan comme un autre qui pourrait devenir l'emblème d'une communauté entièrement française, dévouée à rétablir de l'ordre dans la libre pensée qui tente le pouvoir de procéder à son abolitionnisme patent. Quelle forme pourrait prendre la censure dans le pays des Droits de l'Homme ? A défaut d'être entendu et compris, il adviendrait un soubresaut inattendu dans l'histoire du XXI° siècle, fraîchement émoulue, de la complexité à trouver des fondements européens stables dans l'idéologie démocratique pratiquée à outrance !
                         On sait par son histoire que la démocratie peut provoquer des dictatures ; celles de la pensée d'abord par laquelle passent les idées politiques décisionnelles. D'ailleurs l'Europe est en ce moment-même entrain de nous en préparer quelques unes dont on ne soupçonnait guère qu'elles pussent advenir, au corps défendant des 27 états composant l'espace Schengen ! Quel état craquera le premier, quand bien même nous subodorons celui qui « meurt » d'envie d'en découdre avec lui-même. Il y a comme une espèce d'inertie dans le développement économique qui couve, sous forme d'implosion des peuples insupportés par ce trop plein de vide dans lequel les populations s’enivrent de passions puériles.
               Le manque par défaut d'un équilibre dans cet espace temps, mine le moral des gens, en général. Une psychose globale s'est instaurée au fil de la construction européenne qui ne présente plus de garantie pour ces peuples voués à vivre ensemble, avec des disparités profondes, impossible à combler. Le malaise est visible dans les villes dont l'excroissance urbaine transforme l'espace libellé en mégapoles disproportionnées, ne répondant plus ou pas aux besoins de l'individu confronté à l'inexpugnable sociétal, complètement isolé du reste de la société. Vidées d'identités originelles, les villes amalgamées à ce principe d'existence, identifié par le vivre-ensemble, ne semble plus corroborer les choix de chacun, livré à une obligation de s'installer dans une société surpeuplée.
           On l'a vu, la protestation ne suffit plus à changer les choses ; elle exacerbe les force vive de l'ordre qui finissent par créer un amalgame d'individus confronté au contexte ! Le dénouement d'une situation compliquée ne repose pas sur une ordonnance politique qui s'arrogerait le droit de décider selon des critères sélectionnés d'après un contexte défini de façon coercitive ! La révolte s'épuise en vain de convaincre la majorité, restant dubitative sur les résultats escomptés ! Une minorité détenant un certain savoir puisé dans la connaissance aléatoire d'une conjoncture, ne peut se prémunir d'alternatives répondant favorablement aux doléances formulées comme telles, en une occurrence qui se prête fort bien à une cassure sociale.
         Les manifestations qui consistent à descendre dans les rues pour revendiquer un droit, à travers une parole censée, légitimement reconnue d'utilité publique dans le sens de promouvoir le développement du pays, ces manifestations se doivent d'être structurées dans les actes et paroles ; sans quoi convaincre une nation devient un exercice qui leur échappe ! Les Gilets Jaunes ont-ils gagné dans le fond de leurs mouvements rédhibitoires à leur revendication certes légitimes, mais par trop sans fondement politique raisonné ? L'action menée puisait ses sources dans un paradoxe dû à la consommation en hausse ! Le combat eût trouvé une alternative dans la paralysie totale de cette consommation, réduite à l'essentiel vital, amplement suffisant pour assurer la survie de tous ! Le gouvernement aurait subi directement une véritable crise nationale : celle de la consommation !
Jean Canal. 10 janvier 2022. Toulouse.

A la lumière de la lecture des articles rédigés sous la plume des responsables de l'Institut Montaigne, apparaît nettement une clarté suffisante pour appréhender le rôle qu'endossera le Président de la République, Emmanuel Macron, dès le 1er janvier 2022, au Conseil de l'Union européenne.
Les pleins pouvoirs sur les décisions à prendre sur l'Europe et plus particulièrement son fonctionnement économique avec des relations tendancieuses entre états en désaccord avec les Institutions ; ses pleins pouvoirs seront effectivement limités, dans une volonté de répartir les tâches de chaque responsable politique préposé à un travail de gestionnaire. Est-ce à dire que la situation géopolitique de l'Europe quelque peu déstabilisée par la Russie à l'Est, dont l'influence dépasse les frontières de l'espace Schengen, sera condamnée à demeurer dans une position d'inanité entre les principaux états protagonistes qui adoptent une attitude réfractaire aux exigences constitutionnelles de cette Europe congestionnée par un virus ? C'est justement sur ce point que Emmanuel Macron devra œuvrer à dessein de relancer une synergie constructive pour stabiliser d'abord une économie en berne et ensuite lui assurer une sécurité unilatérale dans un espace convoité par les migrants en errance permanente.
               Les thèmes récurrents, qui désormais frappent tous les états européens, les plus à l'Est situés, résident dans la potentielle présence de terroristes sur les sols européens, d'une part, et des problèmes majeurs de la transition énergétique au niveau européen, d'autre part (ce dernier point ne constitue pas une priorité puisque il appartient, avant toutes démarches gouvernementales, aux initiatives citoyennes). L'emploi et la vie en société se greffent aux doléances de populations en constantes contestations légitimées par une inflation sanctionnant les plus pauvres, face aux précarités accrues au sein des classes impactées par les dernières crises économiques.
         Quant au Covid-19, quelque soit la dénomination que l'on lui attribue au rythme où les vagues se succèdent, son éradication dépend du comportement des citoyens qui doivent et devront redoubler de vigilance, en adoptant une attitude responsable ; et cela sans forcément se priver des jouissances hédonistes que la société propose, et auxquelles la population, dans son grand ensemble, est très attachée !
Il appert de toute évidence que l'Europe n'est point tombée sous les injonctions de quelques états aux tendances belliqueuses. Les opportunistes qui auraient fomenter des intentions malveillantes dans le but de déstabiliser une certaine harmonie européenne, à des fins stratégiques, vont devoir expliquer comment ils peuvent à la fois avoir un pied en Europe et un autre ailleurs... Une chance pour Emmanuel Macron qui achèvera son mandat dans un contexte studieux qui lui vaudra sans doute une bonne note.  L'impérieux devoir qui doit répondre aux attentes des européens réside dans ces initiatives salutaires attendues par vingt-sept états  qui aspirent à plus de bonne et saine santé de leurs populations.
                                                                                                                                                         Jean Canal. 10/12/2021

Du situationnisme politique, il faudra s'en faire une raison, si les français veulent continuer d'exister. Le rayonnement de la France sur le reste du monde n'est devenu qu'un vague souvenir, ancré dans le annales de son histoire, à consigner dans les livres scolaires ! Il est toujours nostalgique de rêver à son pays d'antan, en se remémorant de la vie que menèrent ses aïeux, en un temps fort reculé de son emblématique Révolution ! Songer que les châteaux furent habités par les nobles de la chevalerie, est tout ce qui demeure encore de vrai, en ces jours où une mutation des idées prend corps, dans le monde. Les châteaux et demeures de maîtres sont, aujourd'hui, habités par les valets qui jadis servaient la noblesse au pied du lit ! Une page est en train de se tourner, pour une nouvelle lecture de l'avenir. Fondé sur un pragmatisme de circonstance, le sacrifice des valeurs deviendra une nécessité pour durer et préserver la place assignée par la mondialisation.
                         La providence au secours de l'idéologie. La déchéance est donc évidente. Il serait vain de continuer à entretenir une espèce de leurre populiste, alimentant la crédulité d'un électorat qui de plus en plus démissionne de son devoir civique, en refusant de se rendre aux urnes, pour des raisons maintes fois évoquées, à savoir la perte de confiance avec ses dirigeants. Et quand bien même le ferait-il, son bulletin risquerait fort de s'égarer dans l'interstice de l'opposition, d'une certaine opposition cultivant intentionnellement la controverse à outrance, pour les intérêts des luttes fratricides, destructrices et dangereuses pour la pérennité de l'état républicain.
                          C'est le vœu de tous les électeurs, que celui d'être représentés par une politique, digne d'assumer des responsabilités répondant aux nécessités d'une nation. On y trouvera les thèmes habituels argués au cours des campagnes électorales, plus particulièrement définies, à l'aube des présidentielles de 2022, par la sécurité du territoire, englobant celle des espaces urbains, les problèmes inhérents au social, l'assurance de la dignité de chaque individu, reconnu comme identité à part entière, et, ensuite, redonner de l'espoir à la jeunesse par l'emploi, en berne depuis quarante années.
                          Les thématiques relatives aux transitions énergétiques s'ensuivront de fait, quelle que soit l'étiquette politique élective advenue à l'issue du vote ; c'est un impératif pour la survie de l'économie et donc de la population. L'écologie est de facto inscrite dans un processus irréversible du climat chamboulé dont notre comportement dépend pour l'avenir de nos civilisations.
                    Il serait dangereux de confier la présidence à des politiciens opportunistes, pléthoriques en cette démonstration électorale exacerbée, et animés d'un égocentrisme extrême, excessivement voraces en culture de la personnalité, ne visant que des intérêts individuels. Le pays ne sortira plus indemne d'une ingérence politicienne, en 2022, si l'élu de la présidence ne repose que sur la préférence des français. La dernière ligne droite avant les désastres du chamboulement climatique annoncé par le GIEC, ne pourra obvier de son drastique refoulement de l'inutile auquel adhère la majorité. Il faudra d'abord songer au bien du pays, sans renoncer à certains sacrifices indispensables pour la durée de notre état  en son sein !
                  Des temps nouveaux sont pressentis. On sent bien que quelque chose ne fonctionne plus correctement dans le monde, sujet à des répercutions qui endommagent un équilibre rompu sous le faix de l'inégalité humaine. Il y a comme une sensation conflictuelle qui plane au-dessus des têtes des dirigeants de la planète, de sorte à inciter les peuples à se soulever contre tous ceux qui continueront à tricher. Un constat a été établi. Il semblerait que les responsables n'en tiennent toujours pas compte. L'alternative d'un grand changement, non pas celui encensé par une politique subversive, est en train d'être recherchée pour sortir de ce chaos social ! Le présent appartient à l'avenir. Jean Canal. 17 novembre 2021. 3H 12mn.
VIVE LA GLOIRE. On ne pourra pas mieux réfléchir sans se référer cette semaine à l'article de la Revue Esprit, rédigé d'après la lecture du livre engageant de Raphaël Challier : Simples militants. Par Xénophon Tenezakis. Avec un prénom pareil, on peut 'remonter' jusqu'en Perse (l'anabase). Le livre, lui, édité chez PUF, signe déjà sa facture intellectuelle. En préambule de l'article cette phrase synthétise le contenu du contenant : "Tel est le mérite de cet ouvrage : nous faire réfléchir sur le fait que c’est à la racine, dans leur façon même de faire de la politique et de lutter pour des postes électoraux, que les partis favorisent la désaffection des classes populaires."  On a envie de penser au suicide de la Gauche traditionnelle française qui pratiqua elle aussi le clientélisme de classe tout en se mirant dans le miroir de la réussite politique, un peu trop souvent, en interrogeant le peuple, si sa politique était belle... Il y a longtemps que les partis politiques se réduisent à une étiquette marchande en vente libre, parfois bradée aux plus offrants qui d'ailleurs revendiquent aucune appartenance idéologique : Emmanuel Macron fut la plus inattendue surprise de l'apolitisme français qui débouta tous les professionnels du genre, en panne de rénovation ! La Droite ne sait plus comment reconquérir ses électeurs du Rassemblement National, tandis que les socialistes recherchent désespérément les siens, éparpillés de-ci, de-là au gré de la pensée en vogue... On a pu observer (Je), notamment dans le Sud Ouest, terre socialiste par conviction électorale...que l'on pouvait très bien être de Gauche, tout en votant, exceptionnellement, en faveur de l'extrême Droite ; et cela afin de donner un sens à la politique attendue de pied ferme, comme l'on fait le pied de grue sous la fenêtre de sa maitresse qui ne veut plus vous ouvrir... Toute manifestation fut bonne pour encarter les errants de la masse, allégée des contraintes syndicales trop vieilles pour encore séduire une jeunesse qui réfléchit convenablement ! Evidemment, il y a les insubordonnés qui cultivent la politique sur l'autel de la religion, par vocation à demeurer inamovible dans leur pensée institutionnelle : à une époque, on ne fréquentait point les gens des autres classes sociales. Chacun campait sur ses idées. Les mentalités renfermées dans des conceptions politiques fondées sur l'historique qu'elle dégageaient au cours des événements survenues depuis le XIX° siècle, ne permettaient guère de changer d'opinion ! Aujourd'hui, comme le chantait Dutronc, on peut retourner sa veste ; c'est dans les us et coutumes, voire conseillé en cas de crise sociale. A lire dans le Revue Esprit. Jean Canal ; bien sûr. 30 octobre 2021. 00; 05.

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