VISA pour Image 36° Edition : Festival International du Photojournalisme. Reportage Jean Canal en direct de Perpignan. 31/08/2024. En fait, Visa est là pour rappeler qu'il existe, entre autres des photographes de terrain, couvrant des événements internationaux, souvent dans leur propre pays, des reporters qui souvent prennent des risques afin de témoigner de ce qu'ils voient. Les prix sont d'abord des récompenses honorifiques qui sanctionnent un travail d'information réalisé dans des conditions à risque. A Visa, ALIOT refuse de décerner le prix Visa d’or pour l’image au photographe Loay Ayyoub. Jean-François Leroy rappela au maire de Perpignan la valeur des photographes opérant dans des circonstances où les armes ne font guerre de différence dans les victimes quelles soient femmes, enfants et vieillards, ou/et Reporters de guerre. Bref ! Brassens l'a chanté : "quand on est con, on est con ! Le temps ne fait rien à l'affaire." Reportages de la Rédaction presselibre.fr du 31 août 2024, à Visa pour Image 36° Festival International du Photojournalisme de Visa pour l'Image, année 2024. Le Festival demeure fidèle à ses objectifs vaguement fixés dans ses débuts. La fréquentation s'est considérablement accrue au fil de la notoriété acquise durant des années. Incontestablement, cet événement est devenu le rendez-vous incontournable de la presse photographique et des reporters du monde entier qui l'incarnent.
Visa pour Image 2024. Photo Jean Canal, septembre 2024. Inauguration et présentation des expositions photos.
VISA pour Image 36° Edition : Festival International du Photojournalisme. Reportage Jean Canal en direct de Perpignan. 31/08/2024. En fait, Visa est là pour rappeler qu'il existe, entre autres des photographes de terrain, couvrant des événements internationaux, souvent dans leur propre pays, des reporters qui souvent prennent des risques afin de témoigner de ce qu'ils voient. Les prix sont d'abord des récompenses honorifiques qui sanctionnent un travail d'information réalisé dans des conditions à risque. A Visa, ALIOT refuse de décerner le prix Visa d’or pour l’image au photographe Loay Ayyoub. Jean-François Leroy rappela au maire de Perpignan la valeur des photographes opérant dans des circonstances où les armes ne font guerre de différence dans les victimes quelles soient femmes, enfants et vieillards, ou/et Reporters de guerre. Bref ! Brassens l'a chanté : "quand on est con, on est con ! Le temps ne fait rien à l'affaire." Lire la suite.
SCOOP : Visa pour image. 34ème Edition. Jean-François Leroy que l'on ne présentera bientôt plus, crée son événement de départ définitif ! Visa pour Image invite un photographe russe dont l'identité doit être tenue secrète... Sécurité oblige, ledit fera le déplacement incognito pour des raisons évidentes que le conflit ukrainien explique. Les photos retracent la guerre en question. Dès le 27, date de l'ouverture professionnelle, ledit sera parmi les autorités électorales présentes. Bref ! Une belle fin pour couronner tant d'années de fidélité à Visa. Adieu. Jean-François Leroy "rentre a la maison...". Jean Canal ; bien sûr. 25/08/2022.
Septembre le rendez-vous avec Visa Pour l'Image ne sera pas honoré. Les raisons résident simplement dans la pléthore de photographies visionnées sur les réseaux sociaux comprenant les directs des combats en Ukraine ! Stop ! Les images nous sont parvenues. Celles des amateurs. Celles des militaires eux-mêmes. Celles de la propagande russe. Celles des militaires ukrainiens. Et celles des officiels. Que ce soient la guerre en Ukraine, où celles d'Afrique et/ou du Proche Orient, les images de guerre, étonnamment se ressemblent. A moins d'être animés d'un dérèglement des sens, se torturer l'esprit en revoyant des photos qui retracent le conflit ukrainien, est comme une lancinante douleur qui revient subrepticement, au contact des photos de victimes, mortes ou vivantes ! La Chaîne Parlementaire nous en a donné un aperçu avec des photographes de métier dont certains ont quarante ans de prises de vue, sur les terrains en conflit. Les charniers, les enfants tués, les civils sacrifiés, autant de thématiques qui illustrent une guerre qui touche l'Europe. Jean Canal. 1er juillet 2022. Changement de direction à Visa pour l'Image cette année 2022. Jean-Luc Soret Directeur de la noble institution photographique dévolue aux reportages. Perpignan revivra des heures intenses avec les fréquentation de septembre en son sein. Qu'attend-on d'une exposition à Visa, chaque année ? Le renouveau se décline avec les événements planétaires, puisque à Perpignan durant cette brève période, se côtoient les photographes du monde entier, professionnels et amateurs. Quel changement apportera le nouveau directeur ? Les dernières manifestations avaient perdu dans la quantité dont il faut souligner que la qualité resta néanmoins au rendez-vous. Faut-il ouvrir Visa aux photographes amateurs qui parcourent eux aussi le monde ? On devrait croire que seule la photographie prime, quelle qu'en soit sa provenance et son auteur. C'est évident, il faudra consacrer une part d'exposition officialisée pour des circonstances de visibilité à la disposition d'un public gourmant d'images. Visa peut se raviver aux sources de ces photographes talentueux qui dans le jeunesse exprime aussi leur vision des théâtres conflictuels. Jean Canal. 17/08/2022.
VISA POUR IMAGE Cette année, presselibre.fr ne se rendra point à Visa pour Image, non pas pour faire plaisir à Jean-François Leroy qui depuis notre première venue, il y a vingt ans déjà et plus, nous priait de "rentrer à la maison" sous couvert de gêner l'information journalistique de cette manifestation. Le temps s'est écoulé, son représentant a, effectivement, vieilli, autant si ce n'est plus que les méthodes d'investigation de la police perpignanaise au service des Cons, et jean Canal se porte à merveille et fait part à tous ces Cons en question qu'il jouit, à son grand étonnement, toujours de très belles érections, la nuit précisément, seul dans son lit ! L'absence de notre présence s'explique par les obligations sanitaires indispensables pour préserver la santé de tous, d'une part, et les accès des établissements de boisson et bouche, soumis aux contrôles ! Jean Canal. 11/09/2021.
VISA OR 2019 : PARIS MATCH. Pour 2019, la présidence de Visa pour l'Image revient à Renaud Donnedieu de Vabres. Après Trente années de gestion sans faille et d'investissement personnel de Jean-François Leroy, à titre de Directeur du Festival, ce dernier est reconduit pour trois années supplémentaires (ce qui est rassurant pour tout le monde). Les thématiques des expositions présentées cette année, résument les problèmes civilisationnels de la planète qui connaît de notables conflits. La conquête du pôle Nord. Les guerres entre pays belligérants. La fin du Kalifa qui entretient des interventions sporadiques meurtrières. Les braconniers d'ivoire. Les Gilets Jaunes. Et la Misère humaine qui se porte à merveille... Bref ! Des sujets qui sont imagés de sorte à nous éclairer de plus près sur la gravité du phénomène mondial actuel ; le tout dans un climat capricieux qui ne dément pas les intentions du chamboulement climatique en forte hausse. La première semaine d'ouverture à partir du 31 août est réservée aux professionnels de la photo et de la presse. Jean Canal. 10 août 2019.
C'est au Couvent des Minimes là où se trouve la plus prestigieuse concentration d'images répertoriées en une salle, commémorant, en quelque sorte, ces trente années d'exposition à Visa. Pour les habitués et les adeptes de cette discipline photographique, ils reconnaîtront les "Unes" des affiches qui furent placardées dans la ville catalane. Perpignan semble enorgueilli de cette manifestation que la capitale des Pyrénées Orientales ne souhaiterait perdre sous aucun prétexte ! Des photos de guerres, de rues montrant la désolation humaine et l'hécatombe qui en découle lors des conflits armés, des photos percutantes et horribles par ce qu'elles révèlent, se succèdent sans avoir l'air de grands changements dans l'humanité ! C'est l'impression qui ressort de cette visite que j'ai effectuée, comme chaque année, depuis 1996, quand je découvris cette manifestation. L'émotion s'est quelque peu étiolée, au fil des années ; la violence des sociétés étant tellement omniprésente dans le quotidien de la planète que notre sensibilité s'est habituée à voir du sang, des morts, qu'ils soient enfants, vieillards, femmes et hommes ! L'horreur des conflits et des meurtres en tout genre, ne nous apparaît que virtuelle dès l'instant que nous ne sommes pas touchés ; car concernés, nous le sommes tous ! Que dire de ce Visa qui ne soit déjà écrit, dit et commenté ? Que cette manifestation demeure le rendez-vous incontournable à la photo reportage. Quand bien même les images pullulent-elles sur les réseaux sociaux, les voir afficher devant les yeux, en mode papier ; cela reste la preuve irréfutable d'un témoignage sans appel sur nos responsabilités. Jean Canal. 2 septembre 2018. Photo Jean Canal, Couvent des Minimes. 1er septembre 2018.
Couvent des Minimes. Visa pour image 2018. Photos Jean Canal.
VISA POUR IMAGE 2018
Le Monde signe une Tribune élaborée sur l'enquête journalistique de plusieurs photographes dont le travail est exposé à Visa. "Enquêtes sur ces territoires à jamais pollués par l'homme", tel est l'intitulé des quatre pages consacrées aux désastres causés ; car "l'homme", c'est Nous ! Une condamnation en filigrane des photographies qui montrent la mort encore vivante sur notre planète, aux quatre coins du Monde ! Samuel Bollendorff nous présente un tableau du monde très coloré sous l'intitulé "Contaminations", dans l'Eglise des Dominicains.
Jean- François Leroy en profite pour tirer un bilan des trente années d'exposition. La révolution numérique a paradoxalement appauvrie le photojournalisme qui est confronté à la multiplication des médias capables de réaliser des reportages, notamment en ayant comme emblème des noms à renommée mondiale qui garantit une notoriété à "l'image". Les fonds sont de plus en plus difficiles à trouver, puisque Visa est gratuit pour tous ! Le partenariat officiel démissionne face au manque à gagner ! Le magazine "Elle" a définitivement abandonné Visa et Getty image est parti ! Jean-François Leroy veut préserver sa ligne éditoriale qui consiste à privilégier le travail de fond des photographes qui proposent leur travail. L'écriture photographique a changé. L'image, elle, montre toujours une triste réalité qui semble, effectivement glisser sur nous, plus accaparés par d'autres préoccupations que nous considérons comme primordiales :" la société du bien être." Jean Canal, en parcourant le Monde d'aujourd'hui, page 11 (Culture).FIN
Hommage à Camille Lepage
VISA POUR IMAGE 2018. Trentième année que Visa pour Image existe. Une évolution conforme à l'éthique défendue depuis cette incroyable initiative qui tend à valoriser les photographies de reportage et en récompenser ses auteurs. D'être exposées sans fioriture, les photographies de ces 30 ans, ont montré un monde bouleversant avec des sociétés conflictuelles et des peuples meurtris sans omettre des images vouées à dénoncer le comportement humain face à la nature. Une rencontre annuelle incontournable qui s'inscrit dans la continuité de celle d'Arles. Jean Canal. La mémoire de Corinne Lepage plane sur les reportage de ses confrères. En direct de visa 2018. Le Monde.fr signe une tribune en rapport aux photos présentées à Visa.
Reportages réalisés par la Rédaction de presselibre.fr Visa pour l'Image